Dans cette période de crise ou de post-crise, les économistes nous disent tout et le contraire.
Dans une école primaire, l’institutrice demande aux élèves ce que fait leur père. Sophie répond : "Moi, mon papa, il est docteur ". Le petit Christophe prend la parole : « Moi, il est facteur ! ». Arrivé à Pierre, celui-ci répond : "Moi, papa il joue du pipeau dans un bordel ! ". L’institutrice est consternée. Inquiète pour les conditions d’éducation de son élève, elle contacte le père de Pierre et lui dit son inquiétude. Le père de Pierre lui répond alors : « Non, non, ce n’est pas ce que vous croyez… Mais il faut me comprendre : comment voulez vous expliquer à un gamin de 7 ans que vous êtes économiste au ministère des finances ? »
Une autre:
On dit que Christophe Colomb était le premier économiste. Quand il est parti, il ne savait pas où il allait. Quand il est arrivé, il ne savait pas où il était. Et tout ceci était fait grâce à des subventions publiques.
Ein Deutscher, ein Österreicher, eine Nonne und eine superscharfe Braut sitzen im Zug. Der Zug fährt nun in einen Tunnel. Man hört nur noch eine schallende Ohrfeige und als der Zug den Tunnel verlässt hat der Deutsche einen riesigen roten Handabdruck auf seiner Backe und schaut völlig entgeistert in die Runde. Was denken jetzt die vier Personen? Der Deutsche denkt: So ein Mist! Wahrscheinlich hat der Österreicher die Frau begrabscht und sie dachte ich wärs gewesen und hat mich deshalb geohrfeigt. Die Nonne denkt: Aha, der Deutsche wollte einen Akt der Unzucht an der Frau begehen und sie hat sich zur Wehr gesetzt. Recht so! Die Frau denkt: Hmm, der Deutsche wollte wohl mich betatschen und hat in der Dunkelheit die Nonne erwischt. Tja, selbst schuld. Und der Österreicher denkt: Geil!!! Im nächsten Tunnel prack ich dem Deutschen wieder eine!!
Un Allemand, un Autrichien, une bonne-soeur et une femme super sexy sont dans un train. Le train entre dans un tunnel. On entend une gifle retentissante et lorsque le train quitte le tunnel, l’Allemand se retrouve avec une énorme trace de main rouge sur sa joue, et regarde l’assistance l’air hébété. Que pensent les 4 personnes ? L’Allemand pense : Mince ! L’Autrichien a probablement peloté la femme et elle a pensé que c’était moi. C’est pour ça qu’elle m’a giflé. La soeur pense : aha, l’Allemand a voulu commettre un péché de luxure avec la femme, et elle s’est défendue. Tant mieux ! La femme pense : Hm, l’Allemand a certainement voulu me peloter et dans la pénombre il a touché la soeur. Bien fait. Et l’Autrichien pense : Trop cool !! Au prochain tunnel, j’en refous une à l’Allemand !!
Un type meurt sur la frontière franco-allemande. Quand il arrive au ciel
pour le jugement dernier, Saint Pierre lui dit :
Bon votre vie sur terre, pas terrible, quelques adultères, pas
souvent à la messe, des blasphèmes, etc, etc …
Je ne peux pas vous faire entrer au paradis, mais comme vous n’avez
rien commis de grave, et que vous êtes mort sur la frontière,
je vous laisse le choix entre l’enfer allemand et l’enfer français.
Mais Saint Pierre, je ne connais ni l’un ni l’autre, pourriez vous
m’en dire un peu plus, s’il vous plaît ?
Eh bien, dans l’enfer allemand, on vous met dans une grande marmite
pleine de purin, des petits gnomes très, très vilains qui
sentent mauvais mettent des bûches sous la marmite, un dragon vient
allumer les bûches et vous cuisez toute la journée. Et c’est tous
les jours pareil !
Et l’enfer français ?
Eh bien, dans l’enfer français, on vous met dans une grande marmite
pleine de purin, des petits gnomes très, très vilains qui
sentent mauvais mettent des bûches sous la marmite, un dragon vient
allumer les bûches et vous cuisez toute la journée. Et c’est tous
les jours pareil ! Mais, si vous voulez un bon conseil, je serais vous,
je choisirais l’enfer français
Mais, Saint Pierre c’est exactement la même chose !!!
Non, non, pas du tout ! Car dans l’enfer français, un jour les
gnomes sont en grève, un jour on n’a pas livré les bûches, un
jour le dragon est en RTT, un jour il est en congé maladie, un jour il ne
trouve plus la marmite, un jour on n’a pas commandé le
purin…
Au fait, parmi les pancartes des manifestants…j’en ai remarqué une qui nous rappelle la visite de notre bien aimé président au salon de l’agriculture à Paris.
On ne voit pas la pancarte en entier, mais on peut imaginer la suite.
Politiker und Windeln müssen regelmäßig gewechselt werden.
Aus demselben Grund.
(Les politiciens et les couches doivent être changés régulièrement. Pour la même raison)
„Das ist total gemein!“, beschwert sich der kleine Jan bei seinem Freund, „Ich bin zu Hause von fünf Geschwistern das Jüngste und muss immer die alten Klamotten der anderen abtragen.“
„Aber das ist doch nicht so schlimm.“, tröstet ihn sein Freund. „
Und ob das schlimm ist, ich bin doch der einzige Junge!“
Jeannot se plaint à son copain: " C’est vraiment dégueulasse, je suis le plus jeune d’une famille de cinq enfants, et je dois toujours finir d’user les fringues des autres."
« Allons, c’est pas si grave », le console son copain.
« Comment ça, pas si grave? Je suis le seul garçon! »