expérience allemand-français

Je voudrais faire vous raconter….

Des programmes d’échange d’élève, jumelages, contacts de sport - tout cela crée des connexions personnelles. Vos expériences et anecdotes en Allemagne sont aussi intéressantes et amusant pour les autres.

Les meilleures histoires sont -comme on sait- ceux-ci que la vie écrit. Une amitié de vacances, peut-être. Un malentendu chez la famille d’accueil ou à l’école allemande. Un jumelage qui ne existe pas seulement sur le papier.

Je suis (nous sommes) très curieuse (curieux)…décrivez donc votre plus belle expérience allemand-français !

Merci !
:wink:

Une toute petite anecdote car il est tard. :sunglasses:
J’était en Allemagne pour la formation franco allemand d’animateur Bild à Wasserburg. On était à table, repas normal, pomme de terre, würst,etc…
Mais comble du comble pour un français : pas de pain ! :imp:
Du coup j’ai demandé d’un air innocent : Il y a pas de pain?
Une allemande m’a repondu : Pas besoin de pain, il y des pommes de terre.
:confused: A ce moment on pouvais lire l’incompréhension dans mon regard, je voyais pas du tout le rapport entre le pain et les patates. :open_mouth: Du coup j’ai demandé une explication, et on m’a expliqué qu’en Allemagne, les pommes de terres pouvaient servir pour éponger la sauce. :astonished:
Tout s’explique :sunglasses:

houla un souvenir qui me revient toujours de mon séjour en allemagne, ce n’est pas un très bon souvenir.
j’étais arrivé depuis un mois à hambourg et j’étais à cette époque un peu « solala » dirons-nous, parce que j’avais l’impression que mon corres ne s’occupait pas de moi.
on m’avait dit: si tu as un problème, parle à ton tuteur.
donc je vais voir mon tuteur (ma prof de français) et je lui ai dit: voila avec mon corres ça va pas fort, aidez-moi.
elle fait le tour de la classe pour dire à tout le monde qu’il faut être gentil avec moi; déjà c’était mal parti.
le soir je rentre et je me fais littéralement INCENDIER par ma gastmutter qui me sort par le menu absolument TOUT ce que j’ai fait qui leur a déplu depuis un mois.
je me suis senti très con d’un coup parce que j’ai compris que ma famille faisait plus d’efforts que moi pour l’intégration.
après ça ça s’est beaucoup mieux passé (heureusement)

Ouh là là, des anecdotes, y’en a pas mal…

Une des premières, c’est certainement quand j’ai demandé l’heure chez ma corrès mais que ma prononciation n’était pas encore au top, j’ai pronconcé quelque chose qui s’approchait de Hure plus que de Uhr :laughing:

Ensuite - il faut savoir que je suis une handicapée du vélo, enfin je sais rouler, mais pas dans un milieu autre qu’une piste droite sans aucun obstacle :laughing: - donc en Allemagne c’est plutôt un handicap. J’avais bien dit à ma corrès que j’avais pas trop l’habitude de faire du vélo, mais pour eux c’est tellement naturel etpuis bon moi à 12 ans, un peu timide, toutça… bref je la ramène pas et nous voilà parties à vélo… Ben on n’est pas allées bien loin de toutes façon, je rentrais dans tous les obstacles :laughing: La honte ! :laughing: Après, on a toujours pris le bus :stuck_out_tongue:

Sinon y’a eu la première fois où on m’a servi la soupe de légumes avec des gaufres (gaufres sapoudrées de sucre glace évidemment) : je regarde, sachant pas trop quoi faire. « Ben tu les trempes dedans quoi ! » :astonished:

Enfin, dernier truc qui me revient à l’esprit : dans mes premiers jours en Erasmus, j’avais fait connaissance avec un gars, et il habitait pas très loin de chez moi, donc un jour on s’est rencontrés à l’Edeka. Comme on avait rien de prévu, nous vlà qui achetons une pizza, une bouteille de vin, et on va la manger chez lui. Bon déjà moi je bois guère d’alcool normalement… Il ouvre la bouteille (du blanc), sort deux verres à jus de fruit, genre comme ça :

Et puis il les remplit jusqu’en haut ! :astonished:
« Ben, tu sais, en France en tout cas, ça se boit pas comme ça le vin ! » :slight_smile:

en parlant de vélo ça me fait penser que j’ai détruit deux fois le vélo de mon corres (100€ de réparations la 2ème fois) tout ça parce que je m’amusais à conduire sans les mains :unamused:

Dans le genre grand moment de solitude en Allemagne, moi ça a commencé à peine une heure après avoir passé la frontière: Partie de Lyon, j’allais rejoindre ma Weimar, lieu de mon semestre Erasmus, avec une copine de fac, la voiture pleine à craquer, mois de mars avec la pluie, la neige, le verglas, etc… Super conditions pour se taper 1000 bornes en Twingo ! :pascontent:

Bref, je venais de traverser la frontière et là c’est le drame ! Je roule sur un reste de pare-choc ou un truc comme ça qui trainait sur la voie de gauche en plein milieu de l’autoroute, impossible de l’éviter, je l’avais pas vu à cause de la pluie. Ca fait un gros BOUM :astonished: alors je m’arrête rapido sur la première aire que je trouve. Ce bout de plastique m’avait arraché le câble qui alimente le moteur en essence, la voiture dégoulinait, c’était l’horreur ! Le voyage commençait bien !
Je me retrouve donc à appeler l’assistance européenne pour me faire dépanner. Obligées d’attendre plus de deux heures dans les toilettes de la station que la dépanneuse arrive, en compagnie du Mr Pipi de service très gentil mais très collant, collectionneur de billets de banque étrangers (avec l’Euro il était mal le pauvre !), que nous faisions répéter limite toutes ses phrases parce qu’il parlait trop vite et que nous n’avions pas encore eu le temps de mettre en route notre allemand…

Mais le pire ça a été le dépanneur ! Le mec est arrivé avec son camion, visiblement de très mauvais poil :imp: ! Je commence à tenter de lui expliquer ce qu’il s’était passé: la galère ! Bref, on charge la voiture, direction le garage Renault le plus proche (à 20 km). Au début il essaie de nous parler avec un accent horrible à couper au couteau, genre il roulait les R et compagnie ! Je ne comprenais rien du tout, ma copine non plus ! Au bout d’un moment, blasé, il n’a plus rien dit, a mis la radio à fond et le reste du trajet s’est déroulé dans un silence de plomb, très très gênant :blush: … Après réparation et 5 heures de route perdues environ, on a enfin repris la route, mais franchement j’aurais préféré que le séjour ne commence pas comme ça !

La première anecdote qui me vient à l’esprit, c’est lors de mon premier voyage en allemagne… J’avais 14 ans et je parlais allemand comme… une vache espagnole !! :laughing: :laughing:

Premier matin, premier réveil, premier coup de cafard (Mamannnnn)… j’arrive dans la cuisine, et la mère de ma corres (très sympa !!) me dit

« hast du gut geschlafen » ???

moi : :open_mouth: :frowning:

Elle "Hast du gut geschlafen ??

moi : :open_mouth: :frowning:

Elle " HAAAAAST DUUUU GUUUT GEESSSCHLLAAFFEN " (en articulant bien correctement et lentement)

moi : :open_mouth: :frowning:

Elle ne m’a plus rien dit du tout, ou plutôt si, elle m’a fait des gestes "Hast du (en me montrant) GUT (en faisant du stop avec son pouce) geschlafen (en faisant le signe de dormir avec la main)…

moi : JA JA JA :blush: :blush: :blush: :blush: :blush: :blush: :blush: :blush:

c’est vous dire mon niveau en allemand à ce moment là !! :laughing:

Je devais avoir dans les 14,15 ans .C’était à Bad Dürkheim,dans le Palatinat,où se déroule tous les ans le « Dürkheimer Wurstmarkt »,qui ,malgré son nom n’est pas une foire à la saucisse,mais une très grande fête du vin,peut-être LA plus grande fête du vin d’Allemagne :question:
Avec mon corrès,on rejoignait ses copains de bahut qui étaient déjà assis autour d’une table,sous un grand chapiteau (comme les Bierzelte de l’Oktoberfest à Münich,mais là,bien sûr,c’était des Weinzelte.)Un verre d’un demi-litre (Schoppen) circulait autour de la table,chacun mettait ce qu’il pouvait,selon sa richesse…de 10 Pfennig à 1 Mark.Quand il y avait assez d’argent,on commandait un verre,qui,à nouveau faisait le tour de la table et chacun en buvait une lampée.On chantait,on se balançait au son de la musique et on flirtait…eins,zwei,gsuffa…eins,zwei,gsuffa…et ainsi de suite.On avait la permission de minuit et ,quand il fallut rentrer chez mon copain…à l’autre bout de la ville,notre odyssée commença.ll faut dire que nous avions pas mal sifflé tous les deux,mais lui,était encore moins frais que moi.Je pris donc son bras droit par dessus mon épaule et nous commençâmes notre longue marche…et quand mon pote avait un peut trop bu…il se mettait à parler Français.Je vous laisse imaginer les reflexions des « braves gens » qui nous croisaient…"Ach,die Franzosen…die vertragen keinen Wein …Et moi,qui me tenais relativement bien,à chaque fois,je rectifiais:« ICH bin der Franzose und ER-je montrais du doigt mon copain-und ER ist der Deutsche!!! ».
A mi chemin,nous passâmes devant le buffet de la gare,qui,par chance était encore ouvert.J’avais entendu dire qu’en cas d’ivresse,il n’y avait rien de tel qu’un café salé.Je commandais donc un café salé que je lui fis boire.Lui,après une gorgée:"Non,Michel,pas du Maggi,je ne veux pas boire du Maggi!(Aujourd’hui,on dirait plutôt du Viandox.)
Après de multiples péripéties,nous arrivâmes enfin à la maison,où nous nous effondrâmes tout de suite sur nos lits respectifs.
Le lendemain matin,mon copain devait se lever très tôt,car,il avait un petit
job de facteur pour se faire un peu d’argent de poche.Sa maman,très inquiète,(il devait apporter des mandats à des personnes dans le cadre de son boulot),le suivit ce jour-là,durant toute sa tournée à quelques centaines de mètres.
Heureusement,tout se passa sans encombre…!

@ gabi, Cat et Sonka :
Quelles histoires plus ou moins terribles. :blush: Ça ne fait pas de courage de venir en Allemagne.
J’espère que vous avez vu aussi de belles expériences !

@Kissou : tu as vraiment amélioré tes connaissances d’Allemand dès ton premier séjour ! :top:

@RGT : explique-moi ton désir du pain,stp! :open_mouth: Quand tu voulais manger donc le pain, si il y a déjà des pommes de terre?

@ michelmau : Tu étais entraîné nettement mieux pour de telles aventures ! Quand même je m’étonne, comment tu as trouvé le chemin à la maison !:prost:

@ theresa: je te rassure, j’ai beaucoup plus de bons que de mauvais souvenirs de l’allemagne

danke Thérésa :wink:

POur RGT : il voulait « éponger » la sauce avec son pain. Vous vous « épongez » la sauce avec les pommes de terre (c’est les Kartoffeln qui « boivent » la sauce), mais en France, souvent, on essuie son assiette avec du pain, voire même, on pousse les aliments sur la fourchette avec son pain…
c’est tellement courant que, certaines personnes pour plaisanter disent" je fais un régime, je ne mange plus de pain avec les NOUILLES (Pates)" :laughing: :laughing: :laughing:
Ich hoffe, du hast verstanden !!! Es gibt viel Unterschiede zwischen unsere beide Länd !

Exact Kissou, tu as tout bien compris :sunglasses: ça surprend au début, le pain c’est vraiment vital pour un repas de français. On s’en sert pour plein de chose. :sunglasses:

Ne t’inquiètes pas Theresa, les petits malheurs en Allemagne n’ont été que très rares et puis ce genre de truc, même si tu t’en fais toute une montagne sur le coup, tu finis toujours par en rire plus qu’autre chose ! Ca ajoute un peu de piment au séjour, c’est marrant ! :laughing:
En tout cas l’Allemagne reste une très grande et très belle expérience :alld:

Au cours de mon voyage vers ma premiere cours de langue à Montpellier en 2002 j’ai reçu la reponse sur la question : « Qu’est-ce que les français font, si le monde est en train de couler et il est huit heure le soir. »

Eh bien j’ai conduit ma petite belle rouge italienne sur les routes de la campagne en visent Montellier - on avait l’après midi - alors que soudain le pluie commençait à tomber. Plus en plus forte. Dans le bas fonds il y avait très rapidement des vrais petits lacs ainsi qu’on plus en plus ne pouvait que passer plus difficile. Jusqu’à, dans un petit bled sur une colline, avec le nom évocateur « Fontanes », tout ça avait une fin. C’est-à-dire il n’y avait pas un avant ou retour - il y avait seulement de l’eau. Eh bien on a descendu les voitures et les habitants gentils de ce bled m’ont annoncé d’aller au leur gymnase où on a déjà commencé à réaliser le plan d’état d’urgence.

Vous devez savoir que j’y’ etait juste en train de commencer ma cours de langue, donc je parlait mal le français ou mieux pas du tout. C’est pourquoi il me fallait parler avec des mains et surtout comprendre avec des yeux. :wink:

Puis, quand j’ai arrivé au gymnase, le « commando de sauvetage de Fontanas » était déjà en train de préparer le logement provisoire. On y a installé une grande table et peu à peu l’espace s’a rempli jusqu’a enfin on a été des ca 30 gens qui y étaient assis autour la table. Il etait environ 20 heure.

Je vous maintenant pose la question: Le problème dans ce cas, c’est quoi? Quand tu debarques quelque part dans la campagne et t’y es quasiment emprisonné? Et oui l’horloge montre 20.00 ? Exactement ! Tu demandes tes sauveurs : « Qu’est-ce qu’il y a à manger, Messieurs et Mesdames? » Mais le « commando de sauvetage » a déjà été bien preparé. On a porté des boîte de conserve (ravioli, pâté, ananas), des pâtes, du pain etc, il y avait même 2 bouteilles du vin, il y avait du the et de l’eau au gymnase – les hommes ont dirigé et les femmes ont cuisiné.

On a même maitrisé le problème le plus grand: Il n’y a pas assez d’une chose pour tous les gens. Les sauveur navigait un chariot autour la table et les gens se prenaient leur repas. Bien sûr on a suivi un ordre stricte : entrée - plat principal - dessert - café - et les deux bouteilles du vin ont circulé.

Moi, je n’ai pas vraiment eu de faim. Mon seul problème cest-à-disait : Comment tu peux informée ta hôtel à Montpellier, pour que l’Hôtelier ne loue pas ta chambre. (Je n’ai pas eu le plaisir d’un propre mobile). Et + Cristobal, téléphone avec les tiens chez soi - sinon ils croient tu es noyé, s’ils voient les images de cette catastrophe sur la télé (C’etait vraiment une catastrophe. A la fin il y avait 22 gens qui y ont tué à la region et le lendemain on y a vu des voitures quelques metres en haut des arbres)
Mais par chance, j’ai trouvé un couple allemand parmi les « échoués » qui m’ont aidé avec leur mobile et + ils m’ont donné un boite de bière, que j’ai savouré…

Eh bien je crois, pour que j’ai reponsé la question au début…

Oh mais t’en fais pas, ce ne sont pas de mauvais souvenirs, ça fait même plutôt partie des meilleurs ! Quand il ne se passe rien, c’est pas drôle…

J’en ai une autre… En allemagne vous avez des supers Gymnases avec un matériel fantastique…
La première année où je suis allée en allemagne en voyage scolaire, un des profs qui nous accompagnait, a voulu nous faire essayer vos trampolines « Géants » :open_mouth: Il nous a donc montré comment on faisait un saut périlleux…

Avez-vous déjà essayé de faire un saut périlleux, sur un trampoline, en gardant des lunettes sur votre nez, parce que vous êtes myope comme une taupe ??? :astonished: :astonished:

J’ai essayé…

Résultat… Un magnifique oeil au beurre noir dont je me souviens encore (mais les lunettes étaient saines et sauves !! :laughing: )

A oui, le coup du pain, ça surprend, c’est trop; j’ai connu ça quand j’étais en post doc à heidelberg; quelques part dans la mensa y avait quelqu’un qui hurlait, ça résonnait de partout, avec un bel accent du sud ouest:

'taing, y a pas de paing ici, y a pas de paing :smiley: :

Qui ose se moquer de l’accent du Sud-ouest ???
:imp: :imp: :imp: :imp: :laughing:

J’ai connu un ptit moment de solitude en Allemagne.
C’était au matin de mon troisième jour, j’atais dans une famille d’accueil avec 2 copines à Villingen (au Sud de Stuttgart) et après avoir pris notre petit déj, on se préparait nos sandwiches pour le repas de midi. La veille, on nous avait donné des cornichons pour les mettre dedans et j’avais appris que ça se disait « Gurken » en Allemand. Donc le lendemain,j’ai voulu en remettre dans mon sandwich…mais je ne me souvenais plus comment que ça se disait en Allemand :fire: :imp: Du coup, je n’arrivais pas à me faire comprendre et mes hôtes me montraient plusieurs aliments et à chaque fois je disais « Nein » :crazy: Je suis donc remontée dans ma chambre chercher le dictionnaire et j’ai retrouvé le mot :smiley: Quand j’y repense maintenant je me marre :slight_smile:

Eh bien, un jour, j’ai eu une petite « aventure » avec le mot « timbre » . Mieux avec la prononciation. Dans une papeterie à Montpellier j’ai choisi quelques cartes postal et à la caisse, j’ai demandé le garçon: « Avez-vous des timbres ? » Et lui m’a répondu: « Quoi ? » J’ai dit : « taimbre » Et lui « Vous voulez quoi ? » Et j’ai répondu une autre fois : « tiembre » Bref… Chaque essai a manqué.
Donc il me fallait lever une carte postal et montrer sur l’espace où normalement se trouve le timbre . Quel honte. J’étais chez les Montpellerains pour apprendre la langue et personne me comprend :cry: C’était triste… :wink:

P.S. Il y a un spot publicitaire de la brasserie Paulaner chez nous. Un groupe des indiens est assis dans une « Biergarten » et ils veulent commander quelques bières blanche. Eh bien le plus malin de ce groupe - une dictio dans ses mains - il dit à la serveuse avec l’air très fier : « Ich möchte diesen Teppich nicht kaufen » (Je ne voudrais pas acheter ce tapis)
La serveuse se ne peut pas abstenir de faire un petit sourire et repondre « Scho guad » (Bien). Elle pars, l’indien est encore plus fier et ses collègues lui applaudissent. Puis la serveuse retourne, bien sûr avec des bonnes bières blanche de la brasserie Paulaner et sert. Les indiens sont
éperdu du plaisir. Et le plus malin se remercie avec « Gute Reise » (Bon voyage) C’est pas drôle ça :wink: Oui on aime bien les touristes ici chez moi… :stuck_out_tongue: