Il n’y a pas qu’une infime minorité de Français qui croit à son assassina même s’il y a eu une commission d’enquête internationale à ce sujet toutefois je ne veut pas polémiquer avec vous à ce sujet.
La mort d’Ulrike Meinhof ; Rapport de la commission internationale d’enquête Édition François Maspero collection Cahiers libres ; 1979
internetdown.org/claudeguillon/a … rticle=184
Elle n’a jamais tué personne et elle a été soumise à l’isolement total de la part d’un État qui se disait démocratique et qui n’était même pas capable de respecter le fondement même de son existence légale : la loi Fondamentale qui garantie justement un certains nombre de droits fondamentaux y compris d’ailleurs à ces adversaires politiques.
De plus je n’ai jamais pensé qu’il fallait mettre tous les allemands dans des camps de concentration après la guerre pour les dénazifier.
C’est toi qui l’écrit et qui déforme ma pensée.
Mais j’affirme que la République fédérale n’a pas fait l’effort de dénazifier l’Ouest et ce n’est pas faire injure aux Allemands de le penser car c’est de notoriété publique et ce fut particulièrement vrai d’ailleurs à l’époque de Willy Brandt.
Enfin je terminerai sur ce qui disait d’elle l’un de ses amis :
[i]Sa vie est une tragédie captivante pour ainsi dire, passionnante et infiniment triste.
Parce que tout cette énergie, tout cet engagement, tout ce désir…Le désir surtout, d’amitié, d’une vie normale, ont viré à une revendication utra-politique face au monde, qui a empêche l’accès à une vie normale.
Une tragédie, un peut aussi une tragédie allemande. Car elle est l’expression à travers ce manichéisme de la fidélité et de la trahison, d’une très forte tentation en Allemagne d’être radicalement intégré, jusqu’à se jeter radicalement dans l’abîme. [/i]
Pourquoi vouloir faire d’elle un monstre alors qu’elle n’était qu’une femme aux idées politiques sans doute différentes de celle de la plupart de ses contemporains en République fédérale mais qui n’en étaient pas moins éminemment respectables comme peuvent l’être les tiennes ou les miennes ? 
Mais bien sûr je ne cautionne pas l’usage de la violence. 
Ceci doit être bien clair entre nous.
Pour kissous.
fr.wikipedia.org/wiki/Ulrike_Meinhof
.
c’est leur rendre leur liberté après qu’ils aient purger leur peine… c’est tout…