Blague

Une blague plus vieille sur les banques suisses:
Un étranger arrive dans une banque suisse et dit tout bas à l’employé: « je voudrais placer un million. » Réponse: « Vous pouvez parler plus fort sans gêne. Pauvreté n’est pas une honte. »

:laughing:
Je la connaissais, mais elle me fait toujours autant rire !

Une blague alsacienne:
Le « bür » et le jeune « haasebock »

Un bon vieux paysan (e bür!) d’Alsace Bossue (s’grumme Elsass) se promène dans la campagne, et remarque un jeune homme s’abreuvant dans l’eau d’un ruisseau.
Il s’adresse au jeune en alsacien: « Hééé junger, trink nit vun dem wasser, d’kiih schisse nin! » (pour les Haasebock : Hééé gamin, bois pas de cette eau, les vaches font leurs besoins dans ce ruisseau!)
Le jeune lui répond : « Oh m’sieur, tu peux pas m’causer en français, j’parle pas ton dialecte de merde! »
Et le paysan lui réponds : « Bois doucement, elle est froide. »

P.S le mot « haasebock », c’est le mot péjoratif pour les Français « de l’intérieur ».
:wink:

J’en ai une moi :

C’est un homme qui travaille à paris. Sa femme vit à New York. Elle l’apelle et lui demande de la rejoindre. Il est ok. Il s’apelle Alfred Gllock et il est illétré. Il va à l’aéroport, et avant l’embarcation, il doit remplir une fiche (comme tout le monde). Vu qu’il ne sait ni lire ni écrire, il demande a dame qui s’occupe du voyage de l’aider. La dame lui demande de lui épeler son nom. Il dit : G deux L o Q. La dame d’un air éffaré lui demande : Si vous avez deux ailes au cul pourquoi prenez vous l’avion? :laughing: :laughing: :laughing:

Michelmau… j’avais la même version que la tienne… mais…

en Ch’timi !! :laughing: :laughing:

Version bavaroise:

An einem Hochsommertag steht ein Mann in Badehose mitten in der Isar und füllt einen Maßkrug mit Flußwasser.
Als er davon trinken will, ruft ihm vom Ufer ein Bayer zu:
« He, du do, wos machst`n do? Bist du deppert? Du konnst doch net des dreckerte Isarwasser saufa. Do werst doch krank und griagst an sackrischen Duachfoi! Des is do ols mit Bakterien und Vir´n versaicht. Wenn´s bled hergeht, muasst sogoa ganz elendiglich dro voregga. »
Der Mann in der Isar schaut ihn verständnislos an und fragt: « Wat ham se jesacht? Sprechen Sie keen Deutsch, Mann? »
Darauf ruft der Bayer in perfektem Schriftdeutsch:
« Ganz langsam trinken, das Wasser ist sehr kalt. »

:astonished:
et est-ce que tu peux nous donner l’origine de ce mot :question: :question:

« Hasebock », cela veut dire « lapin ». Sans doute parce qu’en 40, les soldats français censés défendre l’Alsace se sont enfuis comme des lapins.

:laughing: :laughing: :laughing:

En Bretagne, ce sont souvent les touristes anglais qui font les frais de notre méchanceté (sans doute transposable à n’importe quel village de bord de la Mer du Nord ou de la Baltique) :

Sur la jetée du port de l’Ile de Groix, deux vieux pêcheurs en retraite sont en train de fumer leur pipe en regardant les mouettes survoler la mer. C’est alors qu’ils aperçoivent un peu plus loin une barque qui se renverse, jetant tous ses occupants à l’eau. Ceux-ci se mettent à faire des signes pour attirer leur attention et appellent à l’aide : « Help !, Help ! »
L’un des deux vieux , en rembourrant tranquillement sa pipe dit alors à son voisin : " ils auraient bien mieux fait d’apprendre à nager plutôt que d’apprendre l’anglais."

Je confirme! :smiley: :smiley: :smiley:

Ah bon! J’avais une autre interpretation de ce mot, vu que les « Beck » sont nommés, mais que les femelles courent aussi vite que les mâles et qu’il suffirait alors de les appeler « Hase ». Roger Siffer, quand il change de la salle francaise à la salle alsacienne pendant sa revue satirique bilingue, parle toujours des « Hasebeck ».
D’ailleurs, la blague du Breton et de l’Anglais, je la connais avec un Alsacien et un Francais.

:open_mouth: :open_mouth: :open_mouth:

An’ n’comprend pu que tchi à vos Beck et à vos Bock ! :laughing:

C´est une insulte gratuite proferer á l´egard des soldats français de 1940. 100 000 d´entr´eux sont mort en 1940 .je croit que tu ne te rend pas compte de la connerie que tu as dit.

jean luc :wink:

@ jean luc: mais il explique seulement d’où vient ce surnom. Expliquer, ce n’est pas « dire une connerie ».
@ anne: sg. der Hasenbock = lapin mâle; pl. die Hasenböcke = Hasebeck en alsacien.

le mien a été fait prisonnier par les Hulands
qui faisaitent forte impréssion à l’époque ( 14-18)
dans une clairière à Burnhaupt le bas, situé en Allemagne à l’époque(je pense)

a noter qu’il notait déjà le sous équipement de l’armée Française
et les couleurs voyantes
et aussi que les Allemands avaient déjà des repas chauds qui suivaient la troupe, avec des cuisines roulantes

chez pas si ils mangeaient du lapin :wink:

Un peu d’humour, Jean Luc!Quand je dis à mon petit-fils: « Arrête de faire le zouave! », je ne pense pas ternir la réputation de ce corps d’infanterie qui a versé son sang pour une patrie bien, bien lointaine!
Oschpele ne prononce pas un jugement de valeur, il se contente de donner une explication.

:wink:

cette explication je lui donne,elle vient directement des service de propagande de l´armee allemande qui ont frabriquer cette histoire,en juillet 40 pour justifier leur politique de retour vers la mére patrie de l´Asace lorraine (moselle). J´ai travailler en Alsace de 1990 á 1993 et il c´est trouver des Alsaciens pour me dire ça en pleine figure uniquement parsque j´etais français , et lorrain. Il faut dire aussi que d´autres alsaciens etaient present et ont protester contre cette insulte.Cela dit c´etait le fait de vieux,je n´ais jamais entendu ce genre de propos venant des jeunes. :smiley:

jean luc :wink:

oui je confirme ce village se situe en Alsace(reichland Elßasslöthringe)a 10km de mulhouse. En âout 14 il etaitsous le commendement du general Bonneau avec 19000 soldats ,puis a partir du 10 Aout du general Pau avec 115 000 hommes.
pour le materielle et les couleurs voyantes, c´est vrais .
pour la petite histoire ,en 1914 l´empereur guillaume 2 a inviter l´attacher militaire français en poste á Berlin, a assister aux manoeuvres miltaire allemande, il lui a declarer qu´il trouver etrange les couleurs de l´armee française ,l´autre ne pouvait lui repondre que c´etais pour soutenir l´industrie textille du rouge garrance de provence.

jean luc :wink:

merci
et pour les roulantes tu confirmes
parceque même s’il n’y avait que des patates au moins elles étaient chaudes
les allemands avaient aussi, à confirmer, des sacs à dos trés pratiques

en fait, ils ont eu en premier une escarmouche dans le village,ils se sont planqués dans les maisons, où les allemands avaient les meilleures positions, et passés tranquillement dans les rues,
puis ils se sont éparpillés
un officier s’est trompé, enfin pas facile de se repérer à l’époque,et en fait il se sont enfoncés en ligne énnemie,arrêt dans un clairière, pour se repérer, et là pris au piège, par les cavaliers Hulant,
reconnaissable , avec leur lance avec au bout une flamme rouge

d’aprés les écrits de mongrand père, au crayon à papier,
il à débuté à écrire ses lignes , au Fort Off, à côté d ’ Ingolstast

pour la logistique , les 2 armees avaient les mêmes problêmes,les allemands sur ce point lá, n´etaient pas mieux loti que les français.Sur la marne par ex ils sont arrivaient ,aussi epuiser que les français, sans ravitaillement,manquand d´obus , de troupes fraiches ,se sera l´une des causes de leur defaite.
concernant l´artillerie ,les allemands croyaient á la puissance de feu ,ils avaient des canons de 420mm,qui envoyaient des obus gros comme des sacs de farine, á 25km devant leurs lignes, les français qui croyaient á l´offensive á outrance, est ne posseder ,que du canon de 75mm qui tiraient des obus gros comme le poing á 7,5km.
DE plus les allemands avaient un systéme de santee beaucoup plus performant que le notre.
Concernants les premieres batailles,elles se deroulaient au petits bonheur la chance,les etats majors, ne connaissant pas la positions des unitees en marchent,ils se contantaient á mettre des troupes a la disposition des chef sur le terrain.
pourrait tu me donner le nom de l´unitee de ton grand pére.

jean luc :wink: