La réforme des retraites vue d'Allemagne (Electorallemand)

tout simplement la loi allemande l´interdit ,pour faire grève il faut un conflit directe avec l´employeur,les grèves politiques(je cite la loi allemande)sont interdites, donc contre la réforme de santé, ou la retraite interdit par la loi, éventuellement par les tribunaux

jean luc :wink:

La réforme des retraites est indispensable tous les spécialistes de la question le disent, il y a d´autre solutions , on peut discuter sur les modalités,tu vas me dire il faut taxer plus le capital , soit tu le fait une fois et l´année suivante , et Elie verras arriver comme voisins de palier , les riches français.
Sait tu combien sont taxer les revenus du capital en France , 25% sur les plus value, si taxe trop ses capiteaux iront ailleurs . Et je parle pas des droits de succession en France c´est faramineux, en Allemagne mes enfants pourrons bénécicier d´une déduction de 500 000€ chacun sur la succession.
je ne plaint pas les riches , ils leur en reste encore beaucoup , seulement la France n´est pas seule, elle vit dans un monde qui bouge , alors les solutions simples, qui consiste á dire que les riches payent , ça marche pas.

maintenant pour les négociations , elles n´ont pas eu lieu ,mais je me demande si cette épreuve de force , n´arrangent pas au fond les syndicats , car je voit mal les responsable syndicaux annoncé des mesures douloureuses á leurs bases, mesures qu´ils auraient cautionner, avant j´étais membre de la C.G.T
je côtoyer de prés les dirigeants fédéraux, se sont des gens capable, mais le gros problème c´était la base. Quand aux grévistes ils défende leurs retraites, ils ont ce droits,mais peu sont dans le privé, mais bien dans le public pour la majorite donc c´est leur statut qu´ils défendent , pas le notre.
je reconnais cependant que ce mouvement est populaire le soutient ne côute pas cher. L´Avenir nous diras qui auras raison.

jean luc :wink:

La base et francebourse.com te remercient, camarade.

Ah ! Quand même !Merci jean luc ! Le mouvement et moi-même te remercions de cette concession. Merci pour ceux qui perdent des jours de salaire en faisant la grêve; ils se réjouiront de ta reconnaissance.
J’ai vu hier hier, à la télé,un député alsacien, qui dans un élan churchillien , nous promettait :« du sang et des larmes! »…Vous allez en ch…, mais c’est pour votre bien!"
Maintenant, pour ceux qui ne voient pas d’inconvénients à travailler jusqu’à 62, 67 et pourquoi pas 70, grand bien leur fasse !

PS; Qu’est-ce que ce serait bien, les syndicats, s’il n’y avait pas cette base imprévisible, ingérable!
Qu’est-ce que ce serait bien ,ce pays, s’il n’y avait pas ce peuple imprévisible , ingérable!
Je propose , dans cette optique, que les dirigeants syndicaux puissent changer de base, et les gouvernements, de peuple!
Etonnant qu’en haut lieu on n’y ait pas encore pensé.

Si, Sarkozy y pense tous les matins, en se rasant!

Déjà, merci pour les ifnos sur les grèves en Allemagne, jean-luc :wink:

Elles ont lieu les négociations, mais elles n’ont pas abouti parce que ni le gouvernement ni les syndicats n’ont voulu céder. Les syndicats ne peuvent pas céder pour les raisons que tu cites, il vaut mieux pour leur survie s’opposer à tout prix que transiger et donc se rendre co-responsable d’une mesure impopulaire aux yeux de leur base.

Lalilou, tu soulèves le point vraiment important avec le travail des seniors. Mais pour ma part, je ne suis pas si pessimiste parce qu’il y a pas mal de domaines où il est d’ores et déjà admis de travailler jusqu’à l’âge de la retraite ou même après : fonction publique, indépendants, cadres… Je pense que les mentalités peuvent évoluer, mais c’est sûr qu’il faudrait les « aider » un peu.
Des patrons qui veulent des seniors, y’en a déjà, et pas que parmi les étrangers. Je peux citer le cas de mon beau-père : à 59 ans, en parlant très peu français et en n’ayant qu’un titre de séjour d’un an, s’est fait embaucher d’emblée en CDI. Pour un travail très physique en usine. Il a aujourd’hui 62 ans et son patron le supplie de ne pas partir à la retraite parce qu’il travaille mieux que les jeunes. Et mon beau-père est ravi aussi, non seulement parce qu’il a besoin de l’argent, mais parce que ce travail le tient en bonne forme physique.
Ma mère aussi d’ailleurs a retrouvé un employé salarié deux ans avant sa retraite. Je pense pas du tout que c’est impossible, mais c’est clair qu’il faut faire bouger les lignes du côté de certains employeurs.

D’autre part, il y a des seniors qui paniquent à l’idée de ne plus pouvoir travailler et de devoir rester à la maison à s’emm…, alors qu’ils sont en pleine forme physique. Du reste, beaucoup de sociétés de gardiennage en Allemagne apprécient les services des seniors qui « en veulent » après leur mise officielle à la retraite et qui sont souvent plus fiables que les jeunes.
Mais c’est toujours une affaire personnelle. Il est évident que mon propos ne cherche pas à ressusciter le « Volkssturm ». :mrgreen:

Comme me le disait mon ancien voisin alld (80 ans) originaire de la région de Stuttgart ( je traduis):« Vous savez, tout n’était pas négatif sous Hitler! »
:mrgreen:

Pas toujours facile d’assurer une politique du plein emploi!

beh,un peu pareil pour moi.
une dame française trés agé,me disait,concernant ma nationalité:
jeune homme,il faut pas s’en faire pour ça.pendant l’occupation c’était pas si grave…
:open_mouth: :stuck_out_tongue:

La lutte des classe est morte avec la chute du communisme, c´est á dire il y a 20 ans. J´ai eu la chance de voyager en URSS au temps de sa splendeur, j´y est vu des vieux donc un grand nombre 70, 75 ans qui travailler , et ce dans un pays « au lendemain radieux »,j´ai demander ils travaillent pour le socialisme, la réponse était « non , pour pas crever de faim,leur retraite est trop petite »,sans commentaire.
Le déficit du régime de retraite en Allemagne est de 30milliards d´euros par an. il est de combien en France, avant de manifester il faudrais savoir, je doute que beaucoup le sache.
Maintenant explique moi comment trouver l´argent,j´aimerais savoir.

jean luc :wink:

Beaucoup de français ont un contrat « épargne vie » auprès des assurances , où vont chercher l´argent les banques ,pour payer les intérêts des contrat,hé bien , elles achètent des obligations d´états de 1er catégorie (AAA),pour les intérêt plus élevé (AA+,AA-), note moins élevé donc plus chers
les fonctionnaires ont la prefon, l´argent de la préfon va où , dans la bourse dans des placement monétaires , obligataire, vous croyait que l´argent reste dans les coffres á dormir.La vérité est simple, les français sont pour la taxation du capital ,mais pas leur capital ,mais celui des autres.
je vous pose la question , comment financer les retraites :question: , j´attend vos propositions

jean luc :wink:

Ce n’est pas à moi, électeur de base de proposer des solutions,mais à l’opposition politique.

Je te trouve très méprisant pour les manifestants.Tu sais certainement beaucoup de choses sur ce qui se passe en Allemagne, mais je pense que tu n’as pas pris la mesure du mécontentement et du ras le bol en France. Derrière la façade lutte contre la réforme des retraites, il y a un très grand mécontentement et le mot est faible, particulièrement chez les jeunes qui s’inquiètent pour leur avenir; ce n’est pas moi qui le dis, c’est Rama Yade qui vient de pondre un bouquin sur le sujet et qu’on ne peut pas soupçonner d’être anti-gouvernement. Je l’ai entendu en parler à la radio, il y a peu.Tu devrais venir en France expliquer aux manifestants qu’ils ont tort de manifester, que, comme le dit Woerth ;« Ca-ne-sert-à-rien. » On nous rabache que cette « réforme » est in-é-luc-table, que c’est ma-thé-ma-tique!Voir comment tu serais reçu. :open_mouth:

Je constate que c’est toi qui mets la lutte des classes sur le tapis. Je n’ai jamais parlé de ça.
Je te laisse la responsabilité de cette affirmation, mais je crains que tu ais mal lu Marx; pour lui, la lutte des classes est le « moteur de l’histoire », de toute l’histoire de l’humanité et pas seulement de la période de ce qu’on a appelé « socialisme réel » (en gros, tout ce qui s’est passé à l’est à partir de 1917.)
Bon, j’en ai un peu marre du tour que prend cette discussion, alors je vais m’arrêter là avant de devenir méchant, ce que je ne suis nullement.
:wink:
PS, ne te sens pas obligé de me répondre dans le cadre d’une interminable polémique.

La Base appelle la Lune :

  • Expliquez-moi comment travailler de plus en plus vieux, j´aimerais savoir.

Mais la polémique aussi a besoin de prendre sa retraite. Ex-libris a moult adversaires, et peu d’énergie.

il y aucun mépris pour les manifestants, j´ai simplement dit que la plupart ne connaisse pas le déficit de la branche retraite,quand au mécontement ,j´ai beaucoup d´infos a ce sujet,est ´il besoin de descendre dans la rue, pour ça il y a les urnes, en 2005 la majorite des français on voulu Sarko , pour les retraite il avait déjà dit. Pour les jeunes en Allemagne , ils sont aussi inquiet pour leur avenir , et l´avenir de la planète, mes filles comme les autres.Surtout la grande(18 ans) ,elle auras peut être pas de retraite vu la démographie en Allemagne,aussi je lui dit qu´elle doit travailler au lycé , pour avoir la meilleure formation possible,comme ça elle pourras rebondir plus facilement. ici personne n´est content pour travailler plus longtemps,mais beaucoup me disent comment trouver l´argent , les caisses sont vides.

jean luc :wink:

pour finir la polémique, voici un article que vous devez lire, il vient du conseil d´orientation des retraite , óu sont représenter les syndicats.
Vers un déficit abyssal des régimes de retraite

Ce rapport, on en connaît déjà les grandes lignes. Grâce aux syndicats et aux agences de presse. Et les chiffres, donc, donnent le vertige. Selon les scénarios de croissance retenus, les déficits des régimes de retraites atteindront 72 à 114 milliards d’euros par an à partir de 2050.
france-info.com/dossiers-l-a … 7-458.html

jean luc :wink:

C’est bien parce que c’est toi alors ! :smiley:

Oui, on est vraiment sur la Lune… La pesanteur s’efface, la vie s’étire… Un discours réaliste et responsable.

L’avenir appartient à celui qui te le prend. :vamp:

laisse l´avenir oú il est . l´histoire se chargeras de juger. bonne journée :wink:

jean luc :wink:

avis des sénateurd PS sur la reforme des retraites - par chaussemy le 29/10/2010 - 17:20

La réforme des retraites vient, sans surprise, d’être adoptée par le Parlement.

Tout au long de ces deux mois de débat, l’opposition parlementaire, comme la grande majorité des Français, n’ont eu de cesse de dénoncer les caractères injuste, inéquitable, brutal et inefficace de ce projet de loi.

Injuste cette réforme l’est en ce qu’elle ne prend pas en considération la situation de nombreuses catégories : les personnes qui ont commencé à travailler tôt, et donc à cotiser tôt, les séniors au chômage dès la cinquantaine venue, les salariés au parcours professionnel morcelé et précaire que sont souvent les femmes ou les Français établis hors de France.

Inéquitable, cette réforme l’est par la répartition des efforts exigés : 85% pèseront sur les salariés alors que les revenus du capital ne contribueront qu’à hauteur de 15%.

Brutale, cette réforme l’est par l’extrême rapidité de sa mise en œuvre (8 années), mais aussi par la précipitation qui a présidé à son élaboration : pas de débat national, pas de concertation syndicale.

Et que dire du mépris dont a fait l’objet le parlement dans son ensemble et l’opposition en particulier : discussion du texte au cours d’une session extraordinaire à l’ordre du jour surchargé, interruption des débats par le président de l’Assemblée nationale, modification de l’ordre du jour pour une adoption rapide des deux articles emblématiques de la réforme (reports à 62 et 67 ans de l’âge légal de départ à la retraite et de l’âge de la retraite sans décote), annonce en pleine séance du dépôt de deux amendements gouvernementaux commandés par l’Elysée, vote bloqué des amendements sur les articles additionnels et, pour finir en beauté, censure dans le temps de parole traditionnellement imparti aux sénateurs sur les articles issus de la CMP !

Mais le plus absurde réside dans la totale inefficacité de la réforme. Nous répétons depuis des mois qu’elle ne donne aucune solution pérenne à l’équilibre financier du système de retraite. Son unique objectif étant, en réalité, de rassurer les marchés financiers.

Le feu vert donné par le gouvernement à l’adoption, en toute fin de discussion, d’un amendement prévoyant l’organisation « à compter du premier trimestre 2013» d’un débat national sur une réforme « systémique » des régimes de retraite n’est rien d’autre qu’un aveu du simple colmatage opéré et du « défaut congénital » de la réforme, qui n’a pas été précédée d’un véritable débat.

Les parlementaires socialistes déféreront le texte mardi prochain devant le Conseil constitutionnel. La mobilisation se poursuit comme l’a révélé la détermination des manifestants pour la 7ème fois dans la rue ce jeudi.


Vous trouverez ci-dessous un récapitulatif des amendements déposés concernant les Français établis hors de France.

Deux amendements parmi les sept que nous avions déposés ont été adoptés.

Le premier vise à préciser que les assurés, qu’ils résident en France ou hors de France, bénéficient, à leur demande d’un entretien permettant de leur préciser leurs droits acquis et les dispositifs leur permettant d’améliorer le montant futur de leur pension. L’autre stipule que les personnes concernées, qu’elles résident en France ou à l’étranger, doivent être informées des modalités de rachat de trimestres de cotisation pour leurs années d’étude. Ces deux amendements ont été votés.

Cinq autres de nos amendements ont été rejetés.

L’un proposait de maintenir à soixante-cinq ans l’âge de départ à la retraite à taux plein pour les personnes ayant été contraintes de renoncer à toute activité professionnelle durant les périodes de service à l’étranger de leur conjoint, faute de droit à l’emploi dans le cadre de la législation locale ou de possibilité d’embauche sur place. Un autre précisait que ce sont tous les assurés, qu’ils résident en France ou hors de France, qui doivent bénéficier d’une information générale sur le système de retraite par répartition.

Et les trois derniers, qui visaient à insérer des articles additionnels ont été « rejetés en bloc » par la procédure du vote unique. Il s’agissait de deux dispositions prévoyant que le Comité d’Orientation des retraites remet au gouvernement et au Parlement un rapport sur les conséquences du relèvement de soixante à soixante-deux ans de l’âge de départ en retraite pour les Français établis hors de France et un rapport sur celles du relèvement de soixante-cinq à soixante-sept ans de l’âge de départ en retraite à taux plein pour les Français établis hors de France.

Et enfin un amendement visait à assouplir la procédure de transmission des certificats de vie (harmonisation de la fréquence à laquelle les retraités français établis hors de France doivent fournir un justificatif d’existence ; possibilité de transmission par voie télématique ; non suspension automatique du versement de la pension au moindre retard).

Par ailleurs deux autres dispositions concernant spécifiquement les Français de l’étranger ont été adoptées : l’information, à la demande de tout candidat à l’expatriation des conséquences de celle-ci sur ses droits à pension et sur les moyens de remédier à des situations éventuellement préjudiciables et la reconnaissance de la Caisse des Français de l’étranger comme interlocuteur unique en matière d’assurance volontaire vieillesse.

Claudine Lepage, Monique Cerisier-ben Guiga et Richard Yung
Sénateurs représentant les Français établis hors de France
Palais du Luxembourg - 75291 PARIS Cedex 06
senateursdesfrancaisdumonde.net/

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La réforme des retraites vient, sans surprise, d’être adoptée par le Parlement.

Tout au long de ces deux mois de débat, l’opposition parlementaire, comme la grande majorité des Français, n’ont eu de cesse de dénoncer les caractères injuste, inéquitable, brutal et inefficace de ce projet de loi.

Injuste cette réforme l’est en ce qu’elle ne prend pas en considération la situation de nombreuses catégories : les personnes qui ont commencé à travailler tôt, et donc à cotiser tôt, les séniors au chômage dès la cinquantaine venue, les salariés au parcours professionnel morcelé et précaire que sont souvent les femmes ou les Français établis hors de France.

Inéquitable, cette réforme l’est par la répartition des efforts exigés : 85% pèseront sur les salariés alors que les revenus du capital ne contribueront qu’à hauteur de 15%.

Brutale, cette réforme l’est par l’extrême rapidité de sa mise en œuvre (8 années), mais aussi par la précipitation qui a présidé à son élaboration : pas de débat national, pas de concertation syndicale.

Et que dire du mépris dont a fait l’objet le parlement dans son ensemble et l’opposition en particulier : discussion du texte au cours d’une session extraordinaire à l’ordre du jour surchargé, interruption des débats par le président de l’Assemblée nationale, modification de l’ordre du jour pour une adoption rapide des deux articles emblématiques de la réforme (reports à 62 et 67 ans de l’âge légal de départ à la retraite et de l’âge de la retraite sans décote), annonce en pleine séance du dépôt de deux amendements gouvernementaux commandés par l’Elysée, vote bloqué des amendements sur les articles additionnels et, pour finir en beauté, censure dans le temps de parole traditionnellement imparti aux sénateurs sur les articles issus de la CMP !

Mais le plus absurde réside dans la totale inefficacité de la réforme. Nous répétons depuis des mois qu’elle ne donne aucune solution pérenne à l’équilibre financier du système de retraite. Son unique objectif étant, en réalité, de rassurer les marchés financiers.

Le feu vert donné par le gouvernement à l’adoption, en toute fin de discussion, d’un amendement prévoyant l’organisation « à compter du premier trimestre 2013» d’un débat national sur une réforme « systémique » des régimes de retraite n’est rien d’autre qu’un aveu du simple colmatage opéré et du « défaut congénital » de la réforme, qui n’a pas été précédée d’un véritable débat.

Les parlementaires socialistes déféreront le texte mardi prochain devant le Conseil constitutionnel. La mobilisation se poursuit comme l’a révélé la détermination des manifestants pour la 7ème fois dans la rue ce jeudi.


Vous trouverez ci-dessous un récapitulatif des amendements déposés concernant les Français établis hors de France.

Deux amendements parmi les sept que nous avions déposés ont été adoptés.

Le premier vise à préciser que les assurés, qu’ils résident en France ou hors de France, bénéficient, à leur demande d’un entretien permettant de leur préciser leurs droits acquis et les dispositifs leur permettant d’améliorer le montant futur de leur pension. L’autre stipule que les personnes concernées, qu’elles résident en France ou à l’étranger, doivent être informées des modalités de rachat de trimestres de cotisation pour leurs années d’étude. Ces deux amendements ont été votés.

Cinq autres de nos amendements ont été rejetés.

L’un proposait de maintenir à soixante-cinq ans l’âge de départ à la retraite à taux plein pour les personnes ayant été contraintes de renoncer à toute activité professionnelle durant les périodes de service à l’étranger de leur conjoint, faute de droit à l’emploi dans le cadre de la législation locale ou de possibilité d’embauche sur place. Un autre précisait que ce sont tous les assurés, qu’ils résident en France ou hors de France, qui doivent bénéficier d’une information générale sur le système de retraite par répartition.

Et les trois derniers, qui visaient à insérer des articles additionnels ont été « rejetés en bloc » par la procédure du vote unique. Il s’agissait de deux dispositions prévoyant que le Comité d’Orientation des retraites remet au gouvernement et au Parlement un rapport sur les conséquences du relèvement de soixante à soixante-deux ans de l’âge de départ en retraite pour les Français établis hors de France et un rapport sur celles du relèvement de soixante-cinq à soixante-sept ans de l’âge de départ en retraite à taux plein pour les Français établis hors de France.

Et enfin un amendement visait à assouplir la procédure de transmission des certificats de vie (harmonisation de la fréquence à laquelle les retraités français établis hors de France doivent fournir un justificatif d’existence ; possibilité de transmission par voie télématique ; non suspension automatique du versement de la pension au moindre retard).

Par ailleurs deux autres dispositions concernant spécifiquement les Français de l’étranger ont été adoptées : l’information, à la demande de tout candidat à l’expatriation des conséquences de celle-ci sur ses droits à pension et sur les moyens de remédier à des situations éventuellement préjudiciables et la reconnaissance de la Caisse des Français de l’étranger comme interlocuteur unique en matière d’assurance volontaire vieillesse.

Claudine Lepage, Monique Cerisier-ben Guiga et Richard Yung
Sénateurs représentant les Français établis hors de France
Palais du Luxembourg - 75291 PARIS Cedex 06
senateursdesfrancaisdumonde.net/

Pour l´information.

Seulement pour info, voici le rapport officiel du conseil d´orientation des retraites , dont font partie les syndicats, rapport adopter par le dit conseil.

cor-retraites.fr/IMG/pdf/doc-1327.pdf

nul ne pourras dire , je ne savait pas.

jean luc :wink: