je sait c´est couillon quand même 
jean luc 
N’est pas Jackie Kennedy qui veut… elle, au moins, savait prononcer ce qu’elle disait.
euh… ich bin ein berliner…c’était son mari qui a dit ça
c´est son mari qui a dit ça le presisdent John Frizt Gerald Kennedy
jean luc
Certes, mais c’est bien à sa femme que je pensais. Je ne suis pas inculte à ce point, ne me faites pas cet affront. Le mari prononçait comme un pied. C’est madame qui est à l’origine de ces discours (qu’elle prononçait elle-même) ou sloggans (dans les discours de monsieur) dans la langue du pays. Il y en a toute une série, mais on ne se souvient que du Berliner.
tu resteras le chef elie 
(qu’est que on fait sans les femmes )
je la savait tres intelligente, mais j´ai pas penser qu´elle faisait le noir pour son president de maris.AHH si Carla ecrivait les discourts de son maris ça aurais plus de gueulle.
jean luc
où sont les femmes
écrivain :un suisse patrick juvet
@jluc :pour Barak on peut pas le dire 
Eh bien moi je peux vous répondre sur l’ambiance là-haut le 9novembre dernier, j’y étais !!
Il y avait vraiment beaucoup (trop ?) de gens ! On n’arrivait pas à bouger un orteil, on se faisait bousculer, en plus il pleuvait alors quand on avait pas de parapluie l’eau des parapluies d’à côté ruisselait sur nos têtes
Les dominos étaient tout simplement sublimes Ils dégageaient tous un message vraiment fort, j’ai adoré ! (quoique certaines peintures partaient avec la pluie, un peu dommage). Tout le monde était hystérique quand les dominos tombaient !! En fait c’était un peu l’ambiance d’un concert mais sans être là pour la musique (même s’il y en avait, certes). Les discours étaient juste un peu lourds par moment mais c’est passé assez vite je trouve (même s’ils auraient pu s’abstenir d’arrêter les dominos pour d’autres discours 
).
PS : j’ai halluciné du nombre de français présents à Berlin 
Apparemment, il aurait fait une attaque (c’est ce que j’ai entendu à la télé). Il aurait des difficultés à s’exprimer et à se déplacer, raison pour laquelle il n’était pas présent pour les festivités à la Porte de Brandebourg lundi soir…
Expérience identique pour moi… C’était simplement à couper le souffle!
Au sujet de ceux qui prétendent « j’y étais… » / « j’étais sûr qu’il allait ce passer ceci ou cela… », j’ai adoré la remise en place des politiques français (Fillon allant manger à l’est; Védrine sûr de la chute du mur…) faite par Daniel Cohn Bendit, même si je ne suis pas toujours d’accord avec lui… C’était trop fort… en plein direct… Faut bien de quoi se marrer un peu, surtout dans le cadre de ce genre de cérémonie… ça permet de garder l’attention…
Si vous voulez vous marrer un peu; Didier Porte, dans l’émission « Le fou du roi » de Stephane Bern sur France Inter, enfonce le clou:
Mais qu’est-ce que vous avez tous à taper sur ce petit? Vous n’avez pas honte, les grands?
Tu verras, michelmau, quand tu seras président de la République… 
J’aimerais bien savoir dans quelles conditions la joyeuse bande RPR a franchi le mur dans les jours qui ont suivi sa « chute ».
Non, le mur n’est pas tombé, il est même toujours là, et si les Allemands de l’Est peuvent se promener librement juste en montrant leur carte d’identité (et même au Check Point Charlie, poste réservé jusqu’alors aux étrangers!), sans même un tampon, ce n’est pas la même chanson pour les étrangers, qui n’ont que deux points de passage à leur disposition: le Check Point Charlie et la gare de Friedrichstrasse. Dans les jours qui suivent, l’afflux d’étrangers voulant vraiment assister à la chute du mur et à l’ouverture de la porte de Brandebourg (qui ne sera ouverte qu’une semaine avant Noël) est énorme, les queues sont gigantesques, et la RDA fait de bonnes affaires avec le change obligatoire et la délivrance de visas journaliers. Et ceux qui ont un visa permanent doivent attendre comme les autres, il faut de 2 à 3 heures pour franchir la frontière dans la Friedrichstrasse, en fin d’après-midi.
A noter que cette fameuse loi sur les voyages est publiée dans la presse le matin du 10 novembre, et hors de Berlin, les queues se forment devant les commissariats de police pour obtenir un visa de sortie sur simple demande. Et c’est avec un tampon en bonne et due forme qu’ils franchiront le mur.
P.S. Un petit tuyau pour dater les photos, tout était un peu mélangé dans les documentations, à qui on fait dire ce que l’on veut bien faire dire:
Jusqu’au 30 novembre, l’armée et la police portent la casquette. A partir du 1er décembre, c’est la chapka qui est de rigueur. Sur les photos où l’on voit un garde-frontière fraterniser avec un policier berlinois de l’Ouest, bien regarder le couvre-chef.
Dans les mois qui suivent, d’ailleurs, les garde-frontières ne portent plus d’épaulettes indiquant leur grade. Et le 1er juillet 1990, suite à l’union monétaire, les contrôles sont supprimés entre les deux Etats allemands. L’union monétaire et douanière est réalisée, et la RDA est de facto membre du marché commun, en attendant son dépècement par la Treuhand, l’office chargé des privatisations.
lol Victoria c’est excellent
Bon j’y étais pas mais comme Originus l’a dit, un truc m’a frappé: C’est quand même une cérémonie pleine de pathos, quand on y regarde de près.
J’ai un séminaire sur la propagande pendant la guerre froide et ce mardi on a regardé le Tagesschau ensemble pour commenter « l’instrumentalisation de l’histoire ». La question m’a semblé pertinente, un peu trop de bons sentiments.
Mais bon, j’y étais pas et de toute façon, les Allemands ont tous une opinion bien différente concernant cette histoire, de « le mur était une honte » à « les Allemands de l’Est puent le caca ».
C’est bizarre, aucune chaine de télé n’a diffusé goodbye lenin, si je ne me trompe pas !
si, si : France 2, le mardi 3 novembre, après le documentaire de Rotman.
ah oui… mais j’ai pas france2 
en allemagne/autriche, je l’ai pas repéré dans le programme télé !