Si tu veux Kissou, je t’envoie une boule de glace…en bouteille
Un Döner !!! un Döner… c’est pas régime le Dimanche !!
Je peux toujours essayer, mais je ne te garantis pas la fraîcheur du produit…
Sans commentaire. Mais ça explique pas mal de choses.
La célèbre avenue berlinoise Ku’damm fête ses 125 ans
Un sympathique film à voir ici : sei.berlin.de/live-dabei/125-jahre-kudamm/
Humboldt Box : la boîte qui dérange Depuis un mois, un étrange objet a atterri en face du « Berliner Dom », la Cathédrale de Berlin, dans le cœur touristique de la ville. Son nom : la Humboldt Box, comme le célèbre naturaliste allemand du XIXème siècle. Sa mission : informer le passant sur la reconstruction du prestigieux Stadtschloss, château de Berlin, rasé par la RDA.
Décriée par les médias, la Humboldt Box rencontre selon les dires de son directeur un succès inattendu. L’entrée, payante, passera le 15 août prochain de 2 à 4€. Se pressera-t-on toujours autant aux portes de ce bâtiment incongru ?
« Le charme d’une boîte à chaussures »
L’inauguration de la Humboldt Box a au moins le mérite de ne pas être passée inaperçue. «Boîte à chaussures», « Lego Star Wars », «cube repoussant», « d’une laideur inconcevable », sont quelques-uns des qualificatifs qui ont été attribués à l’édifice métallique par la presse. La palme du commentaire revient à la chaîne publique ARD : « C’est comme si une lointaine galaxie désirant se débarrasser de sa ferraille l’avait crachée en plein sur la planète Terre. Et pas n’importe où, non ! C’est encore tombé sur Berlin. »
lagazettedeberlin.de/index.php?id=6916
Autant sur Postdamer Platz, elle passerait convenablement dans le paysage, mais sur Unter den Linden, ca fait vraiment tâche.
Bof, à Berlin, ils sont habitués au n’importe quoi, et ils en redemandent. Depuis la fin de la guerre, Berlin est un laboratoire où se réalisent les idées les plus incongrues. Il y a 50 ans, on avait même construit un mur en plein dans la ville, et juste à la porte de Brandebourg qui plus est !
si l’on regarde bien… c’est pas plus moche que l’affreuse salle de spectacle bleue aux pieds… De la cathédrale de Cologne !!!
on sait bien que les allemands… parfois… ont un goût… plus que douteux (quoi ??? mais si … les chaussettes blanches dans les tongs… vous savez bien… )
L’histoire se répète. Au début des travaux sur le Potsdamer Platz en 1995, on a déjà installé une Infobox, qui a subi les mêmes critiques.
Il va sans dire que cette box a eu un énorme succès en ce qui concerne le nombre de visiteurs
de.wikipedia.org/wiki/Infobox
PS
sans oublier Emil et son string
Vous m’avez vraiment traumatisé avec cette histoire
C’est vrai qu’ils étaient vraiment affreux, les strings…
Il s’agissait de l’oeuvre d’un dingue profondément schizophrène et paranoïaque qui n’avait pas lu « Psychopatologie de la vie quotidienne » de Sygmund Freud et de plus au psychisme profondément immature et dont les entécédents psychiatriques étaient particulièrement lourds.
Et voilà, j’apprends encore quelque chose grâce à cette bloggeuse qui nous emmène à la découverte du quartier de Grünau :
Une salle de bal, un hôtel, un restaurant, un biergarten et même une piscine paraît-il, voici ce qui constituait la Rivieira de Grünau… Placés idéalement au bord de l’eau les lieux furent adoptés par les badauds du dimanche dès 1895. Une palmeraie y fut plantée puis peu à peu des bâtiments construits pour accueillir concerts et soirées dansantes.
Dans les années 80 la Ballhaus se transforma en discothèque et devait démontrer aux pays capitalistes qu’à l’Est aussi on savait s’amusait en toute liberté. La salle était ouverte à tous, ouvriers et fermiers compris.
Difficile de s’imaginer ces années de fastes face aux bâtiments presque en ruines et au jardin dans lequel la nature a repris ses droits. Le lierre a ceinturé les lampadaires et les herbes folles les façades.
La suite (et les photos !) : goodmorningberlin.com/821/
Le musée de cinéma allemand et de la télévision à Berlin ou 4 heures de passer dans un lieu magique. Et pourtant des déceptions. Après une exposition impressionnante et très riche en info et reconstitutions des œuvres des cinéastes allemands, monstres sacrés de l’Avant Guerre , une salle complète consacrée à la Divine Marlène, l’exposition devient peau de chagrin. On passe au ciné des années 70 et on se retrouve devant des petits écrans où les cinéastes sont présentés deux par deux : un extrait de film et leur filmographie très succinte. Wim Wenders est présenté au côté de Fassbinder… La jeune génération de cinéastes allemands est quasiment absente. Si je résume, le musée prête à croire qu’après l’époque des Murnau, Fritz Lang, le cinéma allemand a disparu pour ne réapparaître que dans les années 70-8O avec les incontournables Schlöndorf, Wenders, Fassbinder, etc, une petite incursion dans les années 2000 grâce au Good-Bye Lenin de Wolfgang Becker. Mais bon pour le cinéma allemand contemporain, je suis franchement restée sur ma faim.
Quant aux volets télévision allemande, je dirais qu’une préparation de la visite est indispensable pour les personnes non familiarisées avec la télévision allemande. D’ailleurs pour cette partie, les explications ne sont qu’en allemand, les germanophiles non germanisants ont été sensiblement oubliés. Mais bon, la visite vaut quand même la peine.
C’est normal s’il s’agit d’une exposition consacrée à la télévision allemande. On est en droit de supposer qu’un téléspectateur qui reçoit et regarde les chaînes allemandes le fait en connaissance de cause. Je ne vais pas regarder la télévision suisse romande si je ne connais pas le français, de même que chez nous un non-germanophone n’ira pas regarder RAI Bozen.
Et puis de toute façon, « germanophile non germanisant » est un non-sens. La vie est une succession d’options, et on choisit son camp. Point barre.
Je ne vais pas regarder la télévision suisse romande si je ne connais pas le français, de même que chez nous un non-germanophone n’ira pas regarder RAI Bozen.
Détrompe-toi Andergassen ! Ma tante et mon oncle regardent une chaîne allemande, sans jamais rien comprendre à l’allemand, simplement parce que cette chaîne (je ne sais plus laquelle) passent des musiques et des chansons « de leur temps », avec un présentateur soit-disant super sympa (même s’ils ne comprennent rien à ce qu’il raconte ! ) . Ma tante et mon oncle se contentent d’écouter chansons et musiques, et passent souvent une heure bien agréable ! d’autant qu’il n’y a rien de semblable sur les chaines françaises
on peut donc écouter une chaîne étrangère, sans en parler la langue, même si, effectivement, les personnes qui font cela, doivent être rares
Alors là tu m’en bouches un coin !
Je pense qu’il s’agit d’une exposition pour un public germanophone, donc il y a pas lieu de donner des explications en Anglais,ou français.
Je pense qu’il s’agit d’une exposition pour un public germanophone, donc il y a pas lieu de donner des explications en Anglais,ou français.
et c’est bien dommage Jean-Luc ! pourquoi les touristes étrangers ne seraient-ils pas désireux d’en apprendre plus sur la télévision allemande ?
Il ne s’agit pas d’inviter les visiteurs étrangers à regarder les chaînes de télévision allemande, je me range d’ailleurs à l’avis de la majorité de ceux s’étant exprimer à ce propos : mis à part les programmes musicaux, cela ne sert pas à grand chose de regarder la TV allemande si l’on ne comprends pas l’allemand. Je voulais parler de satisfaire les visiteurs du musée qui pourraient avoir un regard curieux sur l’histoire de la télévision allemande. Et après la profusion d’explications en langue anglaise sur le cinéma allemand, on pourrait s’attendre au moins à quelques explications au moins en anglais. Je pense que l’on peut vouloir profiter de la visite de ce musée pour découvrir un peu l’histoire de la télévision allemande sans pour autant devoir parler l’ allemand. C’est dommage de ne pas donner cette possibilité aux non germanisants ou plus exactement aux non germanistes.
J’ai utilisé le mot germanisant et non germanophone, car je préfère réserver le mot germanophone, à ceux dont l’allemand est la langue d’usage naturel. Mais le mot « germaniste » aurait été plus adapté, l’emploi du mot « germanisant » dans le sens de qui étudie la langue allemande, étant moins répandu que celui de « féru de la langue allemande ».
Salut à tous