Par Thomas, le Cimbre, le 24 mai 2010, - Economie de bulles, crises systémiques, subprime - Lien permanent
Pour sortir de la « Crise », la Conférence Bilderberg d’Athènes avait décidé du 14 au 17 mai 2009 d’organiser la « Destruction par les marchés ».
Selon le fascicule envoyé préalablement aux participants, Bilderberg était à la recherche de deux options, selon Daniel Estulin, observateur du Club Bilderberg: « Le thème principal de discussion de la rencontre de cette année était de traiter de la crise économique, en la conduisant dans une dépression plus prolongée et agonisante qui jette le monde pour des décades dans le désastre de la stagnation, le déclin et la pauvreté… ou en la conduisant vers une dépression intense mais plus courte qui va paver la route d’un nouvel ordre économique durable avec moins de souveraineté de la part des États mais avec plus d’efficacité ». renovezmaintenant67.eu/index … 2C-des-USA
samedi 29 mai 2010
Crise grecque: la Bundesbank évoque un «complot français»
La Banque centrale allemande reproche à la Banque centrale européenne, sous influence française, d’avoir racheté un trop grand nombre de dettes grecques.
Les relations entre la France et l’Allemagne n’ont pas fini d’être tendues. Et ce en dépit des déclarations de Nicolas Sarkozy, qui avaient martelé il y a une semaine qu’il n’y avait pas de désaccord avec l’Allemagne sur la réforme de l’euro. Il y a deux semaines, la Banque centrale européenne annonçait le rachat d’obligations souveraines et privées, et notamment des dettes grecques, et ce, pour accompagner le plan d’aide de 750 milliards d’euros, crée par les Etats membres de la zone euro. Une mesure que n’a pas du tout apprécié la Bundesbank, la banque centrale allemande d’émission qui n’hésite pas à parler de «complot français» qui porte atteinte aux intérêts de l’Allemagne.
Pourquoi la France aurait-elle intérêt à ce que la BCE rachète des obligations grecques ? Deux raisons pourraient être avancées : tout d’abord, parce que les banques françaises sont les plus exposées à la Grèce, avec des créances qui s’élèvent à 53 milliards d’euros; ensuite, la France sait que si la situation grècque venait à s’aggraver, elle serait donc le prochain pays en ligne de mire des agences de notation.
Le journal allemand Der Spiegel rapporte dans son édition de lundi que la BCE a déjà racheté 40.000 millions d’obligations dont 25.000 millions de dettes grecques, causant «une irritation importante» de la Bundesbank. L’Allemagne, par la voix de sa chancelière Angela Merkel ou du patron de la Deutsche Bank, n’a jamais caché ses doutes quant à la capacité de la Grèce de rembourser ses dettes. En février dernier, plusieurs grandes banques allemandes avaient décidé de ne plus souscrire de nouvelles obligations de l’Etat grec, inquiètes de la situation financière du pays.
Les banques françaises ont pour 51 milliards d’obligations grecques et les banques allemandes en ont pour 31 milliards d’euros. La France va payer 5,5 milliards et l’Allemagne va payer 8,4 milliards d’euros de prêts garantis par l’Etat. On se souvient qu’après cette mesure l’indépendance de la BCE avait sérieusement été remise en cause… par l’Allemagne, puisqu’elle avait toujours clamé qu’en dépit de la situation financière plus que compliquée de la Grèce, elle ne rachèterait pas d’obligations grecques. Autrement dit, des produits qu’aucun investisseur ne voulait. La BCE avait martelé son indépendance.
Nul doute que les marchés financiers ne tarderont pas à spéculer sur cette nouvelle tension franco-allemande, dont Nicolas Sarkozy et Angela Merkel pourront discuter le 7 juin à l’occasion d’une rencontre pour discuter d’une coordination des positions de la France et de l’Allemagne, en vue du prochain Conseil européen et des sommets du G8 et du G20 prévus fin juin au Canada. Pour l’heure, on est encore loin de la mise en place d’une gouvernance économique au sein de l’Union européenne.
(Figaro) mahamudras.blogspot.com/2010/05/ … ue-un.html
Crise de la dette : Romano Prodi fustige « l’égoïsme » allemand L’ancien président de la Commission européenne et ancien premier ministre italien, Romano Prodi, accuse l’Allemagne de faire preuve d’« égoïsme » à travers la vente massive d’obligations italiennes par la Deutsche Bank, dans une tribune publiée samedi 30 juillet dans Il Messaggero (non disponible en ligne). M. Prodi appelle le gouvernement italien « à réagir », affirmant également que l’Italie est dans une situation économique beaucoup plus solide que l’Espagne.
Selon l’ancien chef du gouvernement italien, les taux élevés auxquels l’Italie est contrainte d’émettre ses obligations en raison des turbulences du marché rendent « vaines » les mesures d’austérité entérinées à la mi-juillet par le Parlement. lemonde.fr/europe/article/20 … _3214.html
Oh mais le défaut de paiement de la Grèce ce n’était qu’un hors d’œuvre Jean-Luc.
Avec le défaut de paiement des États-Unis d’Amérique dans trois jours on entre vraiment « dans le dure » avec à la clef l’apocalypse sur les marchés financiers et la fin du capitalisme par la faillite totale des banques qui détiennent des quantités énormes de bons du Trésor américain qui mercredi matin ne voudront plus rien.
C’est une affaire qui se chiffre quand même aux alentours de 14 000 milliards de dollars alors que la dette des pays de la zone Euro est de « seulement » 6 000 milliards de dollars etelle de la France de « seulement » 1 500 milliards de dollards.
Vivement lundi que je reprenne le travail pour assister à l’écroulement final.
ils sont obliger de s´entendre, sinon c´est la catastrophe pour tout le monde. Le problème est politique, on rentre dans une période de primaire aux USA ,alors on montre du muscle,il y a pas d´autre solution de s´entendre sinon c´est leur propre du camp qui explose ( républicain). Le problème aux USA, c´est que les impôts sont très bas,les démocrates veulent
augmenter les impôts ( notablement des plus riches), et les républicains veulent couper dans les dépenses sociales.
Le compromis seras au milieux.
Tu as raison, c’est un problème purement politique.
Je n’arrive pas a croire que les États-Unis d’Amérique seront assez fou pour mettre fin eux-même au capitalisme.
Mais peut-être que Karl Marx a raison finalement : Les capitalistes sont peut-être assez stupides pour se tirer une balle dans la tête.
En attendant je suis partagé entre la joie de voir le capitalisme s’écrouler et la peur d’être complétement ruiné.
La bourse quel descente Ne vous rejouiez pas trop vite. Les assurances vie sont rempli de"papier"(emprunt d´état) grecs, espagnol , portugais,français , irlandais , en cas de défaut de payement , je craint le pire.