Les anciens otages allemands doivent rembourser leur libération

Pour moi, un voyage risqué dans le cadre de l’exercice de la profession est une affaire entre employeur et employé. Donc en cas de problème, c’est plus le droit du travail qui doit primer. Si Aubenas va se faire enlever sans avoir l’autorisation de sa rédaction d’aller dans cet endroit à ce moment-là, l’affaire se réduit à un conflit employeur-employé. Si l’Etat veut envoyer une note, c’est à l’employeur. Libre à ce dernier de se retourner contre son employé dans le cadre du droit du travail.

Rien à voir avec les touristes inconscients. Le principe des assurances, c’est qu’ils ne payent pas quand ils n’ont pas à payer, donc la note se reporte sur le client. La discussion intéressante se concentre à mon avis sur cet aspect : les services consulaires de la république doivent-ils appliquer des politiques d’assurances privées…?