Des mots qui reviennent souvent dans les articles de presse à propos des évènements regrettables de la Saint-Sylvestre. Je comprends bien qu’il s’agit de vols ( Diebstahl) , mais le premier élément du composé ( Antanz / … apporte -t-il une précision sur le mode opératoire des délinquants ?
Se pointer et repartir aussi vite qu’on est arrivé , ni vu , ni connu , je t’embrouille ?
EDIT ; éventuellement , existerait-il un terme équivalent en français ?
« Le coup du danseur ».
Une des méthodes utilisées pour le vol à la tire en détournant l’attention de la victime. Soit en s’approchant de la victime de face, en dansant, les bras écartés, de sorte à lui barrer le chemin, tandis que un ou deux complices suivent la victime. L’un subtilise le portefeuille ou le téléphone et le repasse immédiatement à son acolyte qui s’esquive. On s’excuse après d’avoir importuné la victime (« On rigole, quoi »). Le coup du danseur peut être aussi beaucoup plus physique lorsque la victime est alcoolisée, surtout aux petites heures, ou lors de rassemblements festifs, comme à la Saint-Sylvestre, où un tel comportement surprend moins.
Le « danseur » met son bras autour du cou de la victime comme s’il voulait danser avec elle, et avec sa jambe cherche à la déséquilibrer, tandis qu’un complice procède comme plus haut.
sat1.de/tv/akte/video/2016-d … diebe-clip
jeuneafrique.com/296075/poli … a-cologne/
Autres techniques classiques : le coup de la moutarde sur le manteau (grande affluence genre marché de Noël), la bousculade aux portes du bus ou du métro, ou carrément l’accolade, qui rejoint un peu la méthode du « danseur », mais en plus jovial et moins glauque, genre « excusez-moi, j’avais cru reconnaître un ami perdu de vue depuis longtemps ».
Merci pour ta réponse et pour les liens , Andergassen ; je comprends mieux maintenant ce petit « rituel » opératoire.
Dommage que la video ne soit pas " verfügbar in meinem Land." 
Oui , ça marche.Merci ! 
les petits roumains emboite le pas aussi, tu sents un soufle !! trop tard
à Marseille , juste après la guerre, certains taxis mettaient des planches au devant du siège arrière, dans les gimbardes qui servaient de Taxi
pour subtiliser les portefeuilles des GI US, qui avaient la fâcheuse habitude de mettre les dollars dans la poche arrière, souvent entouré d’un gros trombone en fer
d’où l’appellation de poche porte feuille
l’objet , vue la position tombé souvent entre le dosseret du siège le coussin