Livres d'apprentissage

Comme le titre l’indique, je propose un fil destiné à rassembler nos meilleurs livres non pas allemands, mais destinés à l’apprentissage de l’allemand. Parce que certains ont quitté l’école, parce que certains trouvent les manuels scolaires mal fichus, et pour plein d’autres raisons, vous pouvez être amenés à vous en servir. Je ne sais pas trop si je suis dans la bonne rubrique et je ne connais pas non plus la politique du site à propos du recensement d’ouvrages car ça pourrait etre pris comme une sournoise tentative de faire de la pub détournée :laughing:

Dès que (et si) j’ai le feu vert des modos, je mettrai les livres qui m’aident à survivre entre deux salves de Maultasche. :wink:

P.S: Et pourquoi pas par la suite étendre ça à tout le matériel d’apprentissage, surtout si il est tombé dans le domaine public? :smiling_imp:

Personnellement, je mettrai ton sujet dans le fil « j’ai besoin d’aide en allemand »… mais je ne suis pas la seule modo à décider :wink: nous verrons le sens que prends ton fil, et nous le déplacerons en conséquence :wink:

Pour l’instant, fais comme tu le sens :wink:

Bon, depuis le temps que j’en ai parlé, je me lance

le premier ouvrage que je souhaite vous faire découvrir est le suivant. Une fois les règles de base en grammaire maitrisées (cas, place du verbe, etc…), il reste une tripotée de trucs à peaufiner. Certains, des profs par exemple, pourraient dire “ah mais rien à voir, là tu peaufines pas, ça reste le b.a-ba". A ceux là, je réponds “crotte”, en toute sobriété.

Cet ouvrage, comme son non l’indique, est destiné à donner plus de maîtrise aux pauvres français pour qui la confrontation aux verbes et noms à rection est comparable à une extraction des dents de sagesse au pied de biche et sans anesthésie. Vous savez ce que je veux dire, là où le français va toujours à la montagne, à la mer, à la campagne, l’allemand “fährt ins Gebirge, ans Meer, aufs Land” (le vicieux). Ca ne s’arrête pas au locatif ou au directionnel, le livre référencie mille et une tournures comme “jaloux de qqn”=”eifersüchtig auf jdn” (et pas von, comme le français aurait tendance à dire naturellement).

Outre le fait que cela permet de se mettre à utiliser correctement des mots “choppés en passant”, c’est aussi une occasion d’enrichir votre vocabulaire, la probabilité étant élevée que vous ne connaissiez pas préalablement tout le contenu.

Le problème: apprendre par coeur les listes arides du début du livre engendre deux phénomènes causés par l’absence de contexte:

  1. Pour le vocabulaire, le phénomène “apprendre en liste est pernicieux si tu as besoin du mot de manière immediate et ne sert qu’à avoir des bonnes notes”

  2. Pour la grammaire, le phénomène „quand je parle allemand j’ai l’impression de jouer à tetris“. Pour illustrer ce que je veux dire : Réaliser quelle pièce le jeu te demande d’imbriquer=trouver le cas qui régit chaque mot ; insérer la pièce au bon endroit=faire défiler les tableaux de déclinaisons dans ta tête pour tout accorder en conséquence. Ou alors dans le cas d’une relative ou d’un verbe à particule séparable : attendre avec angoisse que le jeu veuille bien te filer la grande barre qui te permettrait de faire sauter quatre lignes d’un coup= attendre avec angoisse la fin de ta relative ou de ta phrase pour mettre respectivement ton verbe ou ta particule séparable en espérant ne pas les avoir oubliés entre-temps.

Le nombre ridicule d’heures consacrées aux langues en France empêche l’acquisition d’automatismes grace à l’exposition à beaucoup de contenu en VO et oblige à passer par le méthode „règles de grammaire+listes de vocabulaire“ qui engendre souvent le résultat suivant: à l’écrit, tu as le temps de réfléchir aux cas, aux prépositions et tu fais des belles phrases machiavéliquement planifiées. Tétris ne va pas vite et tu vois les pièces qui vont bientôt tomber, tu cales même une ou deux phrases avec du discours indirect dedans pour faire bien et pour peu que tu aies fait une prépa HEC, tu as le vocabulaire nécessaire pour parler de la politique économique de la BCE ou de la sortie du nucléaire en allemagne. Seulement quand quand tu arrives sur place à la gare, tu décides de te sustenter et te rends compte dans la queue du “insérez votre chaine de fast food préférée” que tu ne sais pas commander un menu sans avoir pensé avant pendant 2 minutes si on dit der die ou das Cola.

Ma méthode: je ne m’embête pas à apprendre le début du livre ni à faire les exercices, je vais directement à la correction, je prends les phrases entières pour développer les automatismes et je m’en fais des flashs cards (un coté en français/un coté allemand). Le mieux étant bien sur de bosser du francais vers l’allemand. J’en ai toujours un paquet sur moi et je les dégaine en toutes occasions (dans les files d’attente, les transports, l’ascenseur, aux toilettes, etc).

Intervention pleine de sagesse, solal, à laquelle je souscris entièrement.
Acquérir des automatismes, il n’y a que ça de vrai.
C’est comme la conduite automobile: l’acquisition des automatismes dans la pratique laisse l’esprit disponible pour l’apprentissage de la théorie, apprentissage qui devient d’autant plus facilité que l’on est d’abord passé par la pratique, après avoir tâté le terrain et vu de quoi il retourne. On sort ainsi du mot à mot bêtifiant pour apprendre des idiotisme avec la construction ad hoc, et appréhendant toujours mieux l’esprit de la langue au fur et à mesure des progrès effectués, pour peu qu’on s’en donne la peine. Notre professeur en 1ère nous avait recommandé cette méthode. Ce fut pour moi une révélation!

L’apprentissage passif de la grammaire, il n’y a que ça de vrai. :wink:

Bon, en ce moment, je délaisse un peu -beaucoup- l’allemand, vu que je suis dans le suédois. J’ai commencé à lire la série Millenium de Stieg Larsson på svenska je regarde la télé suédoise, et même si en gros je ne comprends qu’un gros tiers et en déduis un autre, je me surprends à sortir des tournures très suédoises à ma språkpartner ainsi que du vocabulaire que je ne pensais pas connaître (ou plutôt: que je ne me souvenais pas d’avoir appris, et pour cause).

Dans mon esprit, l’apprentissage d’une langue, ça devrait être grammaire de base, ensuite une grosse phase d’imprégnation de la langue (plusieurs années) et ensuite, optionellement pour les fétichistes de la grammaire ou les étudiants en Germanistik un retour sur les subtilités grammaticales.

Mais, bon c’est surtout dans mes rêves visiblement, vu que je me retrouve en Master avec un prof d’allemand qui nous fait faire des exercices sur le passif … :angry:

Die Maus wird von der Katze gefressen
Die Maus wurde von der Katze gefressen
etc…
Qu’est-ce qu’on se marre!

Rhaa Marie tu m’intéresses :slight_smile: Sans indiscrétion, tu l’as acheté où ? Sur internet ?
J’ai lu la série en allemand déjà. Tu crois qu’en suédois c’est faisable pour quelqu’un qui a un niveau débutant (2 ans de suédois à la fac) ?

Visiblement, ce dont tu parles, Solal, c’est de progresser en allemand quand on a déjà des bases un peu conséquentes, non ?

Moi, ce qui m’a toujours beaucoup aidée, c’est de beaucoup lire, entre autres des articles courts de journaux et de découvrir des expressions que je comprends immédiatement mais que je n’aurais pas su formuler de cette manière-là : je trouve que ton idée de « flash cards » est vraiment intéressante (mais peut-être un peu encombrante, non ?)

Quoi qu’il en soit, je suis assez convaincue qu’après une scolarité où l’on nous avait beaucoup entraînés aux automatismes de base, tout en essayant de donner un peu de sens à ce que nous apprenions au travers d’histoires -pas toujours passionnantes mais qui avaient le mérite de donner de la cohérence à ce que nous apprenions-, ensuite, à l’époque où j’étais étudiante, mes progrès n’auraient pas été aussi efficaces sans un apprentissage intensif et systématique de listes de vocabulaire et de règles de grammaire plus complexes. (Mais je concède sans difficulté que l’apprentissage systématique des noms de pierres et de roches dans le Barnier-Delage ou des listes de verbes et d’adjectifs à rection prépositionnelle dans n’importe quelle grammaire n’étaient certes pas les activités les plus passionnantes auxquelles je me sois livrée à l’époque.)

Ce que je crois de toute manière, c’est que le choix de la méthode d’apprentissage ou d’approfondissement d’une langue est fortement liée à l’âge de la personne qui apprend (c’est à dire aux habitudes et méthodes d’apprentissage déjà développées dans d’autres domaines), aux besoins -ou désirs- liés à cet apprentissage (choix obligatoire d’une langue étrangère, approfondissement de sa culture générale, projet de vacances, communication avec son nouvel amoureux, obtention d’une promotion professionnelle…) et à la personnalité de celui qui apprend.

Par exemple, ton exemple avec Tetris, qui m’a beaucoup fait rire, n’est pas du tout vrai pour moi, même si je comprends parfaitement ce que tu veux dire. Moi, j’appelle ça « jouer aux légos » et c’est parce que je pense que, de nature, je suis particulièrement sensible à ce genre de logique que cela m’a toujours aidée, tant à l’oral qu’à l’écrit. Mais c’est vrai a contrario que si j’ai vraiment soif et seulement 1/4 d’heure en gare pour faire mon changement, cela ne m’a jamais traumatisée de ne pas connaître le genre de « Cola ». ( mais en même temps, à la première occasion où l’on m’a proposé « eine Cola », ça a « tilté » tout de suite parce que malgré tout, j’avais, peut-être même inconsciemment, quand même ressenti une sorte de frustration à ne pas avoir « le bon légo » sous la main).

Je l’ai acheté en Suède, lors de mes vacances… Pour commander par internet, c’est la galère, puisque les sites suédois demandent un personnummer. Tu peux toujours essayer de le commander depuis la Finlande, mais ça risque de ne pas simplifier le processus de beaucoup… :wink: Je te conseille de regarder sur blocket ou sur tradera (ebay suédois) et de t’arranger avec le vendeur, c’est ce que je vois de plus facile.

Sinon, quand au niveau requis, je n’ai suivi qu’un cours « Basic swedish n°1 » à l’université et appris un peu de suédois sur le tas (langue prédominante à Uppsala: anglais erasmus :wink:). Mais avec les bases, l’anglais et l’allemand, c’est assez simple, si on accepte de laisser environ un quart du texte de côté…

Des bonnes bases oui, je le disais en intro. Je pense qu’à partir de la seconde le livre peut s’avérer très utile surtout pour les LV1.

Yep, c’est exactement ça que je veux dire quand je parle d’automatismes et d’utilisation de supports en allemand. A la base on connait les deux mots mais sans savoir comment les lier, mettons Hoffnung et Zukunft . Tu lis un article sur Obama, tu repères le segment de phrase “die Hoffnung auf eine bessere Zukunft“ tu surlignes pour pas te gâcher la lecture à tout noter systématiquement, tu attends la fin de l’article et tu t’en fais une flash card.

L’idée n’est pas de moi mais merci :wink: En fait ce n’est pas encombrant pour deux raisons. Pour les cartes papiers, tu t’entraines le premier jour 2-3 fois sur ta pile en oubliant pas de laisser un laps de temps et de battre les cartes entre chaque fois. En suite tu laisses reposer en faisant autre chose, le cerveau fait tourner tout seul le voc en tâche de fond. Le lendemain rebelotte. Puis une semaine plus tard , puis un mois plus tard. Après normalement tu peux jeter la carte. Si vraiment tu veux la conserver, j’en arrive à la deuxieme raison qui fait que les flash cards ne sont pas encombrantes, tu la rentres dans un logiciel de flash cards. Ils sont nombreux et libres de droits (Mnemosyne et Anki sont ceux que je recommande) et, cerise sur le gateau, après chaque carte on te demande d’évaluer sur une échelle de 1 à 5 si tu t’en es rappelé facilement, difficilement ou pas du tout puis l’algorythme du programme calcule le meilleur moment pour te retester sur la carte. La seule raison pour laquelle je ne suis pas passé au tout informatique, ce sont ces temps morts comme les transports en communs ou les files d’attentes car je n’ai pas de PDA pour y transférer mes cartes.

Le problème c’est que tous les profs n’ont pas les memes méthodes. Mes premiers profs ne m’ont pas fait travailler les automatismes, les suivants ont considéré que c’était acquis et j’ai du attendre de commencer un stage ici, de baigner 90% du temps dans la langue et d’utiliser les bonnes méthodes pour combler le trou. Ce qui est bien avec les flash cards, c’est que tu peux intégrer l’élément à apprendre dans une phrase complete où il a une forme particulière (accusatif pour un subsantif, preterit pour un verbe irrégulier) avec du vocabulaire que tu connais déjà pour le renforcer et des points qui posent problème aux français pour se “rééduquer”(genre les couples liegen-legen, nur-erst, besuchen-besichtigen etc)

Je ne conteste pas le fait que le vocabulaire puisse être tiré d’ouvrages spécialement dediés (J’allai meme y venir dans un prochain post), je trouve juste que metre un cache sur la colonne allemande et descendre le long de la liste ça a des effets pervers quand on doit utiliser le vocabulaire à l’oral du genre “ah merde comment on dit désobeissant déjà, c’est pas possible qu’il ne me revienne pas, je me rappelle très clairement qu’il était entre sage et punition”. Pour les règles de grammaire pointues, c’est évidemment utile, mais plus tard, après beaucoup avoir entendu et lu d’allemand. A ce moment là on peut avoir des révélations.

C’est sur. Un étudiant en fac d’allemand baigne toute la journée dedans, pour peu qu’il bosse un minimum, tout devient de plus en plus naturel. En ce qui me concerne, l’allemand est ma LV2, je l’ai très largement laissée en sommeil pendant deux ans d’école car les cours de langue y sont nuls, les profs découragés par les élèves, qui sont en général mauvais et profitent des cours de langue pour récupérer des soirées trop arrosées (quand ils se lèvent). Je ne serai jamais un spécialiste, c’est juste une corde en plus à mon arc. Je ne place que très rarement feldspath, plagioclase, mortaise ou tenon dans une conversation en français, ce n’est pas pour les utiliser en allemand. Mon ambition n’est pas de traduire des documents specialisés. Je veux simplement être capable:

  1. de me faire plaisir en lisant de la bonne littérature sans avoir tout le temps le nez dans mon dico
  2. de pouvoir discuter de sujets intéressants ou raconter un livre ou un film qui m’ont plu en utilisant le plus possible des tournures idiomatiques et sans me perdre sans arrêt dans des périphrases toutes moches par manque de vocabulaire
  3. d’utiliser l’allemand dans un cadre professionnel sans perdre en efficacité par rapport au travail en français.

Oui, lego aussi ça marche aussi à l’ecrit, car on a le temps de se relire mais Tetris ajoute la dimension temporelle car les gens attendent la fin de ta phrase et s’impatientent si tu hésites trop :wink: Mon exemple du coca c’était juste une anecdote perso pour montrer que l’attitude envers les langues en France en fait des matières à part entière avec notes à la clé, ce qui implique une dimension beaucoup moins pratique qu’avec un duo livre-pack de CDs Assimil (et encore assimil n’est pas le meilleur sur le marché, loin de là) et un apprentissage souvent base sur l’utilisation de la mémoire immédiate, ce qui á terme ramène les élèves à la case départ.

je viens de relire toute votre discussion… :wink:

  1. je fais partie des gens qui ne se demandent même pas si Cola c’est der die ou das… je sais… c’est un défaut… mais si tu dis au type du « fast-food américain qui fait grossir »… je veux UNE COla… il te servira quand même TON cola… donc… CQFD :wink:

Pour le reste je suis entièrement d’accord avec Solal, bien que Anne ne dise pas de bêtise :wink: et j’ai été stupéfaite de lire ceci :

Je n’aurai jamais pensé à avoir ce côté « fainéant » et pourtant… je le fais involontairement, en apprenant par coeur les chansons de « Die Ärtze » par exemple, ce qui me permet d’enrichir mon vocabulaire, et les tournures des phrases… :wink:

et pour la petite anecdote Solal… j’ai su dire en allemand en même temps… un couteau, une fourchette et un… Objecteur de conscience !!! :laughing: et le plus marrant c’est que j’ai même une fois, réussi à placer l’objecteur de conscience dans une phrase !! :stuck_out_tongue: :laughing:

Le problème, c’est que non seulement il faut se le demander, mais en plus il faut aussi se demander où on est… En effet, Cola est féminin en Allemagne, mais neutre en Autriche. ^^ :frowning:

Comme en Suisse :wink:

moralité sur le Cola :

Féminin en Allemagne…

Neutre en Autriche…

et très mauvais pour la santé en médecine !! :laughing: :stuck_out_tongue:

… et masculin en France.
Comme quoi, les automatisme, ce sont des boutons ou des interrupteurs qu’on installe sur le cerveau, et que l’on actionne en fonction des besoins.
Il y a parfois des interférences de vocabulaire et d’accent, quand je vadrouille par exemple entre deux pays dont les langues sont assez voisines (PL-CZ, CZ-SK, PL-SK, SLO-HR, pour ne citer que les exemples les plus fréquents). Seul un certain Nobody est parfait, mais il ne fait pas partie du forum! :mrgreen:

Tu parles toutes ces langues :astonished:

Pour le coca masculin je pense que c’est pour ne pas confondre avec la coca qui désigne la plante.

@Kissou: Mais c’est bien d’apprendre des chansons, c’est comme ça que ça rentre le mieux, avec du rythme et en associant des émotions à ce que tu apprends, comme les poésies quand on était petit. Et puis personne n’a dit qu’apprendre devait constituer qu’en du travail laborieux, il faut aussi se faire plaisir :wink: (Non, je n’ai pas de solutions pour les maths :smiley:)
Le seul probleme c’est que mon pc est mort et que niveau musique c’est soit mtv soit la radio où la musique en anglais est omniprésente en allemagne, je trouvais la loi française à ce propos un peu stupide mais finalement ça a du bon par certains cotés. :wink:

@ solal
Langues apprises sur le tas, le contact avec la population locale, rien de tel pour s’exercer à la pratique! Surtout à pied et en dormant chez l’habitant! Pour moi, c’est faire preuve de simple courtoisie que d’aborder l’autre dans sa langue, ne serait-ce que pour se démarquer du touriste ordinaire!

A propos du coca, je pense que le nom générique en alld est cola, puisqu’il existe du coca cola, du pepsi cola , il existait aussi du
afri cola,…et, chez moi, en Alsace, on trouve même du elsass cola. :smiley:

Bonsoir,

je vais faire un stage en entreprise Allemande d’ici peu mais suis une tache en langue, j’aimerais laisser la meilleure impression possible, et donc potasser la théorie avant de partir :slight_smile:

Si vous connaissez des bons livres qui vulgarisent la grammaire allemande aux français, je prends !

Gros bisous

Salut Swish,

J’ai fusionné ta question à un topic existant qui devrait répondre à tes questions… Je t’invite à remonter au début du topic pour découvrir nos suggestions de manuels. :wink:

J’ai trouvé ça à la librairie de la gere centrale

Je suis complètement fan! Ils manque les pluriels car c’est fait pour les allemands mais j’ai rarement vu un bouquin aussi axé « pratique ». Pas de terme vous permettant de parler politique par exemple mais par contre toute la voiture est desossée pièces à pièces et l’inventaire de la cuisine est impressionant d’exhaustivité. Ca faisait des années que je cherchais un truc dans le genre. Et en plus les images sont un super atout pour la mémoire.