welt.de/wirtschaft/article65 … tsche.html
Traduction :
Les Grecs cherchent des boucs émissaires alors que la corruption ruine leur pays.
Cette polémique n’est pas sérieuse.
Je lisais dans le Zeit un petit article sur la Lithuanie. Quel rapport? Et bien la Lithuanie aussi était au bord de la faillite l’année dernière, et ils se serrent la ceinture sans demander de fonds spéciaux ni au FMI ni taxer les Allemands (c’est toujours eux qui finissent pas payer). La réflection d’un ministre (une femme, ne me demandez pas le nom, genre Gry…aite) qui montre que la Lithuanienne de base a la litote féroce (en substance): « Visiblement, les Européens du sud ne sont pas capables des mêmes sacrifices que ceux du nord ».
La Grèce est habillée pour l’hiver.
Il s’agit de Dalia Grybauskait?. 
Elle parle quatre langues : anglais, russe, polonais et français.
Sa biographie figure ici.
Euh, et lituanien peut-être ? 
De toutes façons les allemands ne veulent pas payer pour les grecs, et autres européens.
jean luc
Je trouve que le « conseil » de l’Allemagne va un peu loin, non ?
En tout cas, le sujet semble tracasser sérieusement les Allemands !
C’est parce que les Allemands n’ont jamais été tellement chauds pour l’euro! (qu’ils appellent « Teuro », en passant, l’euro cher).
Il y a toujours la nostalgie du DM, la monnaie forte par excellence, qui faisait référence en Europe et face au dollar. On se sentait un peu les maîtres par rapport à des monnaies fluctuantes comme le franc, la lire et autres pesetas et escudos.
La culbute de la Grèce risque de mettre à mal la stabilité de l’euro. Et vous connaissez le côté « donneur de leçons » des Allemands, et surtout de leur presse de boulevard. D’où le ton de l’article.
D’autant plus que depuis la grande inflation de 1923, les Allemands souffrent du syndrome de la monnaie qui part en eau de boudin. C’était bien la peine de faire le miracle économique pour en arriver là… J’entends d’ici les jérémiades « On vous l’avait bien dit qu’on allait se casser la figure… ». Et puis, on s’est toujours demandé comment des rigolos comme les Grecs ou les Portugais avaient fait leur compte pour intégrer le club de l’euro. Moi, personnellement, ce sont les Slovaques qui m’ont surpris. (Mais en fin de compte, bien pratique, j’en avais marre de me faire rembarrer quand je payais avec des couronnes tchèques à Bratislava, et avec des couronnes slovaques dans les Sudètes ).
Je verrais pas pourquoi les contribuable allemands payeraient 14 mois de salaire aux fonctionnaires grecs,de plus ils sont corrompus , et innefficasse.
Il faut bien comprendre que l´Allemagne refuse d´être le bailleur de fond de l´Europe. Pour ma part jamais la Gréce,lePortugal, l´Espagne, l´Italie n´auraient dû rentrer dans la zone EUROS.
jean luc
D’un autre côté l’adoption de la monnaie unique était l’une des exigeance de la France dans la cadre des négociations 2 + 4 il y a tout juste 20 ans.
[i]Bild, qui mène depuis plusieurs jours une campagne virulente contre un soutien financier de l’Allemagne à la Grèce, n’a pas infléchi sa ligne dans son édition de vendredi en dressant une liste d’irrégularités selon lui d’usage en Grèce.
Dans ses colonnes, le quotidien le plus lu d’Allemagne adresse une lettre ouverte au Premier ministre Georges Papandréou, attendu ce vendredi à Berlin pour une visite à la chancelière Angela Merkel: «Vous êtes en Allemagne», un pays «très différent du vôtre.»[/i]
liberation.fr/economie/01016 … travailler
je suis d´accord avec le bild.
Pas d´argent pour les grecs .
jean luc
Je ne me sers de ce torchon, quand il m’arrive de l’avoir sous la main, 
que pour emballer mes épluchures.
Je ne lit jamais ce torchon , trop bas pour moi.
Je n´ais fait que donner mon avis personnelle, comme la plupart des allemands , je suis contre de payer pour les autres.
Mais je sait aussi que politiquement , et financièrement on devras payer d´une façon ou d´une autre.
L´euros le mark 
jean luc
Bon, du haut de mon 1m57 et avec mes 19ans, je ne saurais dire qui devrait et de quelle facon aider(ou pas) la Grèce. 
Je comprends totalement les réticences à payer pour les erreurs d’autres surtout dans le contexte économique actuelle.
Là où par contre, j’aimerais m’exprimer, c’est au niveau du déferlement des clichés depuis quelques jours. Déjà, que la Grèce utilise la période nazie, je trouve ca ridicule et déplorable. Mais même au niveau de l’Allemagne, j’ai lu l’article donné par fifititi sur la lettre ouverte au Premier ministre grec du Bild. Ok, je sais, c’est le Bild mais quand meme, ca reste un quotidien important vu le nombre de ses lecteurs . Voir des phrases comme «L’Allemagne a aussi de grosses dettes mais nous les remboursons, parce que nous nous levons tôt le matin et travaillons toute la journée.», ca me révolte presque tout autant que la réouverture du thème de l’occupation. Après bien sur, cette phrase est tiré d’un article de Libé est est mise hors contexte. Mais, en général, la Grèce est au centre des conversations en ce moment et avec mes deux petites oreilles, j’écoute et c’est à celui qui utilise le plus de clichés. Je sais bien que la presse doit vendre, et provoquer mais en ce moment, c’est une guerre écrite entre la Grèce et l’Allemagne ou je me trompe ?
Ok, les Allemands ne souhaitent pas financer une crise qui n’est pas la leur et ca, j’ai dit que je le comprenais totalement. Mais on est en Europe, on a pas besoin de jouer « à qui va trouver les meilleurs clichés à balancer » ou vive l’esprit européen alors. Je trouve ca vraiment dommage.
Je suis d’accord avec toi.
Quand on fait parti de l’Union Européenne on doit en accepter les avantages et les inconvénients.
Si le Bild ne fait qu’écrire ce que la majorité de la population pense tout bas nous devons le savoir.
Je trouve vraiment dommage ce déferlement de clichés de part et d’autre qui sont plus que douteux et qui n’honorent ni les uns ni les autres.
De toute façon la Grece ne sortira pas de la zone Euro et regretter sans arrêt le Mark ne sert a rien.
Le Mark est né dans des circonstances très particulières qui à l’époque n’étaient pas particulièrement favorable à l’Allemagne, dans le cadre de la Guerre froide.
L’Euro est né d’une volonté commune librement acceptée par tous les partenaires de l’époque de créer une véritable solidarité financière qui présente plus d’avantages que d’inconvénients pour tous les participants.
Il s’agit en effet d’une petite guerre déplorable entre pays qui ont beaucoup plus de points communs qu’ils ne le pensent.
De plus ce sont bien les grecques qui payeront la note la plus lourde dans cette affaire.
D’autre part la situation financière de pays comme l’Espagne ou le Portugal n’est guère meilleure.
Donc nous devons nous attendre à ne nouvelles crises avec leur cortèges de clichés déplorables.
L´Allemagne va aider la Gréce. Et aprés?
blog.lefigaro.fr/geopolitique/20 … ece-e.html
jean luc :wink:
n’importe quoi … les politiques ne savent plus quoi inventer
Y en a ras le cul qu’on nous ressorte la période du IIIeme Reich sous toutes les formes… Les grecs ont remboursés l’Asie pour la période d’Alexandre le grand?
Ca vaut un point Godwin au gouvernement grec !