La Hongrie nous donne des sueurs

ce que j’aime en Hongrie ce sont les broderies sur les chemisiers,elles sont magnifiques :laughing:

Ce n’est pas pour rien qu’ils ont eu Béla Bartók. :laughing:

Moi, ce que j’aime en Hongrie, c’est la langue et la bouffe. Quoique, si on est mal préparé pour un premier voyage, on ressentira toujours un grand moment de solitude à l’arrivée. (hé oui, les Magyars, comme les Turcs, parlent à l’envers …:mrgreen:). Et surtout, la connaissance de cette langue, notamment à Budapest, est essentielle pour gagner un temps précieux et tracer à travers la ville sans être emmerdé par les solliciteurs de tout poil qui fondent sur le malheureux touriste en uniforme comme la vérole sur le clergé bas-breton. Revers de la médaille. C’est toujours à moi qu’on demande des renseignements à l’arrêt de tram ou de bus, ou dans le métro, je dois avoir une tête à ça… :mrgreen:

M’en fout…l’essentiel c’est la bouffe !!! :wouaw:

Mais il te faudra connaître un minimum de vocabulaire pour apprécier la cuisine hongroise et savoir de quoi il s’agit. Ce que l’on sert dans les restaurants pour touristes est de la bouffe passe-partout. C’est comme à Lyon. Faut connaître…

" Et Dieu, dans tout ça ", comme avait coutume de dire le Révérend Père Chancel (Jacques) ! :mrgreen:

Et Dieu dans tout ça… Pour tous ceux qui ont encore une once de religion… dans le Bénêt des cités ! (Seigneur, bénissez le repas que je vais prendre…) :mrgreen:

Amen !!! :vamp:

la langue Hongroise , faurt s’ accrocher, mais pour la Goulash , ça va :stuck_out_tongue:

merci
Kiitos
köszönöm … :laughing:

Et le plus drôle, c’est qu’on ne trouvera jamais le goulasch tel que l’on le connaît à Vienne ou en Allemagne sur un menu de restaurant en hongrois ! C’est pourquoi je dis que la connaissance minimale du hongrois est un must si l’on veut survivre en dehors des sentiers battus. :bad:
En fait, pour les Hongrois, le « gulyásleves », c’est la « soupe du bouvier ». Avec un « pörkölt », on revient à une vision plus saine et plus solide de l’objet… :mrgreen:
Comme le dit gici, faut s’accrocher, et serrer les dents… et pour les Français, toujours penser à l’accent tonique sur la première syllabe, sans reprendre son souffle pour les mots composés ! Hódmezővásárhelykutasipuszta est un modèle du genre… :unamused:

en fait la goulash c’est le p^lat des pauvres avec du paprika

un menu Hongrois:
rivalda.net/budapest-menu/menu.html#

Comme tous les plats qui ont fait la renommée d’une cuisine à l’étranger : le goulasch, la paella, la pizza, le bigos…

Andergassen t’oublies la cuisine lyonnaise :wouaw: .

comme le Finnois tous se prononce, il vaut mieux connaitre une prof autochtone dans ces deux pays , qu’un cuisinier Français expatrié
:stuck_out_tongue: :stuck_out_tongue:

Martin Schulz aurait sermonné assez durement Viktor Orbán ce jour à Bruxelles.