Justement, ils ne sont pas si différents. Ils participent du même mouvement de reconquête du terrain politique et moral public. Wojtila était obsédé par la lutte contre l’athéisme des pays de l’est. Ce n’est pas le communisme et sa rigidité éthico-légale qui le dérangeait, mais juste que la religion en était absent. On a bien vu ce que Walesa et complices ont fait de cette pauvre Pologne qui n’en demandait pas tant : une main mise sur les conscience pas vraiment plus faible que sous le communisme, chasse aux sorcières comprises. C’est dans cette Pologne soit-disant démocratique que les attaques racistes, antigays, antiavortement, antiallemandes, antifemmeslibérées etc. ont lieu en toute impunité.
L’ambition d’exporter le modèle est intacte. Il est plus facile d’aller soulever les foules aux Philippines pour comdamner l’avortement, couper les ailes sociales des femmes et maintenir la haine meutrière contre les homosexuels intacte. Forcément, ca marche moins bien dans les pays européens aux sociétés post-modernes issues des changement profonds des années 60-80 qui ont éloigné d’autant les textes de loi de la néoinquisition de Ratzinger&co. Wojtila ne faisait que le show, donc forcément, il a l’air plus sympathique. Mais même dans les milieux cathos en France et en Allemagne qui j’ai pu voir de plus ou moins près, les gens font leur marché idéologique et ils laissent bien des choses de côté de l’idéologie officielle. Mais le projet politico-socio-religieux reste. Et Ratzinger fait maintenant le show autant que le Drecksarbeit, le sale boulot en coulisses vu qu’il n’a plus le télégénique Wojtila pour son markéting.
Quitte à choquer, je préfère une messe en latin dans une église qu’une bible en français brandie par Boutin en pleine assemblée nationale.
Quand le Vatican aura les c… de faire ce que l’évèque norvégienne Rosemarie Köhn a fait, on pourra reparler de politique avec eux… mais il faudra enterrer Ratzinger d’abord. Et nous ne seront plus là non plus si jamais cela arrivait un jour.
Qu´est ce qu´elle a fait, des enfants normalement il y a pas de femmes évêque chez les catholique.Mais chez les protestant si,Et c´est même une obligation d´avoir des enfants , le divorce est aussi admit , même si certains protestants sont contre.
Rosemarie Köhn étant germano-norvégienne, de père allemand, je ne vous fais pas l’injure de sous-estimer votre culture générale, sinon vous allez encore dire que je suis arrogant.
Ce n’est pas si facile que ça, l’excommunication. J’en ai fait la demande auprès de l’évéché de l’adresse de mon enfance. Refusée. Parce que c’est une sanction, m’a-t-on dit, cela ne se demande pas, c’est eux qui punissent. Pourtant, j’en ai assez fait pour être puni de tous les enfers, vraiment.
Dommage.
Lors de ma confirmation, quand le curé pose aux confirmants les questions du genre « croyez-vous en Dieu créateur du monde et à J. Christ son fils unique? », j’ai systématiquement répondu « non », même parmin les autres confirmants, le curé l’a bien entendu, mais m’a quand même confirmé, sans autres discours qu’un regard de travers…et pourtant j’espérais qu’il me virerait de l’Eglise catholique…
Bref tout ca pour dire que les cathos, quand ils t’ont, ils ne te lâchent plus!
C’est bizarre, « vous » commencez super tôt avec les ventes de produits made in Benny à Freiburg, parce qu’à Erfurt, où il va également venir, pas de « folie » en vue.
D’ailleurs c’est pas très clair si je serai là où pas quand il viendra, si j’y suis encore, vous aurez peut être le droit à un compte rendu. Michelmau en trépigne d’impatience
La Salle de presse du Saint-Siège a publié mercredi 20 juillet le programme du voyage que Benoît XVI effectuera en Allemagne du 22 au 25 septembre. Il y visitera Berlin, Erfurt, Etzelsbach et Fribourg-en-Brisgau. Comme il est d’usage pour ce type de voyage, ce séjour comportera un aspect politique, avec une visite, le 22 septembre, au président de la République fédérale d’Allemagne et à la chancelière. Le même jour, le pape allemand s’adressera directement au Parlement fédéral, avec un discours particulièrement attendu. la-croix.com/Religion/S-info … -21-691487
Pour les commerçants de Freiburg, la visite du pape sera un manque à gagner.Il pourrait donc y avoir une première sur cette terre de tradition catholique; le dimanche suivant la visite pontificale pourrait ,en effet, être « verkaufsoffen », c’est à dire que les commerces pourraient être ouverts ce jour-là.
Bien entendu, l’église n’est pas favorable à cette initiative .La décision définitive reviendra en dernier lieu à la municipalité.
Il y a pas de manque à gagner pour les commerçants, les achats se serons avant ou après la visite, il y a pas lieu d´ouvrir le dimanche . c´est encore un prétexte pour défoncer un peu plus le droit du travail .On verras si la municipalité est de droite ou de gauche.