On peut peut-être aider ceux qui n’auraient pas compris,en ajoutant que « kommen », outre son sens universellement connu de " venir" a aussi, dans le domaine sexuel le sens de « jouir ».
Tu es trop gentil, michelmau!
effectivement… Avec l’explication de MIchelmau… ça change tout !!!
Ah bon, tu ne t’étais pas doutée de la chose?
… je l’avais vu … venir… Andergassen
Pour ceux qui n’ont pas oublié Pierre Desproges et qui sont tristes de son absence dans cette époque foutrement bien-pensante, quelques petits extraits de son bouquin: « Les étrangers sont nuls »:
Les allemands Il y a deux sortes d’allemands : les allemands de l’ouest, qui s’entendent très bien avec les juifs, et les allemands des l’est, qui s’entendent très bien avec les russes. De toute façon, la loi protège très bien le juifs à l’ouest, et très très très bien les russes à l’est.
Sexuellement parlant, les allemands de l’ouest, qu’on peut subdiviser en deux catégories, les hommes et les femmes, se reproduisent comme l’Homme.
En revanche, chez les allemands de l’est, c’est plus compliqué. Il y a trois catégories : les hommes, les femmes, et les nageuses olympiques.
Les nageuses olympiques est-allemandes ne peuvent pas se reproduire, bien qu’elles puissent éprouver une certaine jouissance, notamment en plongeant dans des piscines pleines.
Les allemands sont très travailleurs. Contrairement au français, qui prendra sur ses heures de sommeil pour se reproduire, l’allemand prendra sur ses heures de baise pour bosser.
Alors que l’anglais est flegmatique, l’allemand est cyclothymique, c’est-à-dire qu’il peut niquer sans tomber de vélo.
Les suisses Les suisses sont appelés ainsi parce qu’ils sont vraiment très propres sur eux. Même les poux des clochards suisses se reconnaissent à la fraîcheur éclatante de leur teint scandinave.
Il existe quatre sortes de suisses : les suisses allemands, qui parlent allemand, les suisses français, qui parlent français, les suisses italiens, qui parlent avec les mains, et les suisses romanches, qui feraient mieux de se taire. Je ne suis pas raciste, surtout depuis que je vis avec un Nègre.
Les suisses s’appellent aussi les helvètes ? c’est un grand mystère. Normalement, un seul nom suffit. Est-ce que ma belle-soeur Fabienne s’appelle Claudine ? Est-ce que mon crayon Bic s’appelle Reviens ? Ah oui.
En résumé, on peut dire qu’il y a encore plus de trous dans le gruyère que dans les suisses. Mais enfin bon, on n’est pas là pour enculer les meules. Alors, s’il vous plaît, je vous en pris.
Les autrichiens Les autrichiens sont appelés ainsi pour faire croire qu’ils ne sont pas allemands. C’est grotesque, car les autrichiens ne rêvent que d’être envahis par l’Allemagne dès la prochaine guerre mondiale qui ne devrait plus tarder maintenant si tout va bien et si le temps le permet.
En revanche, les autrichiennes ne rêvent d’être envahies que par Paul Newman, alors que, si ça se trouve, Newman, c’est même pas son vrai nom.
La capitale de l’Autriche s’appelle Vienne. Le charme de Vienne est décadent, un peu comme les nichons de Jeanne Moreau. Des mémères emperlouzées suintantes de lipides viennent y bâbrer d’autres graisses grasses au fond des salons de thé précieux où elles posent en soufflant leur cul catastrophique qui s’aplatit en clapotant obscéniquement sur le cuir boursouflé des banquettes impériales.
Parmi les autrichiens célèbres, on peut citer Richard Strauss, inventeur du tournis, Romy Scheider, inventeur du Zizi impératif, et Sigmund Freud, inventeur du Paranoïaque. Sans Sigmund Freud, l’Homme ne saurait pas qu’il a envie de baiser sa mère. Ce serait la fin du monde.
Et pour faire bonne part:
Les français Les français sont nuls. Pas tous. Pas mon crémier, qui veut voir la finale Le Pen - Marchais arbitrée par Polac à la salle Wagram, mais les français coincés chafouins qui s’indignent parce qu’on a dit prout-prout-salope dans leur télé. Changez de chaîne, connards, c’est fait pour ça, les boutons. Quand vous voyez trois loubards tabasser une vieille à Strasbourg-Saint-Denis, vous regardez ailleurs. Eh bien, faites pareil quand il se passe quelque chose dans votre téléviseur.
Ça va mal. Les russes arrivent et je n’ai rien à me mettre, et Cavanna pointe à l’ANPE. C’est la fin du monde.
C’était en 1981!
J’adore
Michelmau
En lisant ce fil, on pourrait croire que les blagues francaises sont presque toutes « unter der Gürtellinie » (Comment ca se dit?) Là, je suis très Allemande, je n’apprécie pas.
C’est parceque tu ne connais pas assez Desproges, cri-zi !Il est un excellent styliste…Ses textes sont toujours « ciselés » comme des petits bijoux.Il s’agit toujours chez lui d’humour « au deuxième degré ». Il ne faut jamais prendre ses déclarations au pied de la lettre.
PS: « Unter der Gürtellinie = sous la ceinture. »
tout á fait normal, l´humour allemand et français ne se marient pas.
jean luc
Je ne suis pas sûr que ce soit une question de nationalité. Plutôt uns question de mentalité.
moi je suis écroulée de rire en lisant cela…
mais je te comprends Cri-zi… il est difficile d’aimer Desproges, si on le lit au premier degré, on le déteste forcément J’étais toute petite quand Desproges faisait rage à la télé… je n’ai découvert certains de ses textes que bien après… et ils peuvent paraître très cyniques (unter der Gürtellinie / Merci pour l’expression)… mais ils sont criant de vérité !
moi je ris avec chevalier-laspalès et pas avec Bigeard
et peutêtre que toi c’est le contraire
donc en effet chacun ses envies pour rire
le principal c’est de rire
Je ne suis pas sûr que ce soit une question de nationalité. Plutôt uns question de mentalité.
quand je parle d´humour français ou allemand, il n´étais pas question de nationalité´, mais de mentalité.
jean luc
Petite blague en l’honneur de la venue du pape en Allemagne:
Im Himmel beschließt man einen Betriebsausflug zu machen. Betlehem wird vorgeschlagen. « Och nö, » sagt Maria, « die haben da echt nen schlechten Service, du bekommst noch nicht mal ne gute Unterkunft. » Gott: « Na dann Jerusalem vielleicht. » « Um Gottes Willen, » sagt Jesus, « da hab ich ganz schlechte Erfahrungen gemacht. » « Wie wäre es mit Rom? » « Au ja, Rom ist gut, » sagt der heilige Geist, « da war ich noch nie. »
Le comité d’entreprise du Ciel souhaite organiser un voyage. Quelqu’un propose Bethlehem. " Ah, non, dit Marie, le service n’est vraiment pas au point et c’est la galère pour trouver un hébergement correct." Dieu propose :" Alors, peut-être Jérusalem ." « Grand Dieu, non »,dit Jésus." Avec tout ce que j’ai du endurer, là-bas!"
« Et qu’est-ce que vous diriez de Rome ? » Ah oui, Rome, ça s’est une bonne idée dit le Saint Esprit ! Je n’y suis jamais allé!"
… une autre sur les religions…
La femme adultère :
Les Juifs veulent lapider la femme adultère, et Jésus qui est là prononce sa fameuse phrase : « Que ceux qui n’ont jamais péché lui jettent la première pierre ! », aussitôt, une pierre s’abat sur la malheureuse, Jésus se retourne excédé : « Maman, arrête ! ».
J’adore!
en fait c’est grace à toutes ses pierres que jésus marcha sur le lac de Tiberiade
car le jour de son miracle sur le fameux lac ; Thomas , toujours hésitant ne parvenait pas à décoller de la terre ferme
aussi Jésus se retourna et dit :
-aque l’accent " et fais comme tout le monde , marche sur les pierres"
Dans la foulée:
Un israélite New Yorkais a décidé d’aller passer une semaine en Israël pour la célébration des 50 ans de l’État, puis il visite les lieux historiques, Jérusalem, Bethléem, le Jourdain, et un jour, il arrive au bord du lac où Jésus a marché sur l’eau.
Il fait beau, le lac est calme et une promenade sur l’eau pour digérer le repas de midi est très tentante.
Alors notre vacancier s’approche du loueur de barques :
- Bonjour, quel est donc le prix d’une promenade en barque sur ce magnifique lac ?
- Vous êtes Américain ? Moi j’aime les Américains, je veux bien descendre à 100 $ de l’heure.
- 100 $, vous êtes fou ! Vous voulez ma mort ?! C’est insensé ! Pour une simple ballade en barque ?!
- C’est tout de même le lac où Jésus a marché sur l’eau.
- Pas étonnant, avec des tarifs pareils !
Allemagne.Un maçon du dimanche s’emmure
Il s’était mis en tête de murer l’accès à sa cave. Après plusieurs heures de travaux minutieux avec briques et mortier, le retraité allemand de 64ans a eu la mauvaise surprise de se retrouver bloqué ! Après un week-end, il s’est résolu non pas à défaire son oeuvre mais à percer le mur mitoyen qui le séparait de ses voisins. Ces derniers, alertés par le bruit du marteau-piqueur, avaient prévenu la police, qui attendait de l’autre côté.
letelegramme.com/ig/generale … 127810.php
jean luc