Mon enfance

la cabane au fond du jardin
aque le papier journal
le m^me qui servait pour :stuck_out_tongue: emballer les oeufs de la ferme
et les mouches :laughing:

Les premières années dans la nouvelle maison:

Mon père a installé son atélier dans la salle de séjour en rez-de-chaussée dans notre nouvelle maison. Il n’a pas eu assez d’argent pour acheter des nouveaux outils, par exemple une grande scie à ruban pour découper le bois, et autres. C’est pourquoi, il a emprunté une grande somme d’argent à un ami. Peu à peu, mes parents ont rénové les chambres et les aménagé à tel point que nous pouvions habiter dans la maison.

Moi, j’ai été un petit garçon de 4 ans et ai fait obstacle à mes parents pendant la rénovation de la maison. C’est pourquoi, je suis allé voir grand-mère chaque jour. Elle et moi, nous sommes nous promenés beaucoup dans le village, dans le parc public, dans la forêt environ. Il a été beau de voir les arbres en couleur en automne devant un ciel bleu et de respirer l’air clair et frais. J’ai connu déjà toutes les voitures. Sur le promenades à pied avec grand-mère, j’ai l’incommodé toujours par désigner les marques de voitures qui ont été stationnées dans les rues. De plus, j’ai connu déjà les chiffres et contrôlé toujours les numéros dans les rues. De temps en temps, un numéro a manqué, car le terrain à bâtir a été encore vide. Puis, j’ai pu incommoder la grand-mère longtemps, car j’ai cherché le numéro en vain. Mais, grand-mère a été une femme très gentille et patiente; elle m’a expliqué beaucoup.

Un peu plus tard, je suis entré à l’école maternelle. Je ne me souviens pas d’évènements particuliers dans l’école maternelle. Je me souviens seulement encore que les puéricultrices étaient religieuses.

Un an après l’émménagement dans la maison, mon autre soeur est née. La petite chambre sur la cuisine a été la chambre d’enfants. Elle a eu la forme d’un « L » à cause de grande cheminée en coin. Il a été très exigu dans cette chambre. Mais, il a été impossible de chauffer cette chambre. Alors, nous n’avons pas séjourné dans cette chambre pendant la journée.

Grand-Père

« je connaissais toutes les voitures » - Imperfekt, connaîtrais: Conditionnel
Dans ces temps-là, ce n’était pas encore difficile, :smiley: , je les connaissais aussi toutes. Tu te souviens du « Borgward »? Quelle belle voiture!

Merci bien, cri-zi, pour ton commentaire!
Oui, je connaissais la Borgward, et aussi autres voitures qui ont disparu de nos rues, par exemple la Messerschmidt, la Isetta, la NSU Prinz.

Dans les rues, nous n’avons pas vu tant beaucoup de voitures comme aujourd’hui. Et les voitures ne sont pas allées si vite comme aujourd’hui!

Grand-Père

Le voisinage:

Mes soeurs sont étées encore très petites. Alors, j’ai trouvé quelques enfants dans le voisinage dont j’ai pu jouer. Nous n’avons pas eu de jardin, c’est pourquoi, nous avons joué dans la rue. Mais, ce n’avait pas été dangereux, car il y avait eu seulement peu de circulation.

Notre voisin a été maçon, employé chez une entreprise de construction. Sa famille a consisté de lui, sa femme, son fils et le grand-père. De plus, il a été paysan. Il a eu une étable avec trois vaches et un boeuf. Chaque soir, la voisine est venu chez nous et nous a donné du lait frais. Ils ont eu une prairie au dehors du village où ils ont récolté le foin pour les vaches. Souvent, le grand-père a attelé le boeuf devant un chariot pour aller chercher le foin pour les vaches. Le tas de fumier a été derrière la maison. La maison du voisin est étée dirigé vers l’est, mais notre maison est étée dirigé vers l’ouest. C’est-à-dire: le tas de fumier s’est trouvé en face de notre salle de séjour. En été, nous avons été toujours incommodés par des mouches. Mes parents ont fermé les fenêtres, mais les mouches a été là quand même. Maman a acheté des rubans adhésifs qu’on a fixé au plafond. Après quelques jours, le ruban a été plein de mouches mortes. Mais autres mouches ont resté chez nous quand même. Souvent, maman a utilisé un spray (quelque chose qu’on n’utilise pas aujourd’hui à cause d’environment!). Pour nous, il a été très intéressant d’observer les mouches danser sur son dos jusqu’elles sont mortes!

Le voisin a aussi eu des poules. La famille a toujours eu assez d’oeufs. De temps en temps, le voisin a tué une poule pour le repas. Pour nous, il a été très intéressant d’observer la procedure: Le voisin a pris une hache et abattu la tête de la poule. Puis, la poule a sauté et couru sur la place - sans tête. Un peu plus tard, elle est tombée et a morte.

La rue devant notre maison n’a pas eu de revêtement en asphalte. En été, nous avons obtenu beaucoup de poussière quand les voitures sont passées la rue. De plus, la rue a été très boueuse après une pluie. Lorsque les voitures passaient la rue après une pluie, la rue a eu beaucoup de nid-de-poules. De temps en temps, les ouvriers du village sont venus avec un camion et ont rempli les nid-de-poules avec de sable. Puis, un rouleau compresseur a fixé le sable. Cela a été intéressant pour nous d’observer les ouvriers et son travail. En éte, un camion-citerne est allé dans la rue et a giclé d’eau sur la rue pour fixer la poussière. Pas loin de notre maison, il y a eu une bouche d’incendie où le camion-citerne a arrêté pour remplir la citerne. Nous enfants ont attendu patiemment avec des pieds nus. Quand la citerne a été rempli et le camion a continué son travail, nous sommes courus très vite après le camion pour faire mouillés nos pieds. Cela a été un grand plaisir pour nous!

En hiver, le camion du village est allé avec un chasse-neige. Puis, nous avons reçu des hautes tas de neiges à deux côtés de la rue. Cela a été toujours la cause pour une bataille de boules de neige entre les enfants. Nous avons eu beaucoup de neige chaque hiver. Pour nettoyer le ruelle entre le voisin et nous, nous avons poussé la neige dans le ruisseau qui coulait à l’autre côté de la rue. Rapidemment, le ruisseau a été rempli avec la neige à tel point que nous avons pu le traverser pour entrer un pré.

Un jour à la fin d’hiver, j’ai voulu traverser le ruisseau sur ce pont de neige. Mais, malheureusement, la neige a fondue. Tout à coup, je suis tombé par la neige dans le ruisseau. L’eau a été très froide! Les murs à côté sont étés trop raide, je n’ai pas réussi d’escalader. Mais, je m’ai souvenu d’une escalier 200 mètres plus loin. Alors, je suis allé dans le ruisseau pour trouver l’escalier. Mais, un autre voisin m’a vu et est sauté dans le ruisseau et m’a soulevé sur la rue. Puis, il m’a emmené dans sa cuisine où il a été chaud. Ensuite, il a appellé ma mère. Elle est venue pour m’aller chercher. Maman a été une mère très sévère. J’ai craint une réaction sévère, mais maman a été tranquille et ne m’a pas insulté.

Grand-Père

Le débarras:

Le débarras derrière la cuisine dans notre maison a eu des fonctions différentes. Vers le nord, les toilettes sont étées installés. Père a construit un mur de bois avec une porte pour séparer les toilettes du reste du débarras. De plus, il a installé une lampe pour l’éclairage des toilettes. Quand on a fait ses besoins sur les toilettes, l’odeur a été très mauvaise, car les toilettes n’ont pas eu de fenêtre. C’est pourquoi, père a installé un ventilateur électrique dans un conduit d’aération, allumé par un bouton qui a arrêté après quelques minutes.

Une autre fonction du débarras a été la cave de charbon. La cuisinière a étée chauffée avec de charbons. Pour stocker les charbons, on a creusé une fosse dans le sol du débarras; un maçon a maçonné les murs. Une planche de bois a séparé la fosse en deux chambres. À gauche, on a rempli les charbons, à droite on a rempli les briquettes. La fosse a été fermé par un couvercle dans le sol du débarras. Quand le charbonnier est venu, il a jeté les charbons à gauche, mais les briquettes sur le sol. Moi, je suis descendu dans la fosse et a mis les briquettes exactement dans la fosse. Quand les charbons dans la cuisine sont été épuisés, il a été ma tâche de descendre dans la fosse et d’apporter des charbons et des briquettes.

Une autre fonction du débarras a été la buanderie: Bientôt, mes parents ont acheté une machine à laver, mais elle a été demi-automatique, c’est-à-dire, on a dû rester toujours dans la buanderie pendant la procedure de lavage. On a mis le linge dans la machine, ajouté l’eau et la lessive en poudre et attendu, jusqu’à la fin de la procedure. La machine a seulement roti et chauffé l’eau. Puis, on a ouvert un robinet pour vidanger la machine pendant que le linge a été gardé dans un seau. Puis, on a rincé le linge plusieurs fois dans la machine. Ensuite, on a mis le linge dans une essoreuse séparée et l’essoré. Mais, quand on a versé le linge incorrectement dans l’essoreuse, elle a fait une randonnée dans le débarras! Plusieurs fois, j’ai crié après Maman pour m’aider finir la procedure, car l’essoreuse a dansé!

Dans le nord de la maison, il y avait la fosse fécale où les besoins sont été collectés. De temps en temps, un camion-citerne est venu pour pomper les besoins et les emmener à la station d’épuration. Sur cette fosse fécale, mes parents ont installé la corde à linge, car nous n’avons pas eu une autre place pour sécher le linge - pas de balcon, pas de terrasse, pas de jardin.

Une autre fonction du débarras a été la salle de bains. Au début, nous avons eu seulement une baignoire de zinc qui a été gardé dans le débarras. Chaque samedi, il a été le jour de bains: Père a apporté la baignoire dans la cuisine, la rempli avec eau chaude qui mes parents ont chauffé sur la cuisinière dans un grand baquet. Souvent, maman a jeté un comprimé vert dans l’eau. Ce comprimé a donné beaucoup de mousse et une très fine odeur après aiguille de pin. À ce temps, on n’a pas connu le bain moussant liquide comme aujourd’hui. Nous enfants sommes assis ensemble à le même temps dans la baignoire. Pour nous, il a été grand plaisir! Souvent, le sol de la cuisine a été tout trempé et Maman a dû passer la serpillière. Je me souviens que la voisine est venue de temps en temps pour aider Maman au jour de bains. Un soir, elle m’a essuyé pendant qu’elle a parlé avec maman. Puis, elle a essuyé ma jambe droite, toujours en bavardant avec Maman. J’ai mis ma jambe retour dans la baignoire et la donné ma jambe gauche; elle a essuyé ma jambe, puis je l’ai mis retour dans la baignoire et la donné ma jambe droite, etc. Après quelques minutes, la voisine a remarqué quelque chose étrange et m’a demandé combien de jambes j’ai eu. - Plus tard, mes parents ont acheté une autre baignoire. Elle a eu l’air d’une armoire. On a tiré l’armoire, et on a vu une baignoire avec un chauffe-eau électrique. Puis, nous avons baigné dans le débarras.

Une autre fonction du débarras a été un cellier: Nous avons eu une armoire dans le débarras où Maman a gardé des alimentaires impérissables comme la confiture, des boîtes de conserve, et autres.

La dernière fonction du débarras a été un garage pour les vélos. Nous n’avons jamais eu de voiture. Mes parents sont toujours allés par vélo. Les vélos sont été véhicules très simples, les cadres très lourds, laqués en noire, sans dérailleur.

Grand-Père

Une décision importante:

Mon ami dans le voisinage a eu un vélo rouge. À ce temps, on n’a pas connu les petits vélos pour enfants comme aujourd’hui. Les enfants plus âgés ont appris d’aller à vélo avec des grands vélos des adultes. Mon ami a eu un vélo pour jeunes garçons avec des roues de 24 pouces: c’était un vélo un peu plus petit que les vélos des adultes.

Quand j’ai eu 5 ans, mon ami m’a proposé d’apprendre d’aller à vélo. Il m’a donné son vélo à disposition. Évidemment, il a été impossible pour moi d’aller à vélo tout de suite. Mon ami a tendu son vélo, et moi, j’ai pédalé lentement pour apprendre la balance. Peu à peu, j’ai pédalé plus vite pendant que mon ami a couru à côté de moi en tenant son vélo. Un peu plus tard, il l’a lâché et je suis allé seul dans la rue. Quand j’ai remarqué que je suis allé seul, je suis été très fier. J’ai exercé d’aller à vélo plusieurs fois. La rue qui a passé notre maison, a suivi un ruisseau qui a été séparé par une balustrade. Je me souviens encore que je suis allé dans la rue, et je m’ai approché un montant de béton de la balustrade. J’ai tenté de conduire le vélo retour au milieu de la rue, mais je m’ai approché le montant quand même. Tout à coup, j’ai entré en collision avec le montant et je suis tombé sur la rue, une plaie ouverte à ma tête et aux genoux. J’ai pleuré beaucoup, j’ai redonné le vélo à mon ami et juré que je n’irais jamais à vélo. Mon ami a tenté de me persuader que je pourrais l’apprendre plus tard, mais je m’ai refusé longtemps.

Au printemps, quand j’ai eu 5 ans, Maman m’a emmené à l’école. L’année scolaire a commencé au début du septembre, mais moi, j’ai fêté mon anniversaire sixième environ 8 semaines plus tard. C’est pourquoi, une professeur a fait un teste avec moi pour estimer, si je déjà pourrais entrer à l’école en automne. Je ne me souviens pas quels testes j’ai dû faire. Elle m’a lu un récit qui j’ai dû répéter. Elle m’a donné quelques images, et j’ai dû faire une histoire. Elle m’a donné quelques petits exercises de calcul simples qui j’ai dû calculer, et autres. En tout cas, j’ai réussi et les adultes ont décidé de m’envoyer à l’école en automne.

En septembre, le grand jour est venu! Comme tous les autres enfants, j’ai reçu un grand cornet d’école rempli avec beaucoup de sucrerie (quelque chose qu’on ne connaît pas en France!). Le cornet a eu une forme ronde et pointue, le diamètre a été si grand que j’ai pu le mettre sur ma tête comme un chapeau. Alors, après avoir mangé tous les sucreries, j’ai décidé de garder le cornet. J’ai projeté de prendre le cornet comme un chapeau d’un magicien au carnaval à la prochaine année. - Mais, quelques jours plus tard, quand je suis rentré à la maison après le cours à l’école, j’ai rencontré ma petite soeur de 2 ans. Elle s’est assise sur le sol, mon cornet entre ses genoux, et a déchiré le cornet en morceaux. J’ai réagi très méchant, mais le cornet a été détruit.

Je ne me souviens pas beaucoup de l’école. À ce temps, on n’a pas écrit dans un carnet. Nous avons eu un petit tableau d’ardoise où nous avons écrit avec un crayon de craie. Si le tableau a été plein, on a utilisé une éponge pour nettoyer le tableau. De temps en temps, nous enfants sommes disputés sur le chemin du retour. Nous avons jeté le cartable l’un contre l’autre. À cette occasion, le tableau s’esit cassé. Évidemment, les parents n’ont pas été contents de nous, car on a dû acheter un nouveau tableau. - Le cartables n’ont pas étés en couleurs comme aujourd’hui. Nous avons eu des cartables en cuir.

Malheureusement, je n’ai pas réussi à l’école! Quelques semaines après le début d’année scolaire, Maman m’a dit que je n’ai plus besoin d’aller à l’école. Je suis été un peu étonnant, mais j’ai été content de rester à la maison. Je ne me souviens pas qu’est-ce qu’il a passé à l’école. Plusieurs années plus tard, j’ai demandé Maman, pourquoi j’ai interrompu la première année à l’école. Elle m’a raconté que la professeur s’est plainte sur mon agitation pendant le cours: Je n’ai pas réussi d’asseoir tranquillement, mais j’ai sauté dans la salle à l’école et souvent ai raconté sur mes évènements à la maison, quelque chose que n’a pas allé au cours. Aujourd’hui, je me peux bien imaginer que cela a dérangé le cours. Maman a aussi raconté que je suis souvent rentré à la maison, très méchant, et ai jeté mon cartable au coin de la chambre et ai crié que je n’irai jamais à l’école.

Deux ans après le déménagement, Père a capitulé: Nous avions déménagé pour économiser les transports du bois qui Père a utilisé comme luthier. De plus, sa soeur a habité dans le même village, en travaillant comme forgeronne d’argent. Père a espéré qu’elle nous l’aiderait dans une situation critique. Mais, malheureusement, Père n’a pas reçu assez de travail. Personne n’a connu le nom du Père, il y a eu seulement peu gens qui ont apporté un violin à réparer. Dans le village, beaucoup d’autres luthiers bien connus ont habité et travaillé. Ainsi, Père n’a pas gagné assez d’argent pour nourrir sa famille. Alors, il a vendu les grands outils et a cherché travail. Son atélier est devenu notre salle de séjour dans la petite maison. Enfin, il a trouvé emploi dans une usine où on a produit encre pour des stylos. Il n’a pas eu la formation, mais il a pu travailler comme laborantin. Là, il n’a aussi pas gagné beaucoup d’argent, mais il a reçu son petit salaire chaque mois. Souvent, il est rentré à la maison avec des mains toutes bleues, et il a été nécessaire d’utiliser un savon spécial pour laver les mains. Malheureusement, Père n’a pas gagné assez d’argent pour la famille. À la fin du mois, les parents n’ont pas eu assez d’argent pour acheter des alimentaires pour nous. Souvent, Père ou Maman sont allés chez la tante pour emprunter un peu de monnaie. Quand la fin de mois s’est approchée, nous avons souvent mangé un repas très simple, par exemple une soupe seulement, ou fromage blanc avec des pommes de terre en robe de champs. Souvent, nous avons fini le repas, encore affamés.

À ce temps, Maman a eu l’idée de commencer à travailler. Elle a eu la formation comme infirmière pour enfants. Elle n’a pas eu l’occasion de travailler au dehors, parce que mes soeurs sont étées encore petites. Ainsi, elle a commencé à héberger autres enfants. Au début, elle a pris un nouveau-né d’une jeune mère non mariée qui même a dû travailler pour gagner argent. Peu à peu, autres enfants sont venus chez nous. Maman a gagné un peu d’argent, alors les revenus de mes parents ensembles sont étés assez pour nourrir la famille.

Grand-Père

Un jour, - c’était déjà longtemps avant mon entrée à l’école primaire - mon père a construit une grande caisse de bois, environ deux fois un mètre, avec un couvercle. Il l’a installé dans la ruelle entre notre maison et la maison de voisin, directement au mur de notre maison. Quelques jours plus tard, un grand camion est venu et a livré un tas de sable. Père et le voisin ont pelleté le sable dans la caisse. Ce bac à sable est devenu le rendez-vous pour tous les enfants environ. Pendant la nuit, le couvercle a été fermé pour tenir loin les chats du voisinage qui autrement volontiers ont utilisé le sable pour les besoins.

Un jour, je suis assis seul dans le bac à sable. J’ai bâti une grande montagne de sable. J’ai construit une rue sur la montagne avec des ponts et des tunnels pour laisser aller mes véhicules en miniature sur cette rue. Peu à peu, j’ai senti que j’ai eu besoin de faire mes besoins. Mais, le jeu avec le sable a été plus intéressant. Alors, j’ai supprimé le besoin. Un peu plus tard, j’ai senti mes besoins de nouveau. Mais, je les ai supprimé. Tout à coup, les besoins sont venus avec force. Je n’ai pas eu l’occasion d’aller aux toilettes à temps, et les besoins se sont trouvés dans mon slip. Je suis entré à la maison en très mauvaise conscience. Maman a été une femme très sévère, et j’ai craint une punition avec le bâton. Mais, Maman a réagi d’une autre façon: Elle m’a commandé de déshabiller le slip salé. Puis, elle m’a donné la lessive en poudre, et j’ai dû laver le slip et mon pantalon moi-même, pendant que Maman s’est promenée ensemble avec mes soeurs. Quand elles sont rentrées à la maison, j’ai été prêt, et elle a contrôlé mon travail.

La rue devant notre maison a été sans asphalte. De temps en temps, nous enfants ont fait une espièglerie: Nous avons gratté une cannelure dans la surface de la rue. Puis, nous avons caché une ficelle dans la cannelure et la rempli avec de sable. Au bout de la ficelle, nous avons fixé un porte-monnaie vide. L’autre bout de la ficelle nous avons tenu aux mains et nous nous avons caché derrière une pile de bois en observant la rue. Un peu plus tard, un homme est venu. Il a vu le porte-monnaie dans la rue et s’est penché pour ramasser le porte-monnaie. Au même temps, nous avons tiré la ficelle, et le porte-monnaie est disparu. Quelques gens ont ri sur cette espièglerie, mais autres se sont mis en colère.

J’ai déjà rapporté que Maman a pris des enfants en pension pour gagner un peu d’argent. Au début, il y été seulement un enfant. Mais peu à peu, autres enfants sont venus et ont habité chez nous. Ils étaient surtout petits nouveau-nés et nourrissons qui les jeunes mères ont emmené chez Maman. Père a renové l’ancien fenil au premier étage et fait une nouvelle chambre d’enfant. Pour chauffer un peu la chambre, il a installé un rayon électrique sur la table à langer. Pour éclairer la chambre, Père a construit un conduit d’éclairage au toit. Des employés du service d’hygiène sont venus pour contrôler la chambre. Ils ont critiqué que le conduit d’éclairage a seulement éclairé la partie avant de la chambre. Ils ont démandé que Père a dû installer un autre conduit d’éclairage dans la partie derrière de la chambre. Mais, malheureusement, ce n’a pas été possible, car ce conduit a dû passer un pilier du toit. Alors, Père a installé deux tubes au néon dans le plafond et les caché après une verrière intransparente. Les employés du service d’hygiène sont été contents. - Bientôt, le travail avec les enfants a été fatigant pour Maman. Mais, elle n’a pas gagné assez d’argent pour donner emploi pour une assistante. Ainsi, Maman a délégué le travail pour nous: Mes soeurs et moi avons appris tôt les soins des enfants et avons dû aider Maman, tout le jour! Nous avons appris de préparer le biberon pour les nourrissons, de cuisiner une purée de carottes, une purée au lait. Nous avons appris de changer les couches chez les nourrissons, de les laver quand les derrièrs ont été salés, de les asseoir sur son pot de chambre.

Maman n’a pas eu assez de temps pour faire les courses. Pas loin de notre maison, il y avait une épicerie. Maman a fait un accord avec l’épicier: Elle a écrit une fiche où on a pu lire tous les désirs. Mes soeurs ou moi sommes allés à l’épicier avec une grande poche. Il a rassemblé tous les alimentaires qui Maman a désiré. Il les a emballé dans la poche et nous envoyé avec la poche à la maison. À la fin du mois, Maman est allée chez l’épicier pour payer tous les alimentaires qui nous avions acheté. À ce temps, on n’a pas connu des boîtes d’oeufs comme aujourd’hui. L’épicier a emballé les oeufs dans un sac de papier. De temps en temps, nous sommes tombés sur le chemin à la maison, et puis, quelques oeufs ont été cassé. Puis, Maman n’a pas été contente!

Aussi pas loin de notre maison, il y avait une boulangerie. Souvent, Maman nous a envoyé d’acheter le pain, aussi sans argent. Nous avons reçu l’ordre de dire à la boulangère que nous voulions acheter un pain de 3 livres et d’hier. Si nous avons acheté un pain frais, nous avons mangé beaucoup. Si nous avons reçu un pain d’hier, le pain a été sec, et nous avons dû mâcher beaucoup. Ainsi, nous n’avons pas mangé beaucoup. À la fin du mois, Maman est allée chez le boulanger pour payer tous les courses.

Pas loin de notre maison, il y avait un magasin pour articles ménagers. On a pu acheter la poterie, des verres, articles de quincaillerie, mais aussi la papeterie et la mercerie dans ce magasin. Un jour, Maman m’a envoyé pour acheter deux manches à balai dans ce magasin. J’ai reçu les manches qui ont été plus grands comme moi. J’ai voulu sortir le magasin. Pour dire Au revoir à la vendeuse, je m’ai tourné une fois. À cette occasion, j’ai jeté deux verres d’une étagère au sol avec les manches à balai. La vendeuse a été très méchante avec moi: Elle a crié qu’il était moi qui a dû payer les deux verres cassés. Moi, j’ai pleuré beaucoup et n’a pas voulu reconnaître ma culpabilité, car je n’avait pas les jeté avec intention. Je suis couru vite à la maison. Mes parents m’ont consolé. Maman a payé les verres un peu plus tard. La vendeuse a été méchante encore. À la maison, mes parents ont dit que la vendeuse a été une très bête femme qui en principe a pu renoncer le payement par mes parents, car une assurance civile a pu payer le petit dommage; de plus, il a été une bêtise de la vendeuse d’installer les verres sur une étagère à droite de l’entrée. Depuis cet évènement, j’ai détesté la vendeuse dans ce magasin, mais plus tard, quand je suis allé à l’école, j’ai souvent dû acheter des cahiers et des crayons chez lui.

Grand-Père

Voulez-vous lire plus de mon enfance? Ou est-il assez, maintenant?

plus grands que moi, beim Vergleich que, bei Zahlen de (plus de 100€ - mehr als 100€)
J’aime bien lire ta biographie dont quelques traits me rappellent la mienne. :neutral_face:

Grand-père,

Un grand merci pour ce témoignage passionnant sur ton enfance.

J’ai hâte de lire la suite.

Et bravo encore pour tes efforts en français!

Mon père faisait exactement la même chose ! :wink:

Moi aussi je veux lire la suite !

Grand-Père,

Bien que je ne poste pas beaucoup de messages, je vais presque tous les jours sur le forum et ma visite commence toujours pas une lecture de tes anecdotes.
Alors, s’il te plaît, ne t’arrête pas !

la suite grand pére, la suite, moi pout le bain c´etais un grand baquet en bois au milieux de la cuisine.

jean  luc :wink:

Les enfants dans notre petite maison:

Deux années après le déménagement, Maman a commencé à héberger autres enfants dans notre petite maison pour améliorer l’économie pour notre famille. Au début, elle a pris un nourrisson, mais bientôt, autres enfants sont venus. Maman a fait ce travail pendant 10 ans. Je me souviens le temps où nous avons hébergé 9 enfants étranges dans notre maison. Mes soeurs et moi, plus 9 enfants étranges, ça fait 12 enfants dans la maison!

Évidemment, il n’était pas possible à séjourner les enfants dans la maison sans interruption. Mais, nous n’avons pas eu de balcon, pas de jardin. Alors, Maman a mis les nourrissons dans un landau et l’a stationné dans la rue directement devant la maison. Les enfants plus âgés, elle a mis dans un parc devant la maison. Ainsi, plusieurs landaus ont été stationné le long du mur de notre maison. La question a été: Où stationner les landaus pendant la nuit ou quand le temps a été mal? Nous n’avons pas eu une cave, le débarras a déjà eu beaucoup d’autres fonctions. Là, nous n’avons pas eu assez de place. Mes parents ont décidé qu’on a dû stationner les landaus dans le grenier. Mais, comment transporter les landaus dans le grenier? Il a été impossible de transporter les landaus sur les escaliers dans notre maison. Alors, Père a installé deux palans. L’un a été installé sur la porte de la chambre d’enfants avec vue sur la ruelle. L’autre a été installé au grenier pour tirer les landaus de la chambre d’enfants au grenier. Chaque jour en été, quand le temps a été beau, nous avons transporté les landaus du grenier à la ruelle. Dans la chambre d’enfants, il s’est trouvé une manivelle. Au dehors, il s’est trouvé une grue fixée au mur sur la porte, avec un câble d’acier avec 4 crochets. On a accroché les crochets au landau et puis utilisé la manivelle. Le soir, on a transporté les landaus retour au grenier par les palans. Le village était une station climatique. Beaucoup d’hôtes se sont promenés dans les rues du village. Quand ils se sont prominés dans notre rue, ils ont arrêté pour observer la procedure: Un landau après l’autre a été tiré au grenier. Beaucoup d’hôtes du village ont vu les nourrissons dans les landaus et les enfants dans le parc. Beaucoup d’hôtes n’ont pas seulement vu les enfants, mais aussi les caressé, par exemple quand un nourrisson a pleuré. Mais mes parents n’ont pas aimé cela. C’est pourquoi, Père a ècrit un écriteau: « Vous ne touchez pas les enfants, s’il vous plaît! » Cet écriteau a été fixé sur le mur de la maison.

Beaucoup d’enfants dans la maison, c’est-a-dire: Beaucoup de lessive! À ce temps, on n’a pas connu les pampers. Les nourrissons ont eu des couches à gaze qui on a dû laver chaque fois. Un jour, Maman a lavé des couches dans un grand baquet de zinc rempli avec lessive très chaude. Maman a mis le baquet sur l’endroit où elle a voulu étendre les couches pour les sécher. Mais, la lessive a été trop chaude, alors Maman est rentré à la maison, pendant que la lessive a refroidi. Tout à coup, la voisine est venue et a prié Maman de venir au dehors. Entre les mois du mai et du septembre, les paysans ont poussé les vaches sur la montagne. Chaque matin, beaucoup de vaches ont fait une randonnée sur la montagne, accompagné par un gardien, pour paître les herbes dans la montagne. Chaque soir, les vaches sont revenus dans son étable. C’était une grande procession de vaches, toutes avec une sonnette au cou. C’était une beau attrait pour les hôtes dans le village. - Ce soir, quand la voisine est venue pour appeller Maman, une vache est allée dans notre rue. Elle a trouvé le baquet de zinc, rempli avec la lessive et les couches. L’animal a été très avide après la lessive et a commencé à boire la lessive. La voisine et Maman sont vite courues chez la vache et ont tiré les couches de la gueule de la vache: Les couches se sont mélangés dans la gueule de la vache avec les herbes qui la vache avait mangé: Les couches ont été très vertes, et Maman a dû les laver encore une autre fois.

Un jour en été, la grand-mère d’un enfant chez nous est venue. Elle a prié de faire une randonnée avec son petit-fils, et elle a proposé d’emmener autres enfants, par exemple ma jeune soeur de 4 ans et moi. Elle a transporté son petit-fils dans une poussette, pendant que ma soeur et moi sommes allés. En cours de la randonnée, ma soeur a trouvé un bâton de bois qu’elle a pris. Après une heure, ma soeur est été fatiguée et n’a pas voulu nous poursuivre. C’est pourquoi, la grand-mère l’a permis d’asseoir dans la poussette ensemble avec le petit-fils. Ma soeur a pris son bâton comme une canne pendant que la grand-mère a poussé la poussette. Une demi heure plus tôt, la procession de vaches est allée dans la même rue. Beaucoup de bouses de vache fraises se sont trouvé sur la rue. Tout à coup, ma soeur a mis son bâton sous la roue de poussette, et la poussette a renversé. Les enfants ont pleuré beaucoup. Le pire de cet évènement a été, que les enfants sont tombés sur la rue au milieu de bouses de vache, tous les vêtements ont été salé. La grand-mère a été très effrayée. Elle a pris le bâton de ma soeur et le jeté dans la forêt. Malheureusement, nous n’avons pas eu d’eau pour nettoyer les vêtements et les enfants. On a dû rentrer à la maison avec des enfants salés.

Un jour en été, des parents sont venus avec son jeune fils. Ils ont rapporté à ma mère, qu’ils veulent passer les vacances dans le village et faire des randonnées sur la montagne. Ils ont demandé si Maman peut héberger le fils pour 3 semaines, car il a été trop petit pour les randonnées qui les parents ont planifié à faire. Maman a été d’accord. Le fils de 3 ans a resté chez nous. Peu à peu, nous avons remarqué que le garçon a toussé beaucoup. Bientôt, autres enfants dans notre maison ont commencé à tousser. Enfin, tous les enfants ont toussé. Maman a téléphoné le pédiatre. Elle est venue et a examiné les enfants: Tous les enfants ont souffert de coqueluche. Les nuits dans notre maison sont étées terribles. - 3 semaines plus tard, les parents du fils sont revenus pour l’aller chercher et voyager à la maison. Maman a rapporté que le fils, malheureusement, a souffert de coqueluche et a contaminé tous les autres enfants dans la maison. Les parents ont répondu, oui, ils le déjà savent! Ils ont passé les vacances dans notre village intentionnellement, car on sait que l’air dans les Alpes soit bien pour des patients avec coqueluche! Mais les parents n’ont rien dit à Maman quand ils ont apporté son fils chez nous!

Grand-Père

« planifier » passt nicht in diesem Zusammenhang (und letztes Mal auch nicht). Hier sagt man « projeter ». (Economie planifiée=Planwirtschaft).

Ce qui m’ennuie surtout, c’est « salés » : sale, Grand-Père, sans accent ! Sinon ce sont des salzige Kinder !!!

Merci pour les histoires, j’ai bien ri avec celles-ci ce soir ! :top:

Et les enfants ne sont pas « étranges », mais « étrangers »… ou peut être que si ? :laughing:

Sinon, révise l’emploi des temps. j’aurais écris la majeure partie à l’imparfait.

j’ai oserais même pas de dire quelque chose en français,avec ma modeste partipatition à ce forum et la pacience de tous les forumeurs,qui me supportes…sans de rien dire :veneration:
mais d’adore tes histoires :smiley: bitte mehr davon :wink:

Les excursions au dimanche:

Mes parents travaillaient beaucoup! C’est pourquoi, ils ont désiré à dormir tout son soûl chaque dimanche. Je me réveillissais toujours à sept heures le matin, et je réveillissais bientôt mes soeurs qui dormissaient ensemble avec moi dans la chambre d’enfant. Puis, il était joyeux dans la chambre! Plusieurs fois, Maman ou Père venaient et nous pestaient, car ils voulaient dormir encore.

Un jour, je me levais tout tranquillement et sortissais la chambre d’enfant prudemment. Je descendais l’escalier dans la chambre de séjour au rez-de-chaussée. Je m’habillais. Mais, qu’est-ce qu’on peut faire maintenant? Je trouvais un vieux journal et le lirais. Il était très tranquille dans la maison. Trois heures plus tard, mes parents se levaient. Ils me félicitaient, parce que j’ai été si tranquille et n’ai pas réveilli la famille. - Les dimanches qui suivaient, je me levais toujours à temps et sortissais la chambre d’enfant. Je mettait la table pour le petit déjeuner. Quand les parents se levaient, tout était prêt. Les parents étaient heureuses! Mais, peu à peu, il était ennuyeux pour moi! Alors, je sortissais la maison, ouvrissais le bac à sable et jouais dans le sable. Autres enfants du voisinage venaient et jouaient ensemble avec moi. Mais, mes parents ne l’aimaient pas, car nous faisions trop du bruit. Ainsi, je cherchais autre chose pour m’occuper le dimanche matin: Je me promenais un peu dans les rues du voisinage. J’ai demandé mes parents s’ils me le permettaient. Ils étaient d’accord, mais j’ai dû rester à proximité. Alors, je cherchais contact avec autres enfants un peu loin de notre maison. Je flânais dans les rues et voyais les vitrines de magasins. Un peu plus tard, je prendais ma trottinette à bois: Maintenant, la distance de notre maison grandissait: Je me promenais dans autres quartiers du village. Quand je rentrais à la maison, j’ai eu beaucoup de raconter sur mes évènements. Mes parents m’écoutaient, mais ils ne me critiquaient pas. Les promenades au dimanche grandissaient et grandissaient!

Un dimanche, le temps était très beau. Je prendais ma trottinette à bois et marchais une grande promenade: Je roulais vers une auberge, peut-être 4 kilomètres loin du village. Quand je suis arrivé là, il était encore tôt, et je n’ai pas eu envie de rentrer le même chemin. Alors, je poursuivais un autre chemin vers le village voisin. Quand j’arrivais dans ce village (8 kilomètres!), il était temps pour rentrer à la maison. Mais, je n’ai pas eu envie de prendre le même chemin. Alors je prendais la route nationale retour vers mon village. Il était dimanche, c’est-à-dire, il était peu de circulation sur la route (À ce temps, nous avons eu beaucoup moins circulation qu’aujourd’hui!). De temps en temps, une voiture allait la route. En route, je voyais une voiture de la police, une coccinelle verte avec gyrophare non allumé qui passait la route. Un peu plus tard, la même coccinelle verte rencontrait sur la route. Un peu plus tard encore, la même coccinelle verte passait de nouveau et arrêtait directement devant moi. Un policier sortissait la voiture et me demandait où je veux aller. Je le répondais que j’étais en route vers la maison. Il me demandait si je ne savais pas qu’il était nécessaire d’aller à la côte gauche comme piéton, et qu’il était interdit d’aller à la côte droite. Non, ai-je répondu, moi, je ne suis pas de piéton, mais moi, je fais la trottinette. Le policier sourissait. Il me demandait de monter en coccinelle au fond. Je recevais un peu peur: Qu’est-ce qu’ils voulont faire avec moi? Peut-être, ils voulont m’arrêter et m’emmener dans le prison? Mais les policiers étaient très gentils contre moi. Ils me conduissaient à la maison et parlaient longtemps avec mes parents. J’ai eu peur que je dois payer pour le transfert. Mais les policiers ne voulaient pas d’argent. Et mes parents ne pestaient avec moi. Ils me priaient seulement de faire mes promenades dans le village et ne le sortir pas à l’avenir. Ce dimanche, j’ai fait une randonnée de 12 kilomètres!

Quand même, j’ai fait beaucoup de promenades le dimanches, quand le temps a été beau. Un peu plus tard, mes soeurs me priaient de me poursuivre. Maintenant, nous faisions des randonnées, tous les trois. Mais, j’ai eu encore l’ambition de grandir les promenades. Alors, je poussais mes soeurs sur grandes promenades environ du village. Enfin, elles étaient très fatiguées et ne voulaient suivre moi. Ainsi, j’ai continué d’aller toujours seul.

Grand-Père

D’où le goût pour les chemins de randonnée actuellement ! :smiley:
Fais attention à ton imparfait, ton passé simple… Je crois que tu as dû mélanger les conjugaisons d’un coup !

Je me réveillais
Je réveillais
Qui dormaient… :wink: