Petites histoires

1) Le cambrioleur

Il fait 23 heures. Pierre et sa femme vont se coucher. Sa femme a l’aptitude d’endormir toute de suite, mais Pierre a toujours besoin d’une demie heure ou plus pour endormir. Il récapitule toujours les événements du jour passé: Ses conversations avec des clients dans son boulot, ses appels avec autres entreprises, ses promenades au soir.
Tout à coup il entend un bruit léger: claque, claque, … Quelqu’un a ouvert le placard dans le couloir de son appartement. Pierre se lève toute de suite et ouvre la porte de la chambre à coucher. Un jeune homme est en train de vider le placard. « Qu’est-ce que vous faites ici? » demande Pierre à l’homme. « Je crois que je dois appeler la police! »
Le jeune homme voit Pierre. Il se tourne et quitte l’appartement très vite. Il court vite dans le jardin pour sortir. Pierre poursuit cet homme dans le jardin. Au bord de la rue il veut saisir l’homme au col de sa veste. Il manque seulement quelques centimètres pour le saisir.
Pierre et sa femme habitent dans une rue à la périphérie de la ville. La rue monte doucement vers la forêt. Ce sont environ 200 mètres au carrefour. Si on va tout droit, on arrive au parking d’où on peut se promener dans la forêt. Si on va à gauche, on arrive plus tard à un restaurant. Si on va à droite, la rue descend doucement retour au centre-ville; plusieurs routes secondaires débouche sur la rue.
Le cambrioleur met ses mains dans ses poches de pantalon et flâne lentement au carrefour. Pierre court très vite pour saisir cet homme. Mais il est bizarre: Bien que le cambrioleur aille très tranquillement et Pierre coure si vite comme possible, la distance entre les deux augmente toujours! Pierre court, il devient essoufflé, mais il ne peut pas saisir le cambrioleur.
Au carrefour le cambrioleur tourne à droite. La distance parmi ces deux est actuellement déjà plus que 100 mètres. Quand Pierre arrive au carrefour, il peut découvrir le cambrioleur loin dans la rue. Un peu plus tard il tourne pour continuer dans une route secondaire. Pierre court très vite pour rattraper le cambrioleur, mais c’est vainement!
Quand il arrive au lieu où le cambrioleur a quitté la rue, il voit dans la rue secondaire: le cambrioleur a disparu. Mais un grand rhinocéros galope vite contre lui, grognant fortement et en colère. Pierre peut s’enfuir en faisant une escalade sur le tronc d’un grand arbre. Le rhinocéros arrive à l’arbre, voit en haut avec ses yeux méchants et grogne encore une fois. Puis il se tourne et va à la direction de la forêt pour disparaître derrière les arbres.
Pierre se réveille: Il se trouve encore dans son lit. Dieu merci! C’était seulement un cauchemar!

Grand-Père

Bonjour Grand-père…
Je profite de ce mois sans cours auprès des miens en France pour lire tes petites histoires. Heureusement c’était un cauchemar et en plus dans son mauvais rêve il aurait pu rencontrer un gendarme qui lui colle une amende pour être sorti pendant le couvre-feu et sans masque :S
J’ai corrigé tes petites fautes :wink:

  1. Le cambrioleur

Il est 23 heures. Pierre et sa femme vont se coucher. Sa femme peut s 'endormir toute de suite, mais Pierre a toujours besoin d’une demie heure ou plus (pour s’endormir). Il récapitule toujours les événements du jour passé: Ses conversations avec des clients dans son boulot, ses appels avec autres entreprises, ses promenades du/le soir.
Tout à coup il entend un bruit léger: claque, claque, … Quelqu’un a ouvert le placard dans le couloir de son appartement. Pierre se lève toute de suite et ouvre la porte de la chambre à coucher. Un jeune homme est en train de vider le placard. « Qu’est-ce que vous faites ici? » demande Pierre à l’homme. « Je crois que je dois appeler la police! »
Le jeune homme voit Pierre. Il se tourne et quitte l’appartement très vite. Il court vite dans le jardin pour sortir. Pierre poursuit cet homme dans le jardin. Au bord de la rue il veut saisir l’homme par le col de sa veste. Il lui manque seulement quelques centimètres( pour le saisir.)
Pierre et sa femme habitent dans une rue à la périphérie de la ville. La rue monte doucement vers la forêt. Ce sont environ 200 mètres au carrefour. Si on va tout droit, on arrive au parking d’où on peut se promener dans la forêt. Si on va à gauche, on arrive plus tard à un restaurant. Si on va à droite, la rue descend doucement retour au centre-ville; plusieurs routes secondaires débouchent sur la rue.
Le cambrioleur met ses mains dans ses poches de pantalon et flâne lentement au carrefour. Pierre court très vite pour saisir cet homme. Mais c’est bizarre: Bien que le cambrioleur aille très tranquillement et Pierre court aussi vite que possible, la distance séparant les deux hommes augmente toujours! Pierre court, il s’ essouffle, mais il ne peut pas attraper le cambrioleur.
Au carrefour le cambrioleur tourne à droite. La distance entre les deux hommes est à ce moment-là déjà de plus de 100 mètres. Quand Pierre arrive au carrefour, il peut découvrir le cambrioleur loin dans la rue. Un peu plus tard il tourne pour continuer dans une route secondaire. Pierre court très vite pour rattraper le cambrioleur, mais c’est vainement|en vain!
Quand il arrive sur les lieux () le cambrioleur a quitté la rue, il va dans la rue secondaire: le cambrioleur a disparu. Mais un grand rhinocéros galope () vers lui (vient vers lui au galop, grognant fortement et en colère. Pierre peut s’enfuir en escaladant (grimpant sur) le tronc d’un grand arbre. Le rhinocéros arrive à l’arbre, regarde en haut avec ses yeux méchants et grogne encore une fois. Puis il se tourne et va en direction de la forêt pour disparaître derrière les arbres.
Pierre se réveille: Il se trouve encore dans son lit. Dieu merci! C’était seulement un cauchemar!

Merci bien pour la correction, Valdok!
J’ai donné l’histoire un numéro, car je vais écrire autres histoires plus tard.

Grand-Père

Désolée, en corrigeant ton histoire, j’ai moi-même fait une erreur:

Bien que le cambrioleur aille très tranquillement et Pierre coure aussi vite que possible…

Tu avais raison, c’est bien le subjonctif présent du verbe courir qu’il faut employer!!! :smiley:

Bonne continuation pour la suite de tes histoires :smiley:

2) Le petit-fils

La jeune mère et son fils visitent les grands-parents. Ils restent quelques jours, car le voyage entre leur domicile et ce de grands-parents est plus que 400 kilomètres. Les grands-parents les n’ont pas rencontré depuis plusieurs mois à cause de la pandémie.

Le grand-père et le petit-fils aiment bien jouer ensemble.Le petit-fils a deux ans. Dans le sol du salon plusieurs voitures miniatures roulent très vite: Les modèles ont un mécanisme pour remonter le moteur. De plus ils jouent avec des petites pierres de construction: Ils construisent des petites maisons, des tours, une trace pour un petit train, et autres.

Dans le coin du salon il y a une petite table d’appoint. Sur cette table on avait installé un globe terrestre. Le petit-fils montre vers le globe et demande à son grand-père: « Est-ce que c’est un ballon de football? » « Mais non! » répond le grand-père. « C’est un globe terrestre! » Il dit que ce globe est un modèle de notre terre. Il montre les surfaces bleues et explique que ces surfaces bleues sont les mers. Les surfaces jaunes sont les continents. Il montre et explique l’Europe où nous habitons, mais aussi l’Asie, l’Afrique et l’Australie. Puis il tourne le globe et montre les continents Amérique du Nord et aussi l’Amérique du Sud.

« Bien! » dit le petit-fils. Il tourne le globe retour et montre l’Afrique. « C’est là-bas où habite le Père Noël! » Le grand-père est très étonné!

Plus tard il raconte ce fait à sa fille. Elle explique: Quelques jours après Noël son jeune fils l’a demandé où se trouvait le Père Noël actuellement. Sa mère a répondu que le Père Noël avait continué son voyage en Afrique pour transporter ses cadeaux aux enfants africains. Sur le mur dans le couloir de son appartement ils ont une grande carte géographique où elle avait montré son fils la position du continent Afrique. Cette conversation il y a déjà plusieurs semaines. Mais son fils a retenu cela jusqu’au jour d’aujourd’hui!

Grand-Père

Coucou , Grand-Père ,
content de te retrouver ! :wink:

c’est un plaisir de te lire Grandpère :laughing: :laughing:

Merci bien, Michel et Gici, pour la bienvenue!

Grand-Père

3) Les contrôleurs

Jean et Claude sont des élèves au lycée. Pour aller au lycée ils doivent prendre le train, car ils habitent 20 kilomètres loin du lycée.

L’après-midi ils retournent de ses cours. Arrivés dans son village par train, ils prennent le chemin de la gare, ils traversent un parc public, puis la cour d’une autre école de son village pour prendre les rues à la maison. Quand ils ont passé la cour de l’école, ils prennent le chemin long du bâtiment scolaire. Là-bas il y a des supports pour les vélos.

En passant les vélos déposés ils découvrent qu’il manque une lampe à un vélo. Ils écrivent une petite note anonyme: « Il manque une lampe à ton vélo! » et fixent le papier au guidon.

Le lendemain ils passent de nouveau les supports pour vélos au mur du bâtiment scolaire. Ils remarquent que le cycliste a déjà installé une nouvelle lampe à son vélo. C’est vraiment étonnant!

Puis ils contrôlent les autres vélos déposés. Il y a un vélo où le frein ne marche pas. Ils fixent une note anonyme au guidon et demande de réparer le frein. Ils trouvent un autre vélo où il manque les sculptures sur les pneus. Ils écrivent une note anonyme et demandent que les roues doivent être changées. Ils trouvent un vélo sans feu arrière et demande l’installation, etc.

Chaque fois les dommages sont enlevés quelques jours plus tard. Il fait plaisir de voir que tous les vélos font une réparation après ce contrôle!

Évidemment les élèves ne savent pas qui a écrit ces notes. Probablement ils croient qu’un policier a contrôler leur vélos.

Grand-Père

4) Aux toilettes

En 1989 ma famille - ma femme, notre fils de 4 ans, notre fille de 2 ans et moi - a passé les vacances dans la Toscane en Italie.

Un jour nous sommes allés dans l’est de la province pour visiter la ville Siena. Nous avons garé notre voiture sur un parking à la périphérie et sommes allés à pied au centre-ville. Nous avons flâné dans les ruelles de la vieille ville, avons monté la tour de la ville où on a eu une belle vue sur les toits de la ville, sur le paysage dans les alentours, mais aussi sur la place principale de la ville. À la fin nous avons visité la célèbre cathédrale bâti en marbre blanc et noir.

Nous avons entré l’intérieur de la cathédrale et regardé les autels, les vieux tableaux, la chaire, et toute la décoration. Tout à coup notre fils a pris ma main et pleurniché: "Papa! Papa! Je dois faire pipi! C’est très pressant! Viens vite, s’il te plaît!

Pour éviter un accident avec un pantalon mouillé, il et moi avons quitté la cathédrale pendant que ma femme, notre fille sur les bras, a resté dans l’église. Dehors j’ai découvert le panneau que nous a dirigé aux toilettes. C’était une grande salle dans le souterrain de la cathédrale, crûment illuminée par un éclairage au néon. Au fond les cabines de toilettes, au milieu de la salle une table. Une très vieille femme est assise derrière la table, habillée dans des vêtements complètement noirs, son visage ridé sous un foulard noir, une terrine sur la table remplie par beaucoup de pièces de monnaie. Le prix pour utiliser les toilettes était 200 lires. J’ouvrais mon porte-monnaie et prenais une nouvelle pièce de laiton de 200 lires et la jetais dans la terrine. Puis mon fils et moi ont entré dans la cabine. Tout allait bien, le pantalon restait sec.

Après la procédure nous voulions sortir. Quand nous voulions passer la table, la vieille femme appelait: « Bambino! Bambino! » Elle faisait signe de venir chez elle. Mon fils a eu grande peur, car il croyait que la femme était une sorcière méchante. Il se cachait derrière moi. Je prenais sa main et le guidais lentement chez la vieille femme. Elle prenait la nouvelle pièce de 200 lires que j’avais jeté dans sa terrine, et la donnait retour à notre fils. Il était très étonné!

Nous sommes retourné dans la cathédrale. Un peu plus tard nous avons retrouvé ma femme et ma fille parmi beaucoup de touristes. Mon fils a montré la pièce de 200 lires à sa mère et dit: « Maman! La vieille femme m’a donné une pièce d’or! »

Grand-Père

5) Un accueil bienveillant

Notre fille a craint plusieurs fois que les fils du voisin sont toujours très impudents. Ce sont des garçons à l’âge de 5 et 3 ans.

En automne nous avons visité la famille de notre fille. Quand nous sommes arrivés chez elle, nous avons garé notre voiture devant la maison. Nous avons pris la valise, un sac de voyage et une caisse avec quelques bricoles. Quand nous voulions nous approcher de la maison, les deux gamins nous ont déjà accueilli, le garçon cadet avec une tapette dans sa main.

Il a soulevé sa tapette et demandé à moi: « Veux-tu recevoir une baffe? » (« Mågst a Watschn? » - comme on dit en Bavière). Son frère aîné a été effrayé et lui dit qu’il était très impoli de dire cela à nous.

Nous avons passé les deux garçons en souriant et visité la famille de notre fille.

Grand-Père

La prochaine histoire n’a pas grandi dans ma tête: J’ai lu une histoire semblable dans l’internet il y a quelques semaines. Mais je l’ai changé et décoré un peu:

6) L’ivrogne

Philippe est assis dans son fauteuil. Il prend une nouvelle bouteille de bière, cherche son décapsuleur, enlève la capsule et boit quelques gorgées de bière. Il réfléchit comment il veut passer sa journée aujourd’hui. Puis il boit plusieurs gorgées de bière.

Il sonne à la porte. La bouteille dans sa main gauche, il marche en traînant ses pieds dans le couloir et ouvre la porte. C’est son ami Benoît qui veut l’aller chercher. « Bonjour, Benoît! Entre, s’il te plaît! » dit Philippe. Ils entrent dans le salon.

« Je vois: Tu bois déjà au matin! » dit Benoît. « Ce n’est vraiment pas bien, Philippe! » Philippe ne sait pas quoi répondre. Ils s’assoient à la table.

Benoît sourit. "Nous avons discuté plusieurs fois de tes problèmes, Philippe! Aujourd’hui je veux te proposer quelque chose: Tu peux ouvrir un bar dans ton appartement! Évidemment tu seras ton seul hôte. C’est-à-dire: Tu n’a pas besoin de payer une licence pour cela! Tu donnes 120 euros à ta femme. Elle achète une caisse à 12 bouteilles de spiritueux pour toi, par exemple un cognac.

Une caisse de 12 bouteilles sont 420 verres de cognac. Tu achètes un verre de cognac et donnes un euro à ta femme. Douze jours plus tard la caisse est vide. Ta femme a gagné 420 euros de toi. Elle va au commerce de vente au détail de boissons et achète une autre caisse. Elle paye 120 euros. Les 300 euros restants elle apporte à la banque et fait les investir.

Si tu vis encore après 10 années et n’es pas encore mort à cause d’un délire ou d’une cirrhose du foie, si tu as seulement acheté tes boissons à ta femme, elle a économisé 90.000 euros à la banque. Si la banque paye des intérêts de 5 % par an, elle a économisé 116.000 euros pendant ces 10 ans.

Si tu es mort, ta veuve aura encore assez d’argent pour élever vos enfants, pour chercher un autre mari et pour oublier qu’elle a été mariée avec un ivrogne!"

Philippe reste très pensif après cette proposition!

Grand-Père

Ah, c’était le bon temps quand une banque payait 5 % d’intérêts !

7) L’amende

Une femme va à vélo sur la piste cyclable qu’on a installé sur le trottoir ensemble pour les cyclistes et les piétons. Elle arrive à un carrefour. Le feu est rouge. Aucune voiture veut passer le carrefour. Ainsi la femme continue son chemin bien que le feu soit rouge.

Un policier a observé la femme. Il l’arrête et l’explique qu’elle a ignoré le feu rouge. C’est pourquoi elle doit payer une amende de 80 euros et de plus elle reçoit deux points dans le fichier national à Flensbourg où les infractions au code de la route sont enregistré. La femme est en colère! Pourquoi doit-elle payer 80 euros? Pourquoi reçoit-elle deux points à Flensbourg? Elle n’a pas un permis de conduire une voiture. Elle ne peut jamais conduire une voiture. Elle insulte et offense le policier. Ainsi le policier renforce l’amende à 200 euros.

Si la femme apprendra de conduire une voiture plus tard et veut gagner un permis de conduire, elle commencera son voyage avec deux points dans le fichier national à Flensbourg. Cette sanction prendra sa fin après dix ans.

Grand-Père

Il a été très indulgent, ce flic, s’il a été insulté. Insulter un flic en Allemagne peut porter l’amende à 4 chiffres. :vamp:
Entre nous, j’ai souvent l’impression que bien des conducteurs ont gagné leur permis de conduire à la loterie (voir la dernière phrase), ou l’ont trouvé dans une pochette-surprise. :imp:

Merci bien pour ton commentaire, Andergassen!

Grand-Père

8) La coloscopie

La salle d’opération à une université. Sur la table d’opération une femme de 75 ans. Elle est couchée sur son ventre et dort en anesthésie générale. Avant une opération on veut faire une coloscopie pour exclure une tumeur de son intestin.

Le professeur écarte les fesses de la femme et introduit prudemment un tuyau dans l’anus, puis il le pousse lentement vers le haut. Il regarde par le tuyau du coloscope.

« Où est notre étudiant? » demande le professeur.
L’étudiant, un peu timide, garde la distance derrière le professeur. « Je suis là-bas! » répond-il.
« Venez, monsieur, s’il vous plaît! Regardez par le tuyau! Quoi voyez-vous? »
« C’est noir! — Il y a quelque chose noir! » dit l’étudiant.
« C’est vrai! » dit le professeur. « Mais quoi est noir? »
L’étudiant regarde encore une fois par le tuyau.
« L’intestin, peut-être? » répond l’étudiant.
« C’est la muqueuse de l’intestin », dit le professeur. « Quelle couleur avez-vous attendu? »
L’étudiant: « Rouge, peut-être? »
« Non! » dit le professeur. La muqueuse de l’intestin est rose - comme la muqueuse dans la bouche! Si la muqueuse de l’intestin est rouge, il y a une infection ou un saignement. Mais pourquoi la muqueuse de notre patiente est noire?"
L’étudiant ne le sait pas.
Le professeur explique: « La muqueuse de l’intestin est noire, car les cellules de l’intestin sont dégénérées. La femme nous a donné la liste de médicaments qu’elle avale chaque jour. Ce sont des comprimés pour son cœur, contre la hypertension, contre son diabète. Mais elle n’a rien raconté de laxatifs! La dégénération de cellules de l’intestin est un signe d’abus de laxatifs! Probablement la femme prend des laxatifs chaque jour depuis beaucoup d’années! »

Grand-Père

Horrible ! :astonished:

Pourquoi l’a-t-elle caché??? La prise de laxatifs faciliterait-elle un certain type de relation sexuelle??? Chut il y a des enfants qui nous lisent :wink: .

Non! Non! Non!

La situation que j’ai décrit, n’a absolument rien à faire avec des pratiques sexuelles!

Personnes qui se nourrissent avec des alimentaires sans fibres (beaucoup de sucrerie, beaucoup de gras), personnes qui ne boivent pas assez pendant la journée, personnes qui travaillent pendant toute la journée dans une position assise et ne veulent pas faire du sport, personnes qui ont un excédent de poids, elles ont le risque d’obtenir une obstruction dans l’intestin. Si quelqu’un(e) prend un laxatif seulement une fois, il n’y a pas un problème. Mais des personnes qui ne peuvent pas changer ces habitudes, ont le risque d’obtenir une obstruction chronique et ont la tendance d’avaler les laxatifs régulièrement. Ainsi les cellules de la muqueuse de l’intestin perdent sa fonction. Il y a beaucoup de personnes qui sont gênées d’admettre son abus de laxatifs. J’ai vu cela plusieurs fois pendant mon travail!

Aussi la coloscopie n’a rien à faire avec des pratiques sexuelles! C’est une technique de la médecine pour examiner l’intérieur de l’intestin sans radiologie et sans opération. On peut découvrir des tumeurs et des infections par cette technique.

Grand-Père