France Musique toujours avec Grands compositeurs de 13h à 14h30 qui propose Schumann a 200 ans du 7 au 11 juin :
Cinq parcours en musique autour d’un compositeur hanté par la voix, le rapport mot-musique, la voix intime, intérieure, portée par le piano. Tout en écoutant les quatre symphonies de celui que l’on cessera peut-être un jour de présenter comme un compositeur « ne sachant pas orchestrer »…
1/ « Le poète parle »
2/ « 1810, le printemps »
3/ « A nous deux »
4/ « Le verbe et la musique » (Dietrich Fischer-Dieskau)
5/ « Voix contre voix »
Ce soir sur France Inter sites.radiofrance.fr/franceinter/accueil/
Dans le cadre de la journée spéciale résistance :
à 22h05
L’ESPRIT DE RESISTANCE
Philippe BERTRAND
« L’Allemagne de la seconde guerre mondiale, du côté des gentils »
avec : - Daniel CORDIER, , ancien des Forces Françaises Libres qui fut secrétaire de Jean Moulin avec : , - Dominique DARBOIS, photographe engagée dans les Forces Françaises Libres avec : , Et les témoignages de Franz-Joseph MUELLER, , fondateur de la Rose blanche avec : , et de Freya VON MOLKTE, écrivain et résistante avec : , - Jürg ALTWEGG, du « Frankfurter Allgemeine Zeitung »
En coproduction avec la radio allemande partenaire de Berlin
L’Allemagne de la seconde guerre mondiale, du côté des gentils (résistants allemands au nazisme)
France Culture rediffuse son Epopée de la France libre à partir de demain. Une assez bonne série, en tout cas dans mon souvenir :
1er volet : La défaite et l’appel
21.06.2010 - 20:00
Sans moyens, sans légalité, exilés, quelques français vont accomplir à partir du 18 juin 1940, sans vraiment s’en rendre compte au début, une véritable épopée qui deviendra une page de notre Histoire où se mêlent les grandeurs, l’héroïsme, l’extravagance et parfois le dérisoire. C’est cette aventure incongrue que ces émissions racontent en l’abordant selon les différents angles : militaire, politique, diplomatique et, surtout, humain. L’originalité de cette série est de s’appuyer sur le témoignage original des principaux acteurs ainsi que de faire entendre des archives sonores de l’époque. L’Histoire n’est donc pas repensée par des historiens, elle est revécue avec ceux qui l’ont faite. Cette série d’émissions, diffusée il y a 8 ans, est d’autant plus précieuse que plusieurs témoins enregistrés alors sont aujourd’hui disparus.
Avant Vichy : le front populaire, la débâcle, les responsables de la défaite.
Vichy, juillet 1940, les lieux de pouvoir ou comment s’acheva la IIIe République.
Un coup d’Etat ? Les journées de Vichy 5-12 juillet 1940.
Après Vichy : l’épuration des responsables du « coup d’Etat » et des parlementaires de juillet 1940.
Avec un peu d’avance : le 11 octobre de 13h30 à 14h sur France Inter, 2000 ans d’histoire sera consacré à :
L’Alsace-Lorraine à l’heure allemande 1870-1918 sites.radiofrance.fr/franceinter … dhistoire/
Pour fêter le Jour de l’Unité demain, France Musique diffusera la première de deux émissions consacrées à la musique sacrée en Allemagne au XXème siècle :
L’émission Transeuropéenne de dimanche dernier sur France Inter était consacrée à Munich :
Munich au delà du Bayern
Oui, Munich n’est seulement la ville de cette célèbre équipe de football. La capitale de la Bavière, « la plus italienne des villes d’Allemagne… » dit-on, se positionne en un carrefour européen incontournable.
L’Allemagne revient une fois encore dans Transeuropéenne, sur France Inter le 31 octobre :
20 ans d’unité allemande
Transeuropéenne propose une émission spéciale sur l’unité allemande en présence de l’Ambassadeur d’Allemagne en France, et des témoins allemands d’horizons divers et variés…
Ce soir de 21h à 21h50 sur France Inter, Partir avec Stéphanie Duncan sera consacré au thème :
1933- 1939. Voyage d’écrivains étrangers dans le IIIème Reich. sites.radiofrance.fr/franceinter … ie-duncan/
J’ai entendu la pub, ça promet d’être intéressant !
En quelques générations à peine, aux XVIIIe et XIXe siècles, l’une des communautés les plus marginalisées du monde germanique est devenue le fer de lance de la modernité. Colporteurs ou marchands de bétail, les Juifs allemands ont vu émerger parmi eux artistes, scientifiques, philosophes, journalistes et activistes talentueux. Dans ce livre magistral qui fait la part belle à l’aventure individuelle et au portrait, Amos Elon explore ce moment essentiel de l’histoire européenne. À travers les destins de Heinrich Heine, Karl Marx, Henriette Herz, Rahel Varnhagen, Arnold Schoenberg, Albert Einstein, Stefan Zweig, Hannah Arendt et bien d’autres, il évoque avec une érudition très vivante le mariage des identités et la perte des anciens repères religieux en prenant comme point de départ l’entrée en 1743 du jeune Moses Mendelssohn dans Berlin par une porte réservée aux Juifs et aux animaux. Vouloir être juif et allemand n’était pas incompatible. Beaucoup y parviendront en opérant une sorte de synthèse de ces deux patrimoines à tel point que la culture et la langue allemande ont pu passer pour la nouvelle patrie de ces apatrides héréditaires.
Robert Walser, écrivain Suisse d’expression allemande, reconnu de son vivant par les plus grands - Franz Kafka, Robert Musil, Walter Benjamin - est un de ces « artistes de la langue » tels que les définira André Breton. Il se voue à incarner une sorte de poète moderne : « C’est pour moi une sorte d’écrivain pointilliste. Comme un kaléidoscope. Son univers est tout entier contenu dans chaque point. Cette fragmentation fait qu’il est à mes yeux l’un des écrivains majeurs du XXe siècle, du moins pour la littérature allemande. » Philippe Lacadée fait le choix ici de ne pas tenter une biographie classique de cet homme si secret, si à l’écart du monde et des autres, mais de la déduire de ses écrits. Ce sont les héros de Walser qui le présentent au monde.
C’est une rediff, mais pour moi inédit :
ce soir sur France Inter, dans Nous autres à 20h :
Reportage à Eisenhüttenstadt, ville fantôme de l’ex-Allemagne de l’Est. sites.radiofrance.fr/franceinter/em/nousautres/
Bon je me suis trompée en fait, hier soir c’était la deuxième partie.
Du coup je n’ai écouté que la première partie encore.
Andergassen, je ne sais trop quoi te dire… C’est tout de même vrai que la RDA est assez sinistrée, surtout dans les petites villes ? Après, ils ont pris celle-ci en particulier parce que (à ce qu’ils disent) c’était une ville modèle de la RDA, donc avec des conditions de vie meilleures que la moyenne, d’où une chute encore plus dure…