fenetreeurope.com/php/page.p … u&id=17317
Bon l’article est extrêmement court, mais le site a l’air sérieux, quelqu’un lit Bild et peut confirmer ?
Je ne lis pas Bild mais j’ai en effet lu cette info la semaine dernière. 
Bild, c’est pas le torchon avec une femme nue en page 2 ou 3 ?
La situation économique et sociale actuelle provoque chez les Allemands des réactions assez particulières, notamment à l’ouest qui a contribué et contribue encore économiquement au redressement de l’est. Je ne connais pas l’avis du côté est, mais je pensen que les Allemands de l’ex Allemagne de l’est doivent regretter le « bon vieux temps ».
Alors là… j’en suis beaucoup moins sûr que toi.
C’est pourtant ce qui ressort de ton article… Et qui malheureusement recoupe l’opinion que j’avais exprimée dans un autre sujet, et qui m’avait valu quelques réponses agressives…
On voit bien que malheureusement, pour une bonne partie de la population, l’essentiel n’est pas la liberté, mais d’avoir à manger. 
Vaste sujet de philosophie qui ne cesse de m’interroger.
Pour moi la liberté est plus importante que le confort… mais j’ai toujours été libre de le penser.
La «liberté» ne constitue un but politique important que pour 28% des sondés à l’est et 42% à l’ouest. En outre, une personne sur sept à l’est et une sur douze à l’ouest se dit prête à «vendre» son vote à n’importe quel parti pour 5 000 euros.
Cette phrase m’interroge plus particulièrement et me plonge dans des abîmes d’interrogation.
La démocratie serait t’elle une valeur relative et non pas absolue ?
Mais après tout chacun est libre de penser ce qu’il veut… d’autant plus que ce sondage a été réalisé dans un pays où les gens, justement sont libres de répondre aux sondages (et de mentir).
C’est certain, un sondage est toujours biaisé, mais je crois que les statisticiens le savent et en tiennent compte.
HS : Il est de notoriété publique que les gens mentent quand on leur demande s’ils vont voter pour le FN.
Mais il est difficile, même pour de statisticiens, de quantifier le niveau de ce mensonge même en s’appuyant sur les lois des probabilités.
C’est pour cela que l’on a parfois des surprises (désagréables cela va de soi).
Je n’ai toujours pas eue le temps d’approfondir cette question de la liberté, en particulier dans le cadre de la philosophie allemande.
Je dois relire Friedrich Nietzsche (d’un accès malheureusement difficile) même pour moi.
Je vais toutefois prendre le temps de relire et d’analyser tous les grands textes de la philosophie moderne qui abordent le problème de la liberté et du libre-arbitre * ; ce qui aura pour premier effet d’augmenter mon esprit critique, et donc ma propre liberté.
- Emmanuel Kant (critique de la raison pratique), Schopenhauer (Essaie sur le libre-arbitre), Michel Bakounine (Dieu et l’Etat), Friedrich Nietzsche (généalogie de la morale), Henri Bergson ( Essais sur les données immédiates de la conscience), Wittgenstein ( Leçons sur la liberté de la volonté), Simone Weil ( Réflexions sur les causes de la liberté et de l’oppression sociale), Sartre (L’Etre et le Néant), Herbert Marcuse (Vers la libération) etc…
Bon courage ! 
Je suggère, pour compléter ta liste;
Martine à la plage.
Oui-Oui et la fusée magique.
Tout sur le macramé (Michel Onfray)
Linda de Souza, sa vie, son oeuvre.
Ah non, edwin, le « Bild » est un journal sérieux d’une grande tenue rédactionnelle. C’est d’ailleurs un journal de grand format, pas un tabloïd comme les cochoncetés rosbifs genre « Daily Mail » ou « Sun »!
mouais 
si on veut…
N’importe quoi !!!
Ouais michelmau t’as raison… c’est trop chiant et puis je risque de devenir plus intelligent … mais Oui-Oui et la fusée magique ou Martine à la plage j’ai déjà lu et puis Bakounine ou Nietzsche c’est quand même d’un autre niveau.
Soyons clair : les Allemands de l’est ne connaissent la démocratie occidentale que depuis 1991. Pas étonnant que certains restent formatés à l’ancienne. Déjà que Tatie Gertrud a eu du mal à ne pas saluer les jeunes pionniers avec le bras tendu… la vie est dure.
Autre soyons clair : la RDA, aussi criticable soit-elle, était un état sur mesure pour la beauferie décervelée classique, laquelle vit aussi très bien en Skandinavie, sur la Côte d’Azur ou en Suisse allemande. La forme étatique n’a aucune importance, il s’agit d’un style de vie stéréotypé qui convient à bien des gens. La RDA était une dictature pour ceux qui ne suivaient pas le chemin tout tracé, la cruauté certaine du système ne concernait que ces esprits libres. Les autres n’y voyaient que du feu. Et ils étaient réellement pépères.
Dernier soyons clair : la RDA était un état largement corrompu. Surtout vers la fin, où une sorte de classe moyenne d’aparatchik vivaient très bien sans mettre en pratique le real existierender Sozialismus. Du coup, les petits arrangements entre amis ou entre ennemis relativisaient vraiment la souffrance du consomateur est-allemand. Le marché noir avait pris des proportions telles que mes connaissances Ossies rient de bon coeur quand on leur parle de pénuries. Il fallait être malin et prudent. C’est tout, mais c’est déjà beaucoup.
Conclusion : Toute démocratie a son lot de beaufs décervelés. L’histoire se charge de leur trouver une forme d’expression socio-politique. En Suisse, ils votent Blocher. Eux aussi aimeraient revoir le mur imaginaire qui entourait la Suisse avant Schengen et dénoncer leur voisin pour barbecue ou parcage de voiture non conforme comme n’importe quel Est-Allemand de la « grande » époque…
pour vraiment voir la vie de " l’intérieur" avant la chute du mur, je vous conseille de voir ce petit Musée à côte de Bad Rodach, et d’arpenter les rue de Staufhain, village juste après la Frontière, côte RDA avant la chute du mur,
les habitants font dèsfois des vides greniers , où l’on voit des vestiges
enfin presque , le premier village ex-RDA , puisque les Russes on fait explosé le village le plus proche de l" ex Frontière
ici à Staufhain :
zweilaendermuseum.de/_inhalt … willkommen
faite aussi un tour à Hildeburghausen, avec un joli Musée