La langue, reflet de l’âme allemande

Je vous invite à aller lire cet article du Temps letemps.ch/Page/Uuid/3938b31a-a9 … d9c36b5d|0

Il évoque la facilité à créer des mots composés en allemand qui sont parfois si difficiles à rendre en français.

Bonne lecture :wink:

Très intéressant, passionannt!

Mais il n’y a pas de « Selbstgerechtler ». C’est le « Selbstgerechte ».

Très bel article! :top:
Un bel hommage, tout en nuance, de l’histoire récente allemande. :alld:
A recommander.

(une erreur bien allemande à la dernière page: Toni Blair :lol: )

Par des renvois à de vieux articles, je suis tombée sur celui-ci qui promettait d’être intéressant. Mais hélas sur internet tout s’entasse, le meilleur comme le pire et cet article du Temps n’est plus aussi facilement disponible.
Parfois je me demande s’il ne serait pas mieux de recopier totalement les passages les plus intéressants d’un article. Ainsi, il resterait toujours disponible facilement sur notre forum.

Peut-être que tu l’as conservé en son entier sur ton PC, Schokolena ???

Une langue en tant que reflet de l’âme d’un peuple:
Je trouve ce concept en tant qu’idée du passé très romantique, dans le sens propre du terme, une réalité en son temps, joli poétiquement
Un truc de Goethe traduit en français peut-être ?? Mais franchement, à quoi correspond cette idée à l’heure actuelle? J’en sais rien.

La richesse des compositions nominales en allemand est difficile à rendre en français, sans passer par d’autres compositions grammaticales plus lourdes. C’est indéniable. Par contre le français dans le choix de ses verbes et de ses noms est plus opaque.
C’est la raison pour laquelle je trouve la langue allemande plus facile à comprendre que le français. Et j’aime l’idée d’essayer de composer des mots, c’est presque jouer avec les mots.
Certes, il est vrai que dans une langue naturelle rien n’est jamais automatique comme en témoigne le pseudo- mot, « Federabwensenheit », barbarisme créé par des instruments automatiques dont l’un de nos amis AoXiens nous a fait part dernièrement. C’est logique, mais cela ne marche pas du tout, jusqu’à en faire mal aux oreilles d’un germaniste débutant!!!

Tant mieux !!!et longue vie aux langues vivantes, et au mystère de leur composition.

Pour moi c’est justement parce qu’elles échappent à toute création artificielle systématique, qu’elles restent non seulement vivantes mais aussi humaines.

In Abwesenheit meiner Feder während der Feiertage schicke ich Ihnen eine E-Mail. :stuck_out_tongue:
(Prête-moi ta plume pour écrire un mail. Ma plume est absente, elle est chez sa tante. Va chez la voisine, elle a Internet. :laughing: )

@Andergassen :
Une version plus moderne du « Clair de Lune » à ce que je vois. J’espère que la voisine a au moinsréglé son abonnement internet à temps. :laughing:

Le lien indiqué par Schockolena demande à présent un abonnement payant pour avoir accès à l’article…

L’article vaut la peine d’être lu. Ne serait-ce que pour se dissuader d’acheter le livre, qu’il présente
Francesca Predazzi, Vanna Vannuccini, «Petit voyage dans l’âme allemande», Grasset, 2007.
Personnellement je trouve l’approche linguistique effectivement intéressante et le style élégant. Mais de là à tirer des conclusions et généraliser les comportements… Je n’apprécie pas… Enfin quelqu’un me donnera peut-être son avis.

Ici je me contenterais de ne citer qu’une partie de l’article :

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