Je suis une grande amatrice de ce que fait Bernhard Schlink, et je dois dire que Der Vorleser est celui qui m’a le plus bouleversée.
J’avais traduit un extrait en Terminale, et puis je l’avais lu d’une traite en français, avant de me lancer dans une relecture, mais cette fois-ci en allemand.
J’ai également adoré Amours en fuite (mais trouvé malheureusement qu’en français) et Le week-end.
Je n’ai toujours pas lu Der Vorleser, mais je lis actuellement Liebesfluchten, et je trouve ça excellent. Pour soph*, tu le trouves chez Diogenes Verlag en Taschenbuch, sur amazon entre autres.
Sur Schlink, ce qui ne cesse de m’étonner, c’est son cursus juridique et en particulier, ça :
« Von 1987 bis 2006 war Bernhard Schlink Richter am Verfassungsgerichtshof für das Land Nordrhein-Westfalen in Münster. » (wikipedia)
Les juristes n’étant pas connus pour leur style léger (je sais de quoi je parle…), Schlink m’apparaît comme une solide exception.
Si vous avez vu au cinéma Der Vorleser / The Reader (le Liseur)… qui est tiré de ce petit livre. Je l’ai en V.O (en japonais donc…) et il est grammaticalement très simple, quelques verbes durs à prononcer et des mots de vocabulaire du quotidien.
Je vous écris la quatrième de couerture et un petit passage. Je n’arrive pas à traduire à cause de mon niveau d’allemand trop bas mais je comprend l’action en globalité, les particules aident pour beaucoup.
4ième de couverture:
Die Fassung - (le résumé) Sie ist reizbar, rätselhaft und viel älter als er… und sie wird seine erste Leindenschaft. Sie hûtet versweifelt ein Geheimnis. Eines Tages ist sie spurlos verschwunden. Ets Jahre später sieht er sie wieder. Die fast kriminalistische Erforschung einer sonderbaren Liebe und bedrängenden Vergangenheit.
Die Kommentäre - (les commentaires)
Dieses Buch sollte man sich nicht entgehen lassen, weil es in der deutschen Literatur unserer Tage hohen Seltenheitswert besitzt.<<
Tilam Krause / Der Tagesspiegel, Berlin
Einfühlsame Sprache von erstaunlicher Präzision. Ein genuiner Schrifsteller, der hier ans Licht kommt. Diese >traurige Geschichte< ist Schlinks persönlichstes Buch.<<
Michael Stolleis / Frankfurter Allgemeine Zeitung
Der beklemmende Roman einer grausamen Liebe. Ein Roman von solcher Sogkraft, daß man ihn, einmal begonnen, nicht aus der Hand legen wird.<<
Hannes Hintermeier / Abendzeitung, München
Ein literarisches Ereignis.<<
Der Spiegel, Hamburg
Je te rassure.
Il ne se trouve pas au Japon en ce moment mais à Séoul.
Vue l’état dans lequel j’étais il y a peut je préfère ne pas en parler mais sache que Séoul se trouve actuellement sous le nuage radioactif et qu’en plus il pleut.
Je te signale, fifititi, que c’est toi qui a embrayé sur le Japon, alors que nous étions sur un fil « Der Vorleser ».
Voir « Les Plaideurs » de Racine: « Quand je vois le Japon… ».
EinBisschen : pourrais-tu me dire ce que tu cherches exactement avec « Der Vorleser » ? une explication de texte, ou bien simplement parler de ce livre…
si c’est la deuxième solution, il existe déjà un sujet « Der Vorleser », donc s’il le faut je (ou au autre modo) fusionne les deux topics ensemble.
Si c’est pour une explication de texte, nous verrons à éventuellement modifier ton titre.