Blague

J’adore !!! :laughing: … et la voix irremplaçable de Claude Piéplu donne un charme tout particulier à cette leçon de vocabulaire…

merci d’avoir enrichi mon vocabulaire !!:lol:

J’aurais peut-être du placer ce post à la rubrique :vocabulaire (?)
:wink:

… oui, s’il s’était agi d’expressions allemandes! :mrgreen:

Et pour en revenir aux blagues allemandes, ou plutôt, autrichiennes:

Zwei Steirer versuchen sich als Geldfälscher. Die ganze Nacht hindurch drucken sie die Banknoten. In der Früh kommen die beiden drauf, dass alle Banknoten unbrauchbar - da diese lauter 150er Scheine - sind. Da haben sie eine Idee und gehen damit ins Burgenland, weil sie meinen, dass die Burgenländer sowieso nicht draufkommen, dass sie Falschgeld untergejubelt bekommen.
So sagt dann der Steirer-Franzl zum Steirer-Pauli: « Hörst, du musst das so machen! Zuerst gehst in ein Geschäft und kaufst dir Lutscher um einen Euro! Dann musst du auf 150 Euro 149 Euros zurückbekommen! » Sagt der Steirer-Pauli dazu: « Suppa Idee! » und marschiert los in die nächste burgenländische Ortschaft in das Geschäft.
Kommt er dann zurück und sagt: « Suppa is das gongan! Hob´ i mein Lutscha mit an Hundatfuffzga zoit, und hob daun zwa Siebzga und oan Neina hintakriagt…! »

Avec une pensée particulière pour Kissou, qui semble fâchée avec l’argent liquide (voir réaction à la blague précédente).
:wink: Donc, traduction:

Deux Styriens s’essaient à la fausse monnaie. Ils passent la nuit à imprimer des billets. Au matin, ils s’aperçoivent que tous les billets sont inutilisables, car ils portent tous la valeur de 150 €. Ils ont l’idée d’aller au Burgenland, pensant que les gens là-bas ne s’apercevront jamais qu’on leur refile de la fausse monnaie.
Franz dit à Paul: « Voilà comment il faut faire! Tu vas aller dans une épicerie acheter des sucettes pour 1 euro. On te rendra 149 € pour 150! » Paul répond: « Super, l’idée! » et, arrivés dans la première localité burgenlandaise, il entre à l’épicerie.
Il revient et dit « Ca a marché du tonnerre! J’ai payé ma sucette avec un billet de 150 €, et on m’a rendu deux billets de 70 et un de 9! »

Germanophones, au travail!
:laughing:

:stuck_out_tongue: :stuck_out_tongue:
Je ne suis pas fâchée avec l’argent liquide… C’est juste que, quand je vais en allemagne… mes amis me payent tout !!! (ce qui d’ailleurs me gêne énormément !)… Donc… je n’utilise que très peu de liquide… et en plus, je ne dis pas « je paies avec un billet de 10 € »… je tends juste mon billet ! :stuck_out_tongue:

Merci pour la traduction de l’autre blague… j’avoue que… sur le coup… je l’avais pas compris… Je dois avoir besoin de vacances moi !! :laughing:

En ces temps où beaucoup d’Européens empruntent les autoroutes pour se rendre en vacances:

Rencontre coopérative entre un chef d’etat africain et son homologue asiatique.
La première partie du projet se déroule en Asie. le chef d’etat africain est reçu dans le somptueux palais du president asiatique:
_Eh bien, dis donc, toi tu as les moyens ici! C’est sur le dos des impots que tu t’offres ce luxe???
_Pas seulement, honorable ami… Regarde par la fenêtre; tu vois cette autoroute? elle m’a été subventionnée par les Européens à 3 milliards d’euros.
_Et alors?
_Eh bien, vois- tu honorable invité, elle ne m’a pas coûté plus d’un milliard!
_Et le reste…???
Le president asiatique se retourne et tape sa poche pour expliquer qu’il en a fait son usage personnel.

Seconde partie du projet coopératif: cette fois c’est au tour du président asiatique d’etre reçu chez son ami africain un an plus tard. L’asiatique decouvre que le président africain est plutot bien loti dans un aussi beau palais que le sien;
_Eh bien, honorable ami, pour un continent qui croule sous les dettes, tu ne te prives pas non plus…
_En fait j’ai suivi ton conseil…va voir par la fenêtre, l’autoroute que je me suis fait subventionner!
lL 'asiatique penche sa tête par la fenêtre et demande aussitôt a son ami africain:
_Mais…mais il n’y a aucune autoroute!!!
et l’autre lui répond en se tapant la poche:
_Tu as tout compris!
:wink:

Questions intraduisibles (jeux de mots!):

[i]- Ob sich wohl der Schlitten vom Weihnachtsmann rentiert?

  • Wenn die Stiftung Warentest Vibratoren testet, ist dann ‹ befriedigend ›
    besser als ‹ gut ›?

  • Wie soll sich der Bauer verhalten, wenn seine Frau sagt: ‹ Sieh zu, dass
    du Land gewinnst!! ›

  • Beantwortet die große Kerze die Frage der kleinen Kerze, ob Durchzug
    gefährlich sei, mit den Worten: ‹ Davon kannst du ausgehen? ›

  • Ist ein freier Platz zwischen zwei Ständen auf dem Weihnachtsmarkt
    eigentlich eine Marktlücke?

  • Lohnt es sich für Eintagsfliegen, morgens ein Tagebuch anzufangen?

  • Wenn ein Schäfer seine Schafe verhaut, ist er dann ein Mähdrescher?

  • Warum ist einsilbig dreisilbig?

  • Warum gibt es kein anderes Wort für Synonym?

  • Was passiert, wenn man sich zweimal halbtot gelacht hat?

  • Wenn man einen Schlumpf würgt, in welcher Farbe läuft er dann an?

  • Wer hatte bloß die Idee, ein S in das Wort « lispeln » zu stecken?

  • Was ist besser: Drei Vierkornbrötchen oder vier Dreikornbrötchen?

  • Macht man den Meeresspiegel kaputt, wenn man in See sticht?

-Was machen die Fahrer von Automatikwagen in einem Schaltjahr?

  • Können sich Eltern, die sich mit ihrer Tochter verkracht haben,
    überhaupt irgendwann mit ihr aussöhnen?

  • Dürfen Zwerge auf dem Riesenrad mitfahren?

  • Heißen Teigwaren Teigwaren, weil sie vorher Teig waren?

  • Kann man sich den Arztbesuch sparen, wenn man schon in der
    Telefonzentrale verbunden wird?

  • Darf man in einem Weinkeller auch mal lachen?

  • Macht vier plus vier sieben wenn man nicht acht gibt?

  • Wo kriegt man die Getränke, die im Wald die Tannen zapfen?
    [/i]

J’adore celle-là :smiley:

On pourrait aussi se poser la question: Warum gibts bei schwerer See kein schweres Wasser?

Là, on fait référence à un film de Jean Dréville, « La bataille de l’eau lourde »! « Schwere See », cela me rappelle les jeux de mots de Raymond Devos avec la mer démontée (« Et vous la remontez quand, la mer? ») :wink:

Les gens sont méchants, et les « scorpions » encore plus…
Ce week-end en randonnée. Je passe ma main sur l’écorce d’un conifère fraîchement abattu. Je hume la résine qui empoisse mes doigts avec une expression béate: "Hmmmm… Harz IV!"
Suave mari magno… :unamused:

Oui, je sais, ce n’est pas le moment, mais je ne résiste pas au désir de publier cette photo qui pose quelques problèmes: :smiley:


:wink:

Ils sont soit-disant, comme ils l’affirment, ouverts pour Pâques, mais fermés le vendredi saint, le samedi, le dimanche et le lundi de Pâques!!!

:laughing:

Oui, michelmau, ça veut dire qu’ils sont ouverts à toutes les fermetures!
Et puis encore une chose, michelmau: si tu continues à te poser des problèmes insolubles, tu ne feras pas de vieux os! :confused:

Morgens in einer beliebigen Universität, die Vorlesung läuft bereits seit geraumer Zeit, betritt ein Student verspätet den Hörsaal.
Der Professor ist ziemlich ungehalten und fragt den Student: « Haben Sie gedient? »
Darauf dieser: « Ja, warum? »
Der Professor äußerst aufgebracht: « Was hätte dann Ihr Spieß deswegen zu Ihnen gesagt? »
« Guten Morgen, Herr Leutnant! »

Le matin, dans une université quelconque. Le cours est commencé depuis pas mal de temps lorsqu’un étudiant retardataire entre dans la salle.
Le professeur agacé demande à l’étudiant: « Vous avez fait votre service militaire? »
L’étudiant répond: « Oui, pourquoi? »
Le professeur exaspéré: « Qu’est-ce qu’il aurait dit, votre sergent, en vous voyant arriver en retard? »
« Bonjour mon lieutenant! »

Je me permets de remarquer que cette blague est très, très vieille. Aujourd’hui, les étudiants allemands qui n’ont pas lu le « Hauptmann von Köpenick » ne comprendraient pas la question. Et s’ils la comprenaient, ils rieraient et répondraient en grande majorité: « Mais en objecteur de conscience, j’ai fait mon service civil. » :laughing:

ééééé oui… Ils ne savent pas ce qu’ils perdent… les jeunes… à être jeunes !! :laughing:

géniale la blague :wink:

Explication de la crise des Subprimes, à tous ceux qui n’ont pas compris ce qu’il se passait dans le monde…


Alors voilà, Mme Ginette a une buvette à Bertincourt, dans le Pas de Calais.

Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de longue durée.
Vu qu’elle vend à crédit, Mme Ginette voit augmenter sa fréquentation et, en plus, peut augmenter un peu les prix de base du « calva » et du ballon de rouge.

Le jeune et dynamique directeur de l’agence bancaire locale, quant à lui, pense que les « ardoises » du troquet constituent, après tout, des actifs recouvrables, et commence à faire crédit à Mme Ginette, en prenant les dettes des ivrognes comme garantie.

Au siège de la banque, des traders avisés transforment ces actifs recouvrables en CDO, CMO, SICAV, SAMU, OVNI, SOS et autres sigles financiers que nul n’est capable de comprendre.

Ces instruments financiers servent ensuite de levier au marché actionnaire et conduisent, au NYSE, à la City de Londres, au Bourses de Francfort et de Paris, etc., à des opérations de dérivés dont les garanties sont totalement inconnues de tous (c.à.d., les ardoises des ivrognes de Mme Ginette).
Ces « dérivés » sont alors négociés pendant des années comme s’il s’agissait de titres très solides et sérieux sur les marchés financiers de 80 pays.

jusqu’au jour où quelqu’un se rend compte que les alcoolos du troquet de Bertincourt n’ont pas un rond pour payer leurs dettes.

La buvette de Mme Ginette fait faillite.

Et le monde entier l’a dans le cul…


et nous aussi

jean luc :wink:

C’est exactement ça ! :slight_smile:

Une blague toute fraîche sur « la crise » (je pense que vous allez apprécier :laughing:)

Un banquier appelle un de ses confrères banquier :

  • Oh la la j’en dors plus la nuit, tu dors toi ?
  • Comme un bébé !
  • Ah, profondément !?
  • Non : j’ai pleuré toute la nuit et je me suis fait dessus deux fois…