moi j´aime pas les heros , car ils peuplent les cimetiéres, ou on les mains couvert de sang.
jean luc :wink:
Le seul héros que je trouve sympa c’est Guillaume Tell.
Les seuls « héros » pour lesquels j’ai de la sympathie, sont les « anonymes ». Ceux qui ont caché et nourri des juifs pendant la guerre, mais également, ceux qui, en dépit de lois iniques;, aident, hébergent, soutiennent les candidats à l’émigration vers la Grande Bretagne…Des héros au quotidien, sans armes, sans attentats, simplement armés de leur solidarité humaine , exposés à l’arbitraire policière d’un état schizophréne…
parceque tu aimes les pommes
alors moi Gutenberg, sans lui on aurait pas pu se servir d’une imprimante 
Dans ce cas Michelmau va voir le film "Welcome" qui est très bien et profite du Printemps du cinéma, la scéance est à 3,50 €.
je te le conseille vivement.
Si à la place d’une pomme Guillaume Tell avait mis sur la tête de son fils une cerise, l’histoire de la Suisse en aurait été bouleversée.
La Suisse controlée par les Autrichiens?
On s’imagine pas…
La légende dit d’ailleurs qu’il dormait là car il n’était pas réellement mort et les allemands de l’époque attendaient son retour, afin qu’il sauve le monde. Entre la fin du 15è et du 16è siècle, on attendait avec effroi la fin du monde! D’autant plus que la période était alors très rude: guerres avec les Ottomans jusqu’aux portes de Vienne, conflits liés à la Réforme, épidémies de peste et disettes. Certains « prophètes » auraient annoncé le retour de Frédéric II Barberousse à ce moment-là (apocalypse).
Ces noms figurent parmi les plus répandus pour les Gymnasium, il y a eu une émission de Karambolage là-dessus.
Curieux que personne n’ait mentionné Alexander von Humboldt, son travail a pourtant eu un rayonnement mondial, et voilà un Prussien qui n’a pas été associé au militarisme tant décrié de son époque.
Pour ma part, étant passionné par l’Allemagne impériale, Bismarck s’impose comme une personnalité incontournable (je n’aime pas le mot héros, c’est trop réducteur d’une idéologie), et Friedrich II pour son règne et sa personalité eux aussi incontournables dans l’histoire d’Allemagne et de Prusse.
Quand à Arminius, il est une pâle imitation du Vercingétorix français et de l’Ambiorix belge, offert à l’Allemagne par Wilhelm I pour consolider l’esprit national, alors fort jeune. L’ironie est que le mémorial a été commissonné par Friedrich Wilhelm IV, qui a décliné l’offre de devenir empereur en 1848.
Je dirais que les allemand n’ont pas de héros nationaux, mais simplement des personnages emblématiques, à savoir les personnalités qui ont été citées.