oui je le savais pas pour Kurt Georg Kiesinger personnellement , mais pour d´autres, il a bien fallut prendre les moins mouiller pour remettre le pays au travail . Sait tu que dans les année 50 l´OTAN était commander par un allemand
Hans Speidel est un général allemand né le 28 octobre 1897 à Metzingen dans le Wurtemberg (Allemagne), et mort le 28 novembre 1984 à Bad Honnef (Allemagne). Hostile au système totalitaire nazi à partir des premières défaites, il fut, en 1944, l’un des conspirateurs du complot du 20 juillet visant à tuer Hitler. Après guerre, il sera le premier Allemand à la tête de l’OTAN.
Il est le fils de d’Emil Speidel, un forestier.
Speidel s’engage comme volontaire dans l’armée impériale en 1914 au déclenchement de la Première Guerre mondiale et fut rapidement promu second lieutenant. Il commande une compagnie durant la bataille de la Somme. Il reste dans l’armée après la guerre. Entre 1933 et 1935, il est attaché militaire à l’ambassade allemande de Paris. Il est promu lieutenant-colonel juste avant la Seconde Guerre mondiale. Il sert pendant la campagne de France en mai et juin 1940, il participe à la rédaction du traité d’armistice. et en août devient le chef d’état-major du général Carl-Heinrich von Stülpnagel, commandant en chef de la France occupée. Il accompagne Hitler lors de sa visite express de Paris en juin 1940. En 1942, Speidel est envoyé sur le front de l’Est où il sert comme chef d’état-major du 5e Corps d’armée et comme chef d’état-major du groupe d’armées Sud en 1943, date à laquelle il est promu major-général. En avril 1944, Speidel est nommé chef d’état-major du groupe d’armée B commandé par le maréchal Rommel, responsable de la défense de la côte de la Manche, et s’installe au QG de La Roche-Guyon. Quand Rommel est blessé lors d’une attaque aérienne allié sur sa voiture, Speidel continue comme chef d’état-major du nouveau commandant du groupe d’armée B, le maréchal Günther von Kluge.
Il participe à l’attentat contre Hitler du 20 juillet 1944 mais faute de preuves, il réussit à échapper à la Gestapo. Il est néanmoins suspecté et arrêté le 7 septembre 1944 par cette même Gestapo et accusé d’être impliqué dans le complot. Interrogé, il ne reconnait rien et ne trahit personne. Speidel passe devant une cour d’honneur de l’armée mais Gerd von Rundstedt, Heinz Guderian et Wilhelm Keitel décident de ne pas l’exclure de l’armée, il ne passe donc pas devant la redoutable cour du Peuple, le tribunal politique du régime nazi dirigé par le procureur Roland Freisler. Rommel, dans sa dernière lettre à Hitler le 1er octobre 1944 appelait à la libération de Speidel mais ne reçut aucune réponse. Il fut emprisonné pendant 7 mois par la Gestapo, essaya alors de s’échapper et se cacha en attendant les Alliés. Il fut libéré par les troupes françaises le 29 avril 1945. Speidel faisait partie du premier cercle des conspirateurs (le seul à ne pas avoir été exécuté ou s’être suicidé), il avait été désigné par les autres conspirateurs pour rallier Rommel à leur cause, ce qu’il avait commencé à faire de manière prudente avant que Rommel ne soit grièvement blessé dans un attaque d’un avion allié le 17 juillet 1944.
fr.wikipedia.org/wiki/Hans_Speidel
pas que les allemand , ont utilisée les service d´ancien nazis, tout ce que tu a écrit je le savais
pour Mitterand je maintien et confirme mes dires
À la suite de la déclaration de guerre du 3 septembre 1939, François Mitterrand est mobilisé sur la ligne Maginot11. Le 14 juin 1940, le sergent Mitterrand est blessé à l’omoplate droite, et, après des soins rudimentaires, qui lui évitent de perdre un bras, il est fait prisonnier par les Allemands le 18 juin.
Après dix-huit mois dans les stalags IX A de Ziegenhain-Trutzhain et IX C de Schaala et deux tentatives infructueuses, il s’évade en décembre et rentre en France12.
En janvier 1942, bien que recherché par les Allemands en tant qu’évadé, il travaille cependant à la Légion française des combattants et des volontaires de la révolution nationale en tant que contractuel du gouvernement de Vichy puis, à partir de juin, au Commissariat au reclassement des prisonniers de guerre, où il est chargé des relations avec la presse et où il favorisera la fourniture de faux-papiers pour aider les évasions13. En juin 1942, il participe à des réunions au château de Montmaur, où sont jetées les premières bases de son réseau de Résistance.
Le 15 octobre 1942, Mitterrand est reçu par le maréchal Pétain avec plusieurs responsables du Comité d’entraide aux prisonniers rapatriés de l’Allier.
En janvier 1943, Mitterrand démissionne du Commissariat, suite au remplacement du vichysto-résistant Maurice Pinot par André Masson, un partisan de la collaboration. Il conserve cependant un poste à la tête des centres d’entraides.
En février 1943, puis plus tard au printemps, il se rapproche de la puissante Organisation de résistance de l’armée (ORA), en cours de formation. Il commence à prendre Morland comme pseudonyme (il utilisera aussi les noms de code Purgon, Monnier, Laroche, capitaine François, Arnaud et Albre) et cofonde le Rassemblement national des prisonniers de guerre avec Maurice Pinot financé par l’ORA.
Plusieurs membres du réseau Mitterrand-Pinot sont, en pratique, membres de l’ORA. François Mitterrand lui-même est considéré par le service Action de l’organisation comme un de ses membres. Plusieurs actions sont décidées en commun entre des dirigeants de l’ORA et des dirigeants du RNPG et exécutées par des militants des deux mouvements.
En mars 1943, Mitterrand rencontre Henri Frenay et le convainc aisément de travailler avec lui. Grâce à Frenay, la Résistance intérieure soutient François Mitterrand contre Michel Cailliau. Cependant, la date du 28 mai 1943, lors de sa rencontre avec le gaulliste Philippe Dechartre a été considérée comme la date de sa rupture définitive avec ses anciens protecteurs de Vichy.
L’activité du RNPG se déplace, au cours de l’année 1943, de la fourniture de faux papiers vers la fourniture de renseignements à la France libre. Selon Pierre de Bénouville, « François Mitterrand avait réussi à mettre sur pied un véritable réseau de renseignement dans les camps. Grâce aux prisonniers de guerre, nous avons pu prendre connaissances d’informations, parfois décisives, sur ce qui se passait derrière les frontières. »
C’est à partir de l’automne 1943 que François Mitterrand passe à la clandestinité, traqué par la Gestapo, le Sicherheitsdienst et la Milice.
Le Sicherheitsdienst (SD) perquisitionne à son domicile, absent. Deux de ses amis sont arrêtés, déportés ; l’un ne revient pas du camp de concentration. Peu après, il est sauvé par la femme du colonel Pfister, dirigeant de l’Organisation de résistance de l’armée, d’une arrestation par la Gestapo. Il est établi que René Bousquet, Secrétaire général de la Police, sentant le vent tourner, a fait prévenir Mitterrand, par l’intermédiaire de l’un de ses collaborateurs, Jean-Paul Martin, des risques d’arrestation qui pesaient sur lui.
Au printemps 1943, parrainé par deux membres de La Cagoule (Gabriel Jeantet, membre du cabinet du maréchal Pétain, et Simon Arbelloti), il est décoré de l’ordre de la Francisque14.
Le 10 juillet 1943, François Mitterrand et le militant communiste Piatzook sont les auteurs d’un coup d’éclat lors d’une grande réunion publique à Paris, salle Wagram, consacrée à la « relève » des prisonniers par les ouvriers. Au moment où André Masson flétrit la « trahison des gaullistes », François Mitterrand l’interpelle de la salle et lui dénie le droit de parler au nom des prisonniers de guerre, qualifiant la relève d’escroquerie. François Mitterrand n’est pas arrêté, sa fuite ayant été facilitée par Piatzook.
Selon Jean Pierre-Bloch, chef de la section non militaire du Bureau central de renseignements et d’action à l’époque, « c’était sur notre ordre que François Mitterrand était resté dans les services de prisonniers de Vichy. Lorsqu’il a été proposé pour la francisque, nous avons parfaitement été tenus au courant ; nous lui avions conseillé d’accepter cette “distinction” pour ne pas se dévoiler. »15 (no 2202). Mais Jean-Pierre Bloch paraît peu crédible comme témoin. Bloch s’en prit violemment au chef de la France Libre et, député socialiste, il avait tout intérêt à inventer ce roman. Il reste un témoin partial et peu inspiré. Le fait est que Mitterrand fut décoré de la francisque et son attitude ambigue au moins jusqu’au printemps 1943. Son entrée dans la résistance est tardive après l’été 1943.
En novembre 1943, il se rend à Londres, puis à Alger, où il rencontre le général de Gaulle, le général Giraud et Pierre Mendès France. La rencontre fût âpre, De Gaulle demande à ce que les organisations de prisonniers fusionnent sous l’égide de M.R.P.G.D., seule condition pour recevoir matériel et argent. Mais Mitterrand refuse la tutelle du mouvement de Michel Cailliau. Finalement, de Gaulle accepte les conditions de François Mitterrand. Le 18 mars 1944, Henri Frenay écrit à Michel Cailliau qu’il se « porte personnellement garant » de François Mitterrand, et que le général de Gaulle partage son point de vue.
fr.wikipedia.org/wiki/Mitterand
pour le moins qu´on puisse dire le parcours du bonhomme , n´ais pas très clair ,il a au niveau politique fleurter avec l´extrême droite, En France tous les régimes politique de la 4eme, puis de la 5eme république ont couvert les fonctionnaires de Vichy ,notablement la police, on a enlever les tête les plus corrompus.Il étais impossible de remplacer des millions de fonctionnaires
jean luc