Au cours de mon voyage vers ma premiere cours de langue à Montpellier en 2002 j’ai reçu la reponse sur la question : « Qu’est-ce que les français font, si le monde est en train de couler et il est huit heure le soir. »
Eh bien j’ai conduit ma petite belle rouge italienne sur les routes de la campagne en visent Montellier - on avait l’après midi - alors que soudain le pluie commençait à tomber. Plus en plus forte. Dans le bas fonds il y avait très rapidement des vrais petits lacs ainsi qu’on plus en plus ne pouvait que passer plus difficile. Jusqu’à, dans un petit bled sur une colline, avec le nom évocateur « Fontanes », tout ça avait une fin. C’est-à-dire il n’y avait pas un avant ou retour - il y avait seulement de l’eau. Eh bien on a descendu les voitures et les habitants gentils de ce bled m’ont annoncé d’aller au leur gymnase où on a déjà commencé à réaliser le plan d’état d’urgence.
Vous devez savoir que j’y’ etait juste en train de commencer ma cours de langue, donc je parlait mal le français ou mieux pas du tout. C’est pourquoi il me fallait parler avec des mains et surtout comprendre avec des yeux.
Puis, quand j’ai arrivé au gymnase, le « commando de sauvetage de Fontanas » était déjà en train de préparer le logement provisoire. On y a installé une grande table et peu à peu l’espace s’a rempli jusqu’a enfin on a été des ca 30 gens qui y étaient assis autour la table. Il etait environ 20 heure.
Je vous maintenant pose la question: Le problème dans ce cas, c’est quoi? Quand tu debarques quelque part dans la campagne et t’y es quasiment emprisonné? Et oui l’horloge montre 20.00 ? Exactement ! Tu demandes tes sauveurs : « Qu’est-ce qu’il y a à manger, Messieurs et Mesdames? » Mais le « commando de sauvetage » a déjà été bien preparé. On a porté des boîte de conserve (ravioli, pâté, ananas), des pâtes, du pain etc, il y avait même 2 bouteilles du vin, il y avait du the et de l’eau au gymnase – les hommes ont dirigé et les femmes ont cuisiné.
On a même maitrisé le problème le plus grand: Il n’y a pas assez d’une chose pour tous les gens. Les sauveur navigait un chariot autour la table et les gens se prenaient leur repas. Bien sûr on a suivi un ordre stricte : entrée - plat principal - dessert - café - et les deux bouteilles du vin ont circulé.
Moi, je n’ai pas vraiment eu de faim. Mon seul problème cest-à-disait : Comment tu peux informée ta hôtel à Montpellier, pour que l’Hôtelier ne loue pas ta chambre. (Je n’ai pas eu le plaisir d’un propre mobile). Et + Cristobal, téléphone avec les tiens chez soi - sinon ils croient tu es noyé, s’ils voient les images de cette catastrophe sur la télé (C’etait vraiment une catastrophe. A la fin il y avait 22 gens qui y ont tué à la region et le lendemain on y a vu des voitures quelques metres en haut des arbres)
Mais par chance, j’ai trouvé un couple allemand parmi les « échoués » qui m’ont aidé avec leur mobile et + ils m’ont donné un boite de bière, que j’ai savouré…
Eh bien je crois, pour que j’ai reponsé la question au début…