Le réseau culturel français vers l'asphyxie

Comme vous savez, je vis depuis longtemps en Allemagne. J´ai observer depuis de nombreuses années, la dégringolade du français en Allemagne et dans le monde.J`ai trouver un article intéressant sur le sujet.
lepetitjournal.com/content/view/35885/1568/

jean luc :wink:

Nous n’arretons pas de nous plaindre de notre perte d’influence culturelle à travers le monde mais nous ne nous donnons pas les moyens de notre politique. Ceci est d’autant plus étonnant que ce n’est pas la politique suivie par les autres institues culturelles.
Cette façon de voir est contre productif. et ne peut qu’affaiblir notre politique étrangére dans les prochaines années.
Cette façon mesquine de voir les choses provoque mon étonnement et ma colère.

De plus á Suttgart,il y a un consul general sans consulat :astonished: , il est aussidirecteur de l´institue français de Suttgard :astonished: .On a reussit en France a melanger la politique et la culture :astonished: . que dire quand ce sont des villes Allemandes qui prennent á leur charges ou donnent des subventions pour payer les directeurs des institues français comme á Karlruhe.Dans ces villes, on a compris l´interet de ses institues.Pas en France. J´ai aussi noté la mesquinerie du valet de Sarko, le nomé Kouchner,qui prend les expatriers d´Europe,pour des demeurés, et des ringards.Quand á nos diplomates , leur chef les ecoutes pas et les prend pour des grincheux, et des cons.J ´ai eu des contacts avec certain d´entr´eux , on va dans le mur , mais lá haut ils veullent rien entendre,ils veullent etre renseigner, mais nous disent de nous taires.La France n´a pas compris,quand laissant l´Allemagne financait nos institus,elle etait l´obligée de celle ci,et qu´elle ne peut plus traitée en egaux

                     jean  luc :wink:

C’est clair.
Celui qui paye a la pouvoir.

Je suis suffisamment vieux pour vous rappeler que c’est Balladur qui a commencé le jeu de massacre des instituts français. Je vivais ça du centre culturel à Oslo à l’époque. C’était plus palpitant que la saga de l’été… :laughing:

Quand on veut économiser, on économise. Et on apprend l’anglais. Dans la vie, tout a un prix. Ainsi comprendrez vous ma maxime préférée : Economiser coûte cher, mais pas dans la même monnaie (Sparen ist teuer, nur nicht in derselben Währung).