Chartres - Das Foto wirkt auch heute noch. Es sind die Blicke der Menschen, die unter die Haut gehen. Schadenfreude und Rachedurst sind nicht verblasst. Sie gelten einer Frau ohne Haare und dem Baby, das sie trägt. Das Foto von der Kahlgeschorenen in Chartres ist weltberühmt. 66 Jahre nachdem es Robert Capa geschossen hat, stellt sich heraus: Der Vater des Babys war ein Künzelsauer.
Die Szene hat sich nach der Landung der Alliierten in der Normandie so oder so ähnlich in vielen Städten Frankreichs abgespielt. Kaum waren die deutschen Besatzer abgezogen, feierte die Bevölkerung die Befreiung und bestrafte Kollaborateure: Einheimische, die mit den Deutschen zusammengearbeitet hatten oder auch nur im Verdacht standen.
Schande
Opfer der Racheaktionen wurden auch Denunzianten und Frauen, die eine Liebesbeziehung zu einem deutschen Soldaten hatten. Zum Zeichen der Schande wurden sie öffentlich kahlgeschoren und durch die Straßen getrieben.
Die Bloßstellung blieb Simone Touseau, die als Übersetzerin für die deutschen gearbeitet hatte, nicht erspart. Ihrer Geschichte ist der Geschichtslehrer Gérard Leray in Chartres auf der Spur. Mit dem Lokalhistoriker Philippe Frétigné arbeitet er an einem Buch über das am 16. August 1944 von Robert Capa aufgenommene Foto
Cet photo a été prise á Chartre le 16.08 1944 par robert capa .La femme qui porte le bébé , s´appelle Simone Touseau,de sa mère a droite (tondu aussi), et du père qui porte le sac , la famille est accusé de collaboration , et de haut trahison . Le prof d´histoire Mr LERAY, aider par un historien local Mr Frétigné veulent rétablir la vérité sur la famille .Pour celas ils ont chercher á identifier le maximum de témoins, notablement le pére du bébé . Le journal local a reçu novembre 2010 le Émail suivant "après mes recherche dans les archive nationale á Paris,je pense que Eric Göz professeur, et né le 20-09-1909 serait le père du bébé, et demande á la rédaction du journal, de l´aider á l´identifier.
Avec l´aide des archives de la ville il est établi que ERic Göz le fils de du juge de district Erwin Göz, et de sa femme Bertha , née Hohstetter, l´article précise que son frère et sa soeur sont morts.
L´article précise que le nom du père a été trouver les minutes du procès pour dénonciation , á l´encontre de Simone et sa famille (je vous renvois au 2ème lien qui explique l´affaire.) L´article précise aussi que l´amoureux de Simone était d´un haut niveau intellectuel , possédais un excellent français , et travailler á la bibliothèque de l´armée en campagne á Chartre.
Que sont ´il devenue .
Simone est mort le 21-02-66, victime de l´alcoolisme, et abandonner de tous.
Erich lui est tombé le 8-07-44 á Lipnitzki prés de LIDA sur le front de l´est.
Le bébé a 66 ans , et vit toujours , son identée resteras secrète , car la personne est toujours traumatisé et dépressive suicidaire.
Le livre paraîtras en début d´année.
L´article explique comment les collabos , ou supposer tell , on était traité après le départ des allemands ,notablement ses femmes qui ont aimer un allemand.
l´article renvoie au 2eme lien que j´ai mis en ligne.
jean luc
je n´ais pas á jugé Simone, ni les autres femmes, si certaines se sont comporter comme des s******, l´immence majoritée , n´ont aimer qu´un homme fut´il un allemand
Autre remarque l´immence majorité de la foule a été á un moment óu á un autre trés pétainiste.
je hais la populasse lorsqu´elle veut se faire justice elle même.
jean luc
il ne s´agit pas d´une traduction , mais d´une aide á la compréhension du texte.
Je suis trop jeune, malgré mon âge avancé, pour avoir connu ce genre d’évènements, mais je pense comme toi, que le traitement dégradant infligé à ces femmes par (souvent) des « résistants de la dernière heure » fut parfaitement odieux.
J’ai entendu, par ma mère, des témoignages de cette époque. Elle n’avait pas oublié le frère ainé d’un de mes copains, pleurant en voyant sa mère tondue sous les moqueries et les crachats de la foule.Cette femme n’avait fait que"coucher avec des occupants."
Par contre , je me souviens aussi avoir entendu ma mère, qui était le contraire d’une commère et d’une mauvaise langue, me dire que unetelle ou unetelle, avaient dénoncé des résistants, ce qui n’est pas tout à fait le même cas de figure.(Je précise que ces unetelles n 'avaient pas été livrées à la vindicte populaire et s’en étaient sorties sans trop de difficultés à la libération .)
je trouve que c’est tellement sinistre ce genre de sujet, que je me refuse à en parler… : (
Rien que le titre est accusateur, on se moque de savoir d’où venait le père d’ailleurs… il y a des histoires d’amour que ni la guerre et le camp adverse, ni la couleur de peau, ne peuvent empêcher… et c’est tant mieux !!
Quant à savoir si la « tonte » de ces femmes étaient justifiées ou non, je pense que seule une personne ayant vécu ces évènements de près, peut expliquer (peut-être) la haine qui pouvait mener à de tels actes de barbarie…::: Je crois que c’est Ionesco qui a dit « L’homme est un loup pour l’homme »… cette image (et tant d’autres !) en sont la preuve !
Petite correction; « homo homini lupus », l’homme est un loup pour l’homme " vient de Plaute, un auteur latin. Elle a été reprise par la suite par de nombreux philosophes.
Le titre en allemand n´est pas accusateur, il est seulement indicatif Le pére vient de Kunselzau, pour inciter les lecteurs á lire cet histoire, de plus il souléve un voile de notre histoire pas trés reluisant .
Franchement qu’il vienne de Kunselzau, de Berlin, De Cologne ou de Tataouinne, ça change quoi ??? D’ailleurs j’avoue ne pas trouver le titre porteur, un bon titre t’incite à lire le livre, un titre accrocheur te rend juste « voyeur » sans plus…
personnellement c’est le genre de livre que je prends sur un rayon, et que je repose illico-presto… sinistre et sans intérêt… (je parle de CE livre, et pas des femmes qui ont vécu cette histoire)