Existe-t-il une politique culturelle franco-allemande ?

Oui, mais là on ne parlait pas de l’utilité économique de ces langues, mais de leur facilité. Et je n’ai pas non plus remis en cause la réalité de l’apprentissage de ces langues, mais juste les raisons qui font que…

Sinon, pour le français, je veux bien te croire, mais je reste étonnée. Vu comme les Français savent mal l’anglais, je me demande comment ils arrivent à tant communiquer en anglais avec l’Allemagne. De plus, je le vois aussi dans le milieu pourtant multilingue par excellence qui est le mien, les Allemands continuent à m’écrire systématiquement en allemand bien que je leur réponde toujours en anglais et leur demande depuis toujours d’en faire autant. Enfin, la demande en traductions entre l’allemand et le français va croissant, ce qui semble peu compatible avec une prétendue utilisation de l’anglais professionnel entre l’Allemagne et la France.
Mais bon, ça doit dépendre des cas évidemment.

C’est tellement différent ici que ce serait super compliqué à expliquer.

Je ne sais même pas si c’est possible tellement les méthodes pédagogiques et plein d’autres choses sont totalement différentes.

Pour te donner un exemple : Lorsqu’un Français passe son Abitur, euh son Bac pardon, le système scolaire français attend surtout de lui qu’il apprenne plein de choses. A la limite (mais j’exagère, je le sais), quelqu’un qui aurait une mémoire d’éléphant, pourrait s’en sortir au Bac en France. En Allemagne, il échouerait lamentablement, car on ne leur demande pas de « recracher » (passez-moi l’expression) le cours du professeur, mais de mener une réflexion personnelle.

J’ai vu cela de très près lorsque j’ai été confronté avec les systèmes universitaires français et allemands : en France, si je recrachais le cours du maître de conférence ou du professeur d’université, et bien sûr ses théories et ses opinions personnelles, à l’examen, je pouvais m’attendre à plutôt bien m’en sortir. En Allemagne, on peut ne pas aller de toute l’année universitaire en cours et très bien réussir ses examens ! Je ne crois pas que cela soit concevable/faisable en France, non ?

Ce genre d’exemples vécus très concrets (qu’il s’agisse de ma fille ou de ses amis qui vivent en France, ou qu’il s’agisse de mes propres expériences), tendent à montrer qu’il y a véritablement de très grandes différences.

Et, encore une fois, pour les comprendre - car en parler c’est une chose, mais les comprendre s’en est une autre ! - je ne sais même pas si c’est possible. Il faudrait être totalement immergé dans le pays, la culture, les habitudes, la mentalité. Ce qui est quasiment impossible et n’est le cas que des quelques % de gens qui ont ce genre de parcours de vie, dans plusieurs pays, depuis l’enfance, etc. Donc autant dire que d’essayer de la expliquer ou d’en parler c’est déjà pas évident, alors les comprendre n’en parlons même pas…

Eh bien, franchement, je pense que tu te trompes un peu : les jeunes gens, notamment toute la génération qui a moins de 30 ans, se débrouillent pas si mal que ça en anglais. Tout du moins ceux que moi j’ai vu passé dans mon boulot. Et si je compare avec les gens de ma génération (plus de 40 ans), les jeunes sont beaucoup plus compétents en langues que nous ne le sommes (ou ne l’étions à leur âge) ! (même si moi j’ai un profil très atypique, mais je parle de l’ensemble des gens de mon âge)

Et, lorsque j’ai bossé en Allemagne, je peux te garantir que j’ai vu plein de jeunes français pas si mauvais que ça en anglais !

Certes, par rapport à des Allemands du même âge, il y a souvent une différence, car les Allemands sont connus pour plutôt bien maîtriser l’anglais, du moins l’anglais des affaires, mais franchement les jeunes Français ne se débrouillent pas si mal que ça.

Je pense donc sincèrement que c’est plus une impression que la réalité.

Preuve s’il en est : le nombre de jeunes Français, depuis des tous petits gamins en école jusqu’aux plus grand qui étudient, qui font des échanges au moins une fois par an avec leur école ou leur université avec des pays étrangers, les milliers qui passent un an ou plus à l’étranger, etc, etc, etc.

Donc je pense que tu as une opinion un peu sévère vis-à-vis des compétences linguistiques (notamment en anglais) de tes compatriotes. Mais c’est parfaitement compréhensible ! C’est peut-être (voire probablement) du au fait que dans ton boulot on te demande une maîtrise quasi parfaite des langues étrangères (et de l’allemand en l’occurence), donc évidemment en comparaison à cela, 95% des Français sont nuls c’est évident. Mais il faut quand même ne pas se tromper de repères. :wink: On ne peut pas comparer avec des gens qui ont fait des études de langues comme toi ou d’autres personnes ici sur le forum. La réalité est quand même pas si mauvaise que ça et les Français ne sont -dans l’ensemble- pas si mauvais que ça en anglais.

Oui mais comme on le disait plus haut (ou ailleurs ? Je sais plus déjà…), le fait de beaucoup étudier une langue ne signifie pas nécessairement que tu la parles bien, et même pas que tu la parles au moins un tout petit peu !
Mais bien sûr que la situation s’améliore quand même un peu avec les nouvelles générations, heureusement !

Il ne faut pas être allergique aux changements/réformes (je ne dis pas que c’est ton cas, mais c’est le cas là où tu habites et tu vis : en France ; et nous sommes tous, sans le vouloir et parfois sans le percevoir, influencer par l’endroit où nous vivons, donc…).

Il faut essayer. C’est seulement si on essaie qu’on peut dire ensuite si c’est mieux ou moins bien.

Et je pense que même s’il y a des petits changements (très positifs !), la France a quand même encore et toujours plus de problèmes que plein d’autres pays avec les changements, alors que tant qu’on n’a pas essayer il est impossible de dire si c’était mieux ou moins bien avant.

Donc, s’ils veulent essayer et faire des changements dans le système éducatif français (quel que soit le but, que ce soit le côté compréhension ou le côté pratique, dont nous parlions ci-dessus quand tu disais que tu ne trouvais pas que le tournant que prend le système scolaire leur réussisse), eh bien pourquoi pas ?!

Ca c’est évident. Mais sans l’apprentissage de cette matière ça l’est encore moins… :wink: donc faut voir aussi le côté positif des choses.
Moi je préfère voir des milliers de gamins ou d’étudiants français et allemands qui apprennent des langues étrangères (même si l’utilisation c’est une autre paire de manche) plutôt que l’inverse !

Da bin ich 100-prozentig einverstanden. Wer weiß z.B. hier auf’m Forum, daß seit dem Beginn der WM, mehrere dt. Radiosender die Verkehrsmeldungen sowohl auf deutsch als auch auf english und französisch senden ?!?

Ich vermute mal keiner hier… Obwohl das wirklich etwas neues ist ! Und das zeigt, daß sich auch etwas bewegt ! Aber mich würde es nicht wundern wenn 99% der Bevölkerung unserer beiden Länder sowas gar nicht mitgekriegt haben…

Was den Sprachunterricht bzw. Französisch-Unterricht anbelangt, gibt es noch ein anderes Problem, daß viel zu oft unterschätzt wird : Die Eltern…

Ich weiß nicht ob Du Dich daran erinnerst Theresa, letztes Jahr habe ich ja 2 mal in der Woche Abends Schüler/innen in französisch unterrichtet. Und wenn Du wüsstest, mit welchen -für mich damals unglaublichen- Probleme ich damals konfrontiert wurde… bis ich schliesslich ein Brief (als eine Art Hinweis/Anleitung für alle Eltern die ihre Kinder zur Nachhilfestunde schicken) an alle Eltern geschrieben habe :

[i]Wir wissen zu schätzen, daß Sie sich durch diese Entscheidung, Ihrem Kind private Nachhilfe zu bezahlen, eine zusätzliche finanzielle Last aufgetragen haben.
Aber wir sind auch keine Zauberer. Ein Lehrer ist kein Zauberer, der Ihr Kind in ein paar Wochen in ein Genie zaubern kann.
Wir kennen zwar Methoden u. Techniken, die dazu beitragen können, daß Lernen nicht mehr als eine Last bzw. Pflicht zu empfinden, und entscheidend dazu beitragen können, daß Ihr Kind wieder Spaß am Lernen bekommt. Aber stellen Sie Ihr Kind nicht zusehr unter Druck. Ihr Kind empfindet schon genug Druck (von seiner Umwelt, in der Schule, usw). Denken Sie nur an Ihre eigene Zeit, als Sie selbst in der Schule waren. Kommen Ihnen dabei nur positive Gedanken bzw. Erinnerungen ?
Vermutlich nicht. Wie uns allen (oder fast allen). Aber wir bemerken erst sehr spät (man nimmt es gewissermaßen erst spät zur Kentniss) und lernt zu schätzen, was unsere eigenen Eltern damals für uns getan haben und alles dafür aufopfern mussten.

Verlangen Sie also nicht von Ihrem Kind, das er/sie das jetzt versteht. Er/sie wird es schon irgendwann in der Zukunft zu schätzen lernen und verstehen. Schliesslich haben wir auch sehr lange gebraucht um das zu verstehen.

Und v.a. stellen Sie keine zu hohen Erwartungen an Ihr Kind. Dadurch bereiten Sie selber das Terrain vor, um zwansläufig, irgendwann mal später Frustrationsgefühle zu empfinden.

Erwarten Sie genauso wenig vom Lehrer, daß er/sie Ihr Kind von heute auf morgen in ein Genie verwandelt.

Zeit ist heute Mangelware geworden. Und Sie fragen sich, warum Sie sich jetzt das alles anhören sollten.

Dann überlegen Sie mal was schon ein paar Minuten ihrer Zeit sind, wenn Sie dadurch einen erheblichen Beitrag für Ihr Kind und sein Wohl leisten können.

Nehmen Sie sich desshalb die Zeit diese paar Seiten in Ruhe durchzulesen. Stellen Sie das Radio und den Fernseher aus. Setzen Sie sich an einen ruhigen Ort, wo Sie ungestört sind.

Es gibt viele Methoden um Ihre Zeit und die Ihres Kindes besser zu nutzen. Wichtig dabei ist nicht sich alles mögliche darunter vorzustellen - probieren Sie es einfach aus.
Es ist gleichgültig, wie jemand ein Fach o. eine Lernmethode lernt, viel wichtiger ist, wie lange man durchhält.

Auf der nächsten Seite geben wir Ihnen Fünfzehn bewährte Hinweise, als Anregung für Sie und Ihr Kind, wie Sie diese kostbare Zeit wirkungsvoller und effizienter nutzen und gestalten können.

Viele der dargestellten Hinweise sind Möglichkeiten… und einige davon sind uns ja an sich geläufig, einige mögen auch selbstverständlich klingen, doch im Alltag übersehen wir sie oft o. gar nehmen sie nicht mehr wahr.

Und bedenken Sie : Sie haben sich entschieden, Ihrem Kind Nachhilfe zu bezahlen. Wissen Sie eigentlich warum dies ein so wichtiger Grundschritt ist ?
Weil Sie es nicht mehr anderen überlassen. Weil Sie nicht mehr anderen alleine darüber entscheiden lassen, was für Sie und Ihr Kind wichtig ist. Denn das Angebot der öffentlichen Schulen hat uns alle bequem und hilflos gemacht. Bequem weil wir nicht mehr darüber nachdenken, wozu das Ganze, welchen Sinn das macht. Und hilflos weil beim ersten Problem, wir alleine da stehen, mit dem Eindruck, niemand würde sich für unser Problem interessieren, und v.a. nicht die Lehrer !

Haben Sie sich schon einmal folgende Fragen gestellt :
Warum ist Lernen heutzutage wichtiger denn je geworden ? Warum hat mein Kind solche Probleme/Schwierigkeiten ?
Das ist die selbe Frage, wie wenn Sie sich jetzt fragen würden : Warum sind andere Menschen (der Nachbar, ein Bekannter, jemand den Sie im Radio gehört haben, im TV gesehen haben) darin erfolgreicher (u. glücklicher !) wo ich gescheitert bin ?
Sind diese Menschen intelligenter o. klüger als ich ? Bin ich dummer ? Sind die anderen Kindern klüger ?
NEIN !
Was wissen dann diese Menschen und die anderen Eltern (und Ihre Kinder), was wir nicht wissen ?!?
Ganz einfach. Die Antwort auf diese Frage ist ergreifend einfach…
Sie sind nicht hilflos geblieben, Sie lassen sich nicht von anderen einreden, was für sie und für ihr Kind wichtig ist, sie überlassen es nicht alleine der Schule oder den Lehrern, ihr Kind auszubilden und auf das Leben vorzubereiten.

Haben Sie schon einmal nachgedacht, wie wichtig es für Ihr Kind ist, nicht den Spaß am Lernen zu verlieren ? Und wissen Sie warum es so wichtig ist ? Nein ?
Warum denken so viele Menschen, daß Lernen kein Spaß machen soll ? Ganz einfach : Weil sie es nie anders gelernt und erlebt haben !!
[/i]
etc, etc, etc

Das Schreiben hatten insgesamt ca. 5 Seiten.

Und, in den Wochen danach hatte sich einiges bei den Eltern der Kinder verändert ! Vor allem wie Sie bei mir auftraten und sich mir gegenüber verhielten !

Ich glaube, solche « kleine Schocks » sind wichtiger denn je. Denn Eltern haben oftmals total unrealistische Erwartungen, sei es für sich selbst oder für ihre eigenen Kinder.

Und diese unrealistischen Erwartungen sind ein zentrales Problem in der Schule bzw. im Unterricht von französisch in der Schule.

Ich habe wieder was interessantes gefunden, daß unserer Debatte beitragen könnte :

« Die Hirnforschung sagt uns, dass ein differenziertes Lesevermögen physiologisch nur in einer bestimmten « Prägungsphase » aufgebaut werden kann. Das Zeitfenster schließt sich zwischen dem fünften und dem achten Lebensjahr, und das Entwicklungsfenster für das Lesen ist nicht länger als bis zum dreizehnten bis fünfzehnten Lebensjahr offen. In diesem Alter der Pubertät kommt es zu einer vermehrten Bildung der weißen Gehirnsubstanz Myelin, durch die sich die Verbindung der beiden Hirnhälften verbessert. Das hat einerseits eine Steigerung der muttersprachlichen Fähigkeiten zur Folge, andererseits werden die vom Myelin umgebenen neuronalen Sutrkturen starrer, was das Erlernen von Fremdsprachen ab dem Beginn der Pubertät deutlich erschwert. »

(…)

« Der Japaner Minoru Tsunoda hat 1983 eine statistische Auswertung internationaler Referate-Organe des Zeitraumes 1880 bis 1980 publiziert. Das Ergebnis war nicht überraschend. Bis 1910 wurden jeweils 25 Prozent alller erfassten wissenschaftlichen Veröffentlichungen in Deutsch und Französisch verfasst ; schon damals war Englisch mit 35 Prozent die am häufigsten verwendete Sprache. Deutsch verzeichnete bis 1920 noch einen leichten Anstieg und sank dann kontinuerlich ab, bis es 1980 bei einen Anteil von etwa 4 Prozent lag. Französisch begann bereits 1910 abzusinken und war 1980 bei 3 Prozent, und Englisch bei 74 Prozent angelangt.
Diesem Ergebnis entspricht der Institute for Scientific Information (ISI) jährlich ermittelte impact factor, mit dem gemessen wird, wie oft wissenschaftliche Veröffentlichungen in anderen Publikationen zitiert werden. Französische und japanische Studien werden nur 0,5-mal zitiert, deutsche nur 0,6-mal, russische immerhin erstaunliche 0,9-mal und englische 3,7-mal - für einen deutschsprachigen Wissenschaftler, dessen Karriere heute auch von seinem impact factor abhängt, ist also keine Frage, in welcher Sprache er seine Forschungsergebnisse publiziert.
Dies gilt auch für Veröffentlichungen in Fachorganen, die zwar in Deutschland verlegt, aber international vertrieben werden.
Amerikanische Bibliotheken streichen deutsch- oder französischsprachige Fachzeitschriften seit Jahren aus ihren Anschaffungsetats. Das hat dazu geführt, dass bereits 1994 zwei der traditionsreichsten deutschen naturwissenschaftlichen Zeitschriften, « Liebigs Annalen » und die « Chemischen Berichte », beschlossen, ab 1997 nur noch englischsprachige Beiträge zu veröffentlichen. Diese Redaktionen folgten damit als Erste der Einsicht, dass es eine neue Lingua franca der gelehrten Welt gibt - nämlich Englisch. »

Ich habe nicht an eine Einzelstunde gedacht, sondern an einen Kurs mit 20 Teilnehmern (ich wollte eine Situation, wie in der Schule, vergleichen).

Im Übrigen haben die Kinder bei uns heutzutage sehr viele Wahlmöglichkeiten für die Zweitsprache. Das führt natürlich auch dazu, dass Französisch nicht mehr so häufig gewählt wird.
Spanisch nehmen die Leute, weil sie an Urlaub denken und nicht daran, dass diese Sprache auch schwierig sein könnte. Und Russisch war vor dem Mauerfall die erste Fremdsprache, die in Ostdeutschland gelehrt wurde. Heute ist sie auch in Westdeutschland beliebt, weil man nicht davon ausgehen muss, dass man in Osteuropa mit Englisch nicht weit kommt. Mitarbeiter, die Russisch können, sind für viele Unternehmen interessant. Anderseits kann man in allen westeuropäischen Unternehmen (auch in Frankreich) mit Englisch anfangen. (Gaston hat das ganz richtig beschrieben).

Was ich für den französischen Sprachunterricht gesagt hab, gilt aber auch für Spanisch, Russisch oder Englisch. Nach vier Jahren Schule können die Kinder die Sprache nicht sprechen. Unser Unterricht ist viel zu akademisch. Die praktischen Sprachkenntnisse muss der Arbeitnehmer erst in teuren Sprachschulen neben seiner Berufstätigkeit erwerben. Hier muss sich einiges ändern!

… das kann ich aus eigener Anschauung bestätigen! :wink:

Wenn es also schwierig wird, nach dem achten Lebensjahr noch eine Sprache zu lernen, warum sollte man es dann im Sinne der Förderung der deutsch-französischen Partnerschaft nicht belohnen, wenn ein Schüler Französisch wählt und Anreize (z.B. mit einem Bonus statt Benotung)dafür schaffen?

Man könnte auch manche Fächer via Computer zusammen mit einer französischen Partnerschule erarbeiten. Internationale Ingenieurteams arbeiten ja auch an verschiedenen Orten der Welt an einem Projekt. Das neue deutsch-französische Geschichtsbuch böte sich dafür doch an. Oder Mathematik. Das Unterrichtsmaterial müsste nur Internettauglich gemacht werden. Die Praxis in der Alltagssprache käme dabei von selbst und vielleicht auch ein gegenseitiges Interesse.