Die Mutter hat bei ihrem Einkauf vergessen, Tampons zu besorgen und schickt daher ihren kleinen Sohn Max in die Apotheke, sagt ihm aber zuvor, er solle in der Apotheke das, was er für sie holen müsse, anständig anfordern und nicht irgendwelche blöden Sprüche machen.
Keine zehn Minuten später ruft sie der Apotheker an und erzählt der Mutter, dass ihr Sohn Max bei ihm in der Apotheke sei, er aber beim besten Willen nicht wisse, was der Kleine genau wolle.
« Wieso, was hat er denn gesagt? », fragt die Mutter.
« Er hat gesagt, er brauche Dämmwolle für Vaters Hobbyraum! »
Pour ce qui est du schwyzertütsch, j’avoue n’avoir rien compris avant « si ça recommence vous prenez tous la porte ». Mais bon, comprendre la fin suffit largement !
Dr Dracula fohrt mit dem Auto - schneidet an klan Bubn mit dem Radl den Weg ob - den schmeissts - dr Dracula springt ausn Auto aussa, saugt ihm des Bluat aus und foahrt weiter…
Kurz drauf hot er a Polizeikontrolle und werd gfrogt: « Nor Herr Dracula wos hobn ma den trunkn? »
Draufhin sogt da Dracula:
« Lei an klan Radler. »
Et moi une vieille que mon mari m’a reracontée ce matin.
C’est un président qui vient d’être élu. Lors de la passation de pouvoirs, le président sortant lui dit : je t’ai laissé trois enveloppes. C’est pour les jours difficiles. Si les choses vont mal, ouvre une enveloppe.
Le président commence sont mandat et quand les premiers ennuis arrivent, ne sachant quoi faire, il ouvre la première enveloppe. Il y lit :
« Dis leur que tout est de ma faute »
C’est ce qu’il fait. Plus tard, à nouveau des problèmes dans le pays. Il ouvre la deuxième enveloppe :
« Commence les réformes »
Ce qu’il fait. Mais ça ne va toujours pas. Alors il ouvre la troisième enveloppe, où il lit :
« Prépare trois enveloppes »
La signature d’Elie me fait penser à une variante culinaire:
Ein Mann ruft seinen Freund an: « Ich lade dich zum Essen ein, ich habe gerade einen Hasen im Rohr! »
Sagt der Freund: Geht leider nicht, ich habe gerade das Rohr im Hasen!"
(Oui, je sais, je sais, mais que voulez-vous, j’aime la bouffe… )
Der gute alte Schilling ist gestorben.
Alle Münzen und die Scheine versammeln sich vor dem Himmelstor und begehren Einlass.
« Was wollt ihr hier? », fragt Petrus.
« Durch die Einführung des Euro sind wir gestorben », sagen die Münzen und Scheine, « deshalb möchten wir in den Himmel. »
Petrus öffnet daraufhin das Himmelstor und die Groschen und Schillingmünzen ziehen in den Himmel ein. Auch der 20-Schillingschein gelangt noch durch die Himmelspforte.
Doch plötzlich schließt Petrus das Tor.
Der 50-Schillingschein, der Hunderter, der Fünfhunderter, der Tausender und der Fünftausender protestieren lauthals:
« Warum durften die anderen hinein, wir aber nicht?? »
Darauf erwidert Petrus: « Tut mir leid, aber euch habe ich in der Kirche nie gesehen! »
@oschpele : j’espère que tu ne t’offusqueras pas si je la traduis en Français pour que tout le monde puisse en profiter
Le bon vieux schilling vient de rendre l’âme.
Toutes les pièces et tous les billets se retrouvent devant la porte du paradis et demandent à entrer.
« Qu’est-ce que vous voulez? », demande Saint Pierre.
« A cause de l’introduction de l’euro, nous avons rendu l’âme », disent les pièces et les billets, « c’est pourquoi nous voulons aller au ciel. »
Saint Pierre ouvre donc les portes du paradis et laisse entrer les pièces de groschen (subdivision du schilling) et de schilling.Même le billet de 20 schilling parvient à passer la porte.
Mais , tout à coup, Saint Pierre ferme la porte.
Le billet de 50 schilling, celui de 100, celui de 1000 et celui de 5000 protestent à grands cris.
« Pourquoi les autres ont-ils eu le droit d’entrer et pas nous? »
Réponse de Saint Pierre:« Désolé, mais vous, je ne vous ai pas vu souvent à l’église! »
Cette traduction est excellente! J’avoue y avoir passé outre, vu que je n’y voyais pas de difficultés majeures de compréhension (pas de jeux de mots impossibles à traduire, cette fois!). Il est vrai que je vois les choses de la perspective germanophone, et que j’ai du mal à réintégrer mon costume de « potache franzouse »! Je fais donc mon mea culpa pour avoir joué les négriers forçant les autres à travailler, mais l’exploitation rationnelle des retraités est d’une tête bien faite! (et cela entre tout à fait dans le cadre de ma signature )
Une histoire qu’on attribue souvent au « Graf Bobby », un personnage récurrent de l’humour viennois.On pourrait dire que cette histoire met en scène le comte Bobby vieillissant.
Antlitz und Gesäss
Ein Ehepaar feiert ganz gross seinen 35. Hochzeitstag. Fragt einer der Gaeste die Ehefrau:" wie haelts man eigentlich so lange miteinander aus?"
« Tja wir verstehen uns blind. Wir haben zum Beispiel immer die Handtuecher gemeinsam benutzt. Auf dem einen steht ein A fuer ANTLITZ und auf dem andern ein G fuer GESAESS. »
« Wie », mischt sich der Ehemann ein. « Ich dachte immer, es hiesse ARSCH und GESICHT. »
Un couple fête en grandes pompes ses 35 ans de vie commune.Un des invités demande à la femme: « Comment fait-on pour rester ensemble aussi longtemps? »
"Eh bien, on s’entend à merveille.On a toujours utilisé les mêmes serviettes de toilette.Sur l’une il y a un A pour Antlitz et sur l’autre un G pour Gesäß
"Quoi, dit le mari?J’ai toujours pensé que A voulait dire Arsch et que G voulait dire Gesicht!
Une explication est nécessaire;
Ici, il est fait appel à 2 voir 3 niveaux de langage;
[b]Arsch/b—Gesicht(langage normal;visage)
et…Antlitz(relevé pour visage) et Gesäß(relevé pour postérieur)!
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur Graf Bobby (en Allemand):
t’inquiètes Orschpele !! ce n’est pas grave… mais pour moi, si je dois effectivement rechercher tous les mots que je ne comprends pas pour arriver à piger la blaguer… il me faut 1/4 d’heure… Je ne l’ai pas tout le temps (surtout quand je vous lis depuis le bureau !! )…
un exemple ?? dans cette phrase toute bête : Alle Münzen und die Scheine versammeln sich vor dem Himmelstor und begehren Einlass.
Je ne connaissais pas la traduction des mots en gras… tu vois…
J’ai entendu ça, ce matin, en prenant ma douche.C’était sur France Culture.Le journaliste a d’ailleurs dit: « Non, non, vous ne vous trompez pas, vous êtes bien sur France Culture! » Il s’agit de la bande annonce du film « les Valseuses » de Bertrand Blier, dite par l’irremplaçable Claude Piéplu.Le film n’est pourtant pas tout jeune (1975), mais la bande annonce est un petit morceau d’anthologie que j’entendais pour la première fois.De quoi vous mettre de bonne humeur pour la journée!