J’ai également entendu que les unités allemandes étaient beaucoup plus autonomes dans leurs (petits) mouvements et réactions, suivant les besoins du moment (je ne sais pas à quel niveau: sections, compagnies, bataillons?); tandis que coté France tout devait d’abord remonter à un Etat Major assez eloigné qui tenait à garder la main et diriger « en détail » la totalité des unités concernés.
Allez, encore une blague alsacienne:
Alsacien dans le train
C’est un Alsacien qui monte dans un train.
Dans le compartiment se trouvent déjà deux hommes costumes et cravates qui tapent sur leur ordinateur. Notre brave alsacien s’installe prés de ces deux hommes et commence a manger un sandwich saucisse-choucroute.
Au bout de quelques minutes, il demande a l’un des deux hommes en costume, avec un fort accent Alsacien :
« Puiche-je savoir ou vous z’allez ? »
« Et bien moi, je vais a PARISS », repond, d’un air moqueur, l’homme cravate.
L’alsacien a mal compris et repond :
« PARISSSS ? »
Et le cravate retorque :
« OUI, PARIS avec deux S !!! »
L’Alsacien se demande pourquoi Paris avec deux s mais n’en rajoute pas et continue a deguster son sandwich saucisse-choucroute.
Un peu plus tard, il s’adresse a l’autre homme cravate et lui demande :
« Et vous, ou allez-vous ? »
« Et bien moi, repond le deuxieme homme cravate, egalement d’un air moqueur, je vais a Bordeaux avec deux X !!! »
L’alsacien ne repond pas et s’interroge sur ces deux hommes qui se moquent de lui.
Tout a coup l’un des deux hommes cravates se tournent vers notre Alsacien et lui demande :
Allez, une fois n’est pas coutume, une blague aux dépens des profs, racontée par un ancien prof, qui la tiend lui-même de son ancien IPR (lire Inspecteur pédagogique régional).
Ledit Inspecteur se rend donc un jour dans la classe d'un de mes collègues.Comme à l'accoutumé, pour déranger le moins possible, il s'assied au fond, à côté du pire des cancres de la classe (au grand dam du prof qui fait tout pour l'installer à une place libre à côté du meilleur élève), mais...peine perdue.
Le cours se déroule tout à fait normalement, le prof pose des tas de questions à ses élèves et à chaque question, 23 doigts se lèvent pour donner la réponse, y-compris celui du cancre.L'Inspecteur est naturellement bluffé par tant de spontanéité et de participation de la part des élèves...Mais ...un doute subsiste toutefois dans son esprit.Il s'adresse alors à son voisin, le cancre, et lui demande tout bas: "C'est tout les jours comme ça, dans votre classe, vous êtes toujours aussi actifs?"
-Ben, non, M’sieur, répond le cancre, mais avant que vous veniez, le prof nous a dit: « Nous allons avoir la visite de Monsieur l’Inspecteur.Je compte donc sur vous pour lever tous le doigt quand je poserai une question, vous m’avez bien compris?Et il ajoute, ceux qui ne connaissent pas la réponse, vous levez le doigt gauche, et ceux qui savent le doigt droit! »
Ein Mann sagt zu seiner Frau, die in der Küche steht und kocht: „Du hast einen Hintern gekriegt wie ein Mähdrescher.“
Abends liegen beide im Bett, und der Mann streichelt seine Frau. Die rührt sich nicht. Er streichelt sie intensiver – sie rührt sich nicht.
Endlich fragt er: „Sag mal, hast du keine Lust?“ Meint sie: „Ja, glaubst du etwa, ich stelle wegen eines Strohhalms meinen Mähdrescher an?“
(Un type dit à sa femme qui s’affaire à la cuisine: « Ton derrière, c’est vraiment devenu une moissonneuse-batteuse. »
Le soir, ils sont tous les deux au lit, et le type caresse sa femme. Elle ne réagit pas. Il se fait plus pressant - elle ne réagit toujours pas.
Il finit par lui demander: « Dis donc, t’as pas envie? » Elle répond: « Tu t’imagines quand même pas que je vais faire marcher ma moissonneuse-batteuse pour un brin de paille? »)
Allez, elle est connue, mais je l’aime bien. J’ai envoyé une petite blague à mon amie allemande, qui m’a gentiment corrigé la formulation, donc je la poste ci-dessous en DE et FR :
Es gibt 10 Arten von Menschen, solche, die binär rechnen und solche, die es nicht tun.
ou en français :
Il y a 10 sortes de gens, ceux qui comptent en binaire et les autres.
2 petites anecdotes qui faisaient la ronde en RDA, lorsqu’il n’y avait pas encore les traducteurs automatiques (le bon temps, quoi!).
Tout d’abord, une histoire de Q:
Il faut savoir qu’en RDA, que le label Q était décerné aux produits de qualité supérieure. Il y avait 3 classes de qualité: 2, 1 et Q. (on s’étonnera de cette distinction, puisque, théoriquement, une entreprise n’aurait dû fournir QUE des produits de qualité… mais bon…)
Donc, une délégation française est en visite dans une grande entreprise de construction mécanique en Saxe, et sont accompagnés par un interprète de l’usine. Présentant la gamme des produits, l’interprète précise: « Notre objectif primordial à l’usine, c’est le Q! »
La réaction des Français, on la devine…
Et une autre histoire de c…, mais bien involontaire:
Une délégation française visite pendant une semaine diverses usines du sud de la Saxe. L’interprète leur présente le programme en précisant: « Les premiers jours, nous aurons un emploi du temps très chargé, mais à la fin de la semaine, nous irons chier dans les montagnes. »
Il faut savoir que « ski » en allemand se prononce « Schi », comme la ville norvégienne de Ski d’où le mot est originaire, et par conséquent « skier » était fatalement prononcé « chier » par un locuteur non natif et peu au fait des pièges de la prononciation française!
Klingelt ein Mann an der Wohnungstür.
Es öffnet eine alte Dame und der Mann fragt: “Was halten Sie von der Neutronenbombe?”
“Moment, da muss ich erst meinen Mann fragen.”
Nach kurzer Zeit kommt sie zurück und sagt: “Ist gut junger Mann, wir nehmen eine…”
Un homme sonne à la porte d’un appartement.
Une vieille dame lui ouvre, et l’homme demande: « Qu’est-ce que vous pensez de la bombe à neutrons? »
« Un instant, il faut d’abord que je demande à mon mari. »
Elle revient peu de temps après et dit: « D’accord jeune homme, on vous en prend une… »
C´est une grand mére qui dit á sa petite fille" aujourd´huit je vais en vélo au cimtiére"
Et la petite fille lui repond"Ah Et c´est qui , qui raméne le vélo
Ca me fait penser à une amie qui est venu de faire son permis de conduire. Elle m’a dit: « Je suis tellement heureux d’avoir le permis de conduire dans ma poche. Enfin je peux emmener ma grand-mère au cimetière. »
Sinon, je viens de voir ta signature… Je dis souvent que pour se fâcher avec un Autrichien, il suffit de lui rappeler que Mozart, contrairement à Hitler, était allemand…