Moi, oui ! Et je ris volontiers sur tous les sujets, y compris ceux qui caricaturent ma situation personnelle. Je pense que l’humour passe par la capacité à rire de soi.
D’ailleurs, en voilà une bonne sur les Français, que j’ai dû extorquer à un Suisse qui avait peur de me vexer en me la racontant :
Savez-vous comment les Suisses font fortune ? Ils achètent des Français à leur valeur réelle et les revendent à la valeur à laquelle les Français s’estiment !
J’en avais une bien bonne sur les patrons, mais je sais plus où je l’ai mise… Si je la retrouve je vous dis !
Ah, j’ai retrouvé la blague sur les patrons. Je l’avais plus dans mes mails mais j’ai trouvé sur Internet :
Quatre chirurgiens discutent de leur profession dans une salle de repos à l’hôpital.
Le premier chirurgien commence :
J’aime avoir des comptables sur ma table d’opération. Lorsque vous les ouvrez, tout est numéroté correctement à l’intérieur…
Ouais mais vous devriez voir les électriciens ! Tout est codé en couleurs à l’intérieur, impossible de se tromper ! ajoute le deuxième.
Moi, je pense vraiment que les bibliothécaires sont les meilleurs. Tout est classé par ordre alphabétique à l’intérieur, réplique le troisième.
Le dernier chirurgien prend la parole :
Les plus faciles à opérer sont les chefs. Il n’y a pas de coeur, pas de cerveau, pas de couilles en plus la tête et le trou du cul sont interchangeables !
Cette blague a failli me valoir un brouille avec quelqu’un de très proche, parce que je l’avais transférée par e-mail à plusieurs proches, dont des patrons, mais bon, tout le monde n’a pas le sens de l’humour…
dans le même genre je connaissais :
QUI DEVAIT ÊTRE LE CHEF ?
Quand le corps humain fut créé, toutes les parties voulaient en être le Chef.
Le cerveau disait : puisque je commande tout et que je pense pour tout le monde, je devrais être le Chef !
Les pieds disaient : puisque nous transportons le corps là où il le désire et lui permettons ainsi de faire ce que veut le cerveau, nous devrions être le Chef !
Les mains disaient : puisque nous faisons tout le travail et gagnons de l’argent pour entretenir tout le corps, nous devrions être le Chef !
Et ainsi de suite pour le coeur, les yeux, les oreilles et les poumons.
Enfin, le trou du cul se fit entendre et demanda à être élu Chef. Les autres parties du corps éclatèrent de rire à l’idée qu’un trou du cul puisse être le chef.
Le trou du cul se mit en colère, se referma sur lui même et refusa de fonctionner. Bientôt le cerveau devint fiévreux, les yeux se croisèrent et devinrent vitreux, les pieds trop faibles pour marcher, les mains pendaient sans force, le coeur et les poumons luttèrent pour survivre.
Alors tous supplièrent le cerveau de se laisser fléchir et de permettre au trou du cul d’être le Chef.
Ainsi fut fait. Toutes les autres parties du corps faisaient le travail, tandis que le trou du cul dirigeait tout le monde et s’occupait principalement de la merde comme tout chef digne de ce titre.
MORALITÉ
Il n’est nullement nécessaire d’être un cerveau pour devenir chef, un trou du cul fait largement l’affaire !
(ça fait 20 ans que je la connais… mais elle me fait toujours autant rire ! !!!)
Doit y avoir quelque chose avec la prononciation allde du français, je présume!J’ai une petite idée sur la prononciation du 2ème terme de l’énigme, avec un fort accent germanique, sinon, je ne vois pas. Si, ça y est j’ai trouvé, mais je ne dirai rien.
pas juste pour le trou du cul!!
car c’est le seul qui met tout le monde au même niveau
que l’on soit gueux ou roi deu monde, on fait tous par le même endroit
autrement pour l’autre j’ai engraissé google et j’ai trouvé
oui , bon c´est une blague ,il me semble que nos amis allemands n´apprecient pas non plus. Celas dit ce genre de blague en Allemagne peut vous envoyer au tribunal. A eviter en plublic. jean luc
Une sur les énarques:
Courte explication pour non amis germanophones;
En France, les postes dans la haute administration sont squattés 1°) par les énarques, 2°) par les polytechniciens.
On appelle énarques ceux qui sont passés par l’ENA (école nationale d’administration). Ce sont la plupart du temps des technocrates qui dirigent, commandent et décident depuis leurs bureaux à Paris ou dans les capitales des régions . Ils sont convaincus de faire partie de l’élite de la nation tellement leurs formateurs le leur ont répété au long de leurs études. On leur reproche principalement leur manque de connaissances du terrain et de ses réalités concrètes. L’histoire suivante illustre ce point.
Apres quelques années passées dans les bureaux, un énarque décide de prendre l’air à la campagne. Au milieu de collines remplies de moutons, il rencontre un berger. La conversation s’engage. Savez-vous combien de moutons vous gardez ? demande l’énarque : je suis prêt à parier cent euros contre un de vos moutons que je peux les compter d’ici sans faire d’erreurs. Le berger, sûr de gagner, accepte le pari.L’énarque observe un instant les collines, puis déclare : vous avez exactement 243 moutons à garder. C’est exact, constate le berger abasourdi : prenez un des moutons, vous avez gagné. L’énarque s’exécute et va pour s’en aller, quand le berger l’arrête.« Tenez, à mon tour :je parie que vous, vous avez fait l’ENA…Vous avez pris mon chien à la place du mouton. »