le noir est la couleur du deuil, l´ordre teutonique au moyen âge porter une tunique blanche croix chrétienne noir, les templiers tunique blanche croix rouge,les hospitaliers tunique rouge croix blanche.
L´Alsace n´avait aucun choix á faire , en 1916 lors de discussion de paix (échouer)la France affiche une seule revendication , le retour de l´Alsace lorraine, .
L´Alsace - lorraine redevient française le 11-11-1918, puisque c´est un des points discuter dans l´armistice , l´armée allemande devais évacuer le reichsland.
Entre le 11-11-1918, et le 22-11-1918, il y a eu une république rouge , avec des soviets dans les villes , non élus,tous ça a était balayer par l´arrivée de l´armée française , d´ailleurs avant de se dissoudre (22-11-1918)le conseil nationale alsacien"" reconnais ,le retour vers la France de l´Alsace comme définitif et indiscutable."
L’une des explications, très répandue affirme que cette couleur a été attribuée par les alliés au lendemain de la Première Guerre Mondiale afin de distinguer leurs tombes blanches et immaculées de celles des vaincus jugés responsables de la barbarie sans nom qui vient de s’achever.
Certains pensent même que cette décision est inscrite dans le Traité de Versailles, mais si un chapitre est bien consacré aux sépultures dans ce texte il n’est toutefois fait aucune mention de ce détail colorimétrique.
Je confirme. Je viens de relire le Traité de Versailles et toutes ces annexes et il n’est mention d’aucune couleur particulière mais cette explication semble plausible.
Mais vous pouvez vous faire une opinion par vous-même ici.
effectivement, la question ne se posait pas.
à Paris, dès 1915, il y a eu des commissions pour étudier comment réintégrer les provinces perdues.
les « services d’Alsce-Lorraine » datent de 1917 sous l’autorité du ministre de la guerre.
avant même la signature de l’armistice, en septembre 1918, ces services sont dispatchés vers les instances civiles : ministère de l’intérieur,…
avant même que l’Alsace ne soit libérée, des comissaires de la République sont nommés pour Strasbourg, Metz et Colmar.
et le traité de Versailles n’entérine la situation de l’Alsace-Moselle qu’en juin 1919 !!!
en janvier 1919, l’université rouvre certaines sections pour éviter que les étudiants ne désertent Strasbourg, mais l’université ne sera inaugurée que le 22 novembre 1919. encore fallait-il avoir un bon niveau en français (mais de toutes façons les allemands de souche étaient déclarés indésirables et dans les milieux alsaciens qui envoyaient leurs enfants à l’université, le français avait continué d’être utilisé de 1871 à 1914).
en définitive ce seront les habitants qui seront le plus tardivement réintégrés. Les actes de réintégration de nationalité ne datent que de 1920 !!! Si vous avez encore les papiers de vos ancêtres, vérifiez les livrets de famille et autres papiers officiels.
donc le 11 novembre passé, on n’a plus de droit de parler de ces trucs ???
ah ben oui, c’est l’histoire, c’est du passé. tiens d’ailleurs on parle de supprimer les cours d’histoire dans les terminales scientifiques, cela tombe bien !!!
ben non, il n’y a pas de moments imposés pour réfléchir aux choses du passé et comment elles influent sur le monde d’aujourd’hui.
alors que l’on débat sur l’euro, sur l’avenir de l’Europe et tout cela.
l’Europe séparée en 2 dans une nouvelle guerre … économique.
Je n’ai jamais dit ça. Et je suis tout à fait contre la suppression de l’enseignement de l’histoire dans les terminales scientifiques (comme par hasard). J’ai assisté impuissant, à des années et des années de formation d’excellents scientifiques totalement incultes, alors s’il te plait, arrête de donner des leçons !Ca devient vraiment fatigant.
mais pourquoi t’énerver sur tout ce que je dis ?
je veux juste parler d’un point d’histoire qui me parait interessant et toi « on arrête, le 11 novembre c’est fini ».
excuse-moi, mais je trouve cela limite.
en plus, on est d’accord sur un point : alleluia !
Relis mon message attentivement, stp!
J’ai simplement dit que le 11 nov était passé, ce qui est une réalité; c’est toi qui extrapoles ma pensée. Bien sûr qu’on peut parler du 11 nov toute l’année.
Pour moi qui est né après la guerre des emotions mixtes.
A mon avis peut-être une coutume ou une tradition qui n’est plus dans les coeurs.
En Allemagne le 21 novembre le jor de deuil national dans une petite ville:
Les pompiers, le maire et quelques officiels et l’orchestre devant le monument aux morts.
Peut-être il y a une dixaine des spectateurs.
A Fürstenfeldbruck Samedi le 20 novembre (école aérienne) : Tous les generaux de l’armée de l’air se sont rassamblés parce qu’on a toujours au jour du deuil national aussi le rassamblement d’état major.
Les jeunes soldats (auprès de deux milles) font une prise d’armes, l’orchestre jue , il n y pas aucun discours, seulement un poème, lu par un jeune soldat.
Déposer les gerbes et puis le bon camarade et l’hymne national.
La cérémonie est ouvert au public.
Spectateurs peut-être une dixaine.
Après la prise d’armes comme en fuite les jeunes soldats changent ls uniformes et quittent pour le week-end.
En 10 minutes la caserne est vide.
Au casino on trouve deux tables avec les géneraux et peut-être deux tables pour les visiteurs.
Pour les jeunes il me semble qu’ils regrettent que le week-end est abimé.
En général c’est parel partout et je me rapelle que j’ai pris part à une céremonie pareille à Mulhouse un Samedi soir.
Des anciens avec leur vestes bleues et avec leurs médailles, deux ou trois musiciens et le public était représanté par deux ou trois membres de la ville de Mulhouse.
Spactateurs - la plupart des proches des vestes bleues.
Autour la cérémonie quelques gens qui faisaient les courses et qui n’ont pas montré beaucoup d’intèrêt.
A mon avis ces temps sont passés et pour la génération vivante c’est rien que d’histoire.
La 2ième guerre est terminé trop longtemps.
Pour les jeunes c’est rien que historique.
Chez nous il me semble rien comme une corvée.
Finalement, c’est en Pologne que le 11 novembre bat son plein. En effet, c’est la fête nationale (l’armistice marquait pratiquement la résurrection de l’Etat polonais disparu pendant 140 ans), avec beaucoup de tam-tam militaire et surtout paramilitaire (comme vu à Szczecin il y a quelques années, alors que le 11 novembre tombait un dimanche, et le samedi 10, exercices de tir de civils en tenue paramilitaire sur d’anciens terrains de manoeuvres), les jeunes vendent des colifichets aux couleurs nationales, ça rappelle la vente du « bleuet de France ». Et ça n’a rien à envier aux festivités de l’armistice du 4 novembre au Sud-Tyrol, qui est la fête des forces armées « nationales » (armée, gendarmerie, douanes), avec dépôt de gerbe au « monument de la victoire », gigantesque pâtisserie fasciste. On peut en penser ce qu’on veut…
Sempre la stessa cosa.
On en peut penser comme on veut.
A mon avis le nationalisme dans un monde globalisé n’est au courrant.
Comme on peut voir gtous les jours il y a assez de plus gros problèmes qui ne touchent plus un seul pays mais un continent.
Quand-même quand j’étais en France (très souvent en uniforme) j’étais extrèmement bien acceulli par les vétérans Francais.
J’avais toujours le sentiment d’être entre très bon amis.
Il me semble que pour la plupart des anciens c’est aussi la nostalgie et tous étaient très hereux qu’il me pouvaient raconter leurs histoires.
Je n’ai jamais trouvé la moindre animosité.
Le nationalisme ou le chauvinisme me semble comme une forme de faiblaisse.
Je suis hereux que ca n’existe plus chez nous.
Les uns ne sont pas mieux que les autres.
Nous parlons seulement des langues différentes et ca c’est tout.
J’imagine que les Tiroliens doivent se joindre avec joie et patriotisme à cette « fête » de l’armistice
Concernant les célébrations d’armistices de nos 2 guerres mondiales, je suis aussi d’avis que le grand public présent diminue année après année…notamment pour le 11 novembre, on profite du jour férié mais de plus en plus de gens ne connaissent que « vaguement » la raison de ce jour férié…la 1ere GM paraît déjà « loin » pour les jeunes générations…en même temps, on ne célèbre plus non plus nos morts de 1870, ou nos victoires et morts des guerres napoléoniennes…
La tendance irait vers une seule journée de commémoration pour les 2 GM (les discours officiels en témoignaient)…
Ou alors, dans cet ordre d’idées, une commémoration commune de la réconciliation franco-allemande à la place du 11 novembre et du 8 mai! (Reims, 8 juillet 1962; l’ennui, c’est que c’est à peine une semaine avant le 14 juillet). Ou alors la journée de l’Europe (signature du traité de Rome, 25 mars 1957).