Ca c’est déjà fait depuis 45. Il y a de beaux restes d’allemand en Alsace, mais ce ne sont que des restes. Dans vingt ans, ce sera anecdotique. Les frontaliers actuels sont francophones et dialectophones, leurs enfants ne sont que francophones et en rien mais rien du tout germanophones. Auslaufmodell.
Si l’Alsace veut rester seule.,elle resteras seule ,seulement dérriére elle ,elle auras une super région champagne - lorraine qui regarderas vers le nord sarrelorlux ,et ardenne-wallonie . je comprend pas la réticence des alsaciens par rapport á leur identitée culturel. il y a de moins en moins de frontaliers car il y a de moins en moins de locuteurs allemand et alsacien . Beaucoup d’etudiant a Strasbourg prennent l’espagnol comme 2eme langue . pour l’économie l’Alsace a le bras droit dans le rhin ,le bras gauche sur les Vosges .je pense que les alsaciens ont tord ,car seul on pése moins lourd .
c’était pas une affirmation… c’était une question… Je t’ai remis le point d’interrogation en plus gros… histoire que tu situes où se trouve la différence entre affirmation et question…
La France à beaucoup plus de différence entre les régions qu’en Allemagne, ce la n’arien a à voir
de tout temps
nous sommes un aggloméré de peuples réunis par instinct de survie
déjà sous Vercingétorix
alors que les Germains on toujours été unique
c’est comme ça
Les Germains se foutaient sur la gueule tout le temps. Les ancêtres des Allemands actuels se sont mutuellement tués, pris en esclave, massacrés, violés et pillés. Tu veux dire que tout ça crée des liens ?
C’est ridicule de parler d’ethnicité en Allemagne car il n’y a pas de frontière ethnique avec la moitié des pays voisins, Alsace comprise. Les tribus germaniques sont aussi proches que les différents pays latins. On est tous romains, plus ou moins, et on a tous phagocyté les tribus locales lors des migrations. En Allemagne actuelle aussi, il y avait des Celtes et des Slaves.
Le côté « rencontre entre Celtes, Romains et Germains » du mythe français c’est une chose, mais ça ne permet pas d’exagérer l’homogénéité des autres. Les tribus germaniques se pouvaient pas se sentir et les Allemands actuels sont plus discrets sur leurs antagonismes que les Français mais c’est une question de décibels, pas de sentiments.