Blague

Ben non, Michel, c’est la faute du bonhomme ! Même pas fichu de tenir la distance pour faire des oeufs durs !
Moi, mesdames, je ne suis pas l’homme qui remplace le sablier ! En amour, je suis dans la tradition des bâtisseurs de cathédrales : du solide, du bien droit et qui défie le temps ! Du temps où l’on savait encore faire de la bonne ouvrage… :mrgreen:

Un sketch ultra-court tiré d’une série culte ;" Harald ( Juhnke) und Eddie ( Arend)"
Garçon !..


…désolé, Monsieur, ce n’est pas ma table !

Le découpage en secteurs de service est typiquement allemand. En RDA, la phrase standard, si vous arrêtiez un serveur au passage, était « Kollege kommt gleich ». Eddie Arend aurait pu faire aussi cette réponse. :mrgreen:
En Tchécoslovaquie par exemple, c’était la première personne qui passait qui satisfaisait votre demande. Et dans les brasseries, la bière était automatiquement servie par tacite reconduction.
Faire la queue pour être placé, si vous n’aviez pas de réservation, était également incontournable en RDA. Il y avait cette couverture d’Eulenspiegel, l’hebdomadaire satirique est-allemand, sur laquelle une queue impressionnante de clients attend devant la porte d’une auberge tchécoslovaque encore vide, à la stupéfaction du personnel de service. L’un des serveurs dit à l’autre : Tu sais, ce sont des touristes de RDA, ils attendent que tu les places ! :bad:

Ben, à vrai dire, cette différence existe toujours entre la France et l’Allemagne. Les Allemands sont toujours un peu surpris qu’on leur demande si on peut s’asseoir, mais je n’arrive pas beaucoup à m’y faire, même si je le sais. Je me dis toujours que la table est peut-être réservée même si c’est pas marqué dessus… Ou que ça va peut-être quand même les faire suer qu’on se mette à 2 sur un table de 8…

J’ai fini par m’y habituer, mais c’est vrai qu’on est tellement conditionné par nos habitudes qu’il y a toujours 1/4 de seconde avant d’aller s’installer à une table…

ma lettre cette année adréssée au au Père Noël :

juste un petit rajout et un conseil pour alléger ta hotte :
dans les années 60, ton grand père père Noël comme toi, enfin je pense ,
nous avez livré au chemin de Montolivet (dommage que à cette époque ce n’'était pas informatisé , tu aurai pu retrouvé la fiche

bref, il (le père Noël)nous a livré disais-je une magnifique cocotte en fonte ,énorme avec son couvercle , jaune de plus pour pas la confondre avec toutes les casserolles escagassées par le temps
un cadeau destiné à ma grand mère , engin utile s’il en est , pour qu’elle puisse nous faire la Daube
et puis c’est mieux qu’un aspirateur

bref , je sais pas si ton prédecesseur , avait fait les trois Messes avant et le repas aprés, comme le curé de Cucuron, ou si dans la fougasse en plus de l’huile d’olive, il ne l’avait pas trop parfumé à l’anis

Bref, on y arrive, le brave homme à dut se prendre les pieds dans sa barbe , et et badaboom, voila notre faitou
qui se fracasse sur le carrelage, sans se casser , à noter, la fonte devait venir de Tournus

Bref la gamelle en s’'écrasant à terre , à fait un tel vacarme, quelle a reveillé tout le monde
et surtout , peucheure , tous les minots de la maison

heureusement vif comme l’éclair, l’ancien habillé de rouge, sauta dans la cheminée
et par un système , reservé uniquement aux pères Noël, grace a un appel d’air fut ejecté dans la stratophère
et pu magistralement attrapé inextrémis la corne d’un des rennes, resté au parc avec sa femelle :-‹  ›

ni vu ni connu , je tembrouille

bref, tout ça pour dire que maintenant avec internet il existe des bons de commande
et que ces derniers allègeront allègrement ta hotte

surtout si parmis tes sages patients , existent des commandes imposantes
tel que ordi , voiture, planche à voile ou grand écran LSD 3D
oui je te rappelle , que les petites Norev de mon enfance que l’on fait rouler sur la table de la salle à manger
c’est terminé, personne n’en veut plus

Merci Père Noël et pense à nous
pince-a-mi :stuck_out_tongue:

ben Gici ??? voyons… tu y crois encore ???

discussion avec mon neveu de 7 ans 1/2 la semaine dernière :
« ben le père Noël il n’existe pas !!! »

moi : hein ?? t’es sûr ?? pourquoi tu dis ça ?

lui : le père noël c’est les parents !
Moi (surprise !!) : mais c’est pas possible !! t’es vraiment sûr ?

lui : ben voui que je suis sûr… t’as déjà vu un traineau voler ??? :unamused:

(j’ai pas répondu… je riais trop… :laughing: )

Bien sûr qu’il existe le Père Noël…Je l’ai même pris en photo:

tu confonds Michelmau… ça c’est… Le petit Nicolas :wink: :laughing:

Ce n’est pas Knecht Ruprecht déguisé ?

Saint Nicolas, le Père Noël, y a des fois, on ne s’y retrouve plus ! Alors bico a sans doute raison; c’était peut-être le Knecht Ruprecht déguisé en Nikolaus. Wer weiß ? :laughing:

oui biensur :wink:
la preuve je l’ai vu en Finlande
au départ , aprés je ne peux pas le suivre partout

santaclauslive.com/

Une histoire de blondes et de Noël (je vous assure que je n’ai strictement rien contre les blondes, bien au contraire !)

"Treffen sich 2 Blondinen, sagt die eine: « Dieses Jahr ist Weihnachten an einem Freitag! » Sagt die andere: « Hoffentlich nicht an einem 13ten! »

« Deux blondes se rencontrent : » Cette année, Noël tombe un vendredi," dit l’une. " J’espère que ce n’est pas un vendredi 13", répond l’autre.

:laughing: Michelmau… :laughing:

allez une autre…

Un Italien raconte à ses amis :
« Hier soir, j’ai massé ma femme avec de l’huile aromatique, puis on a fait l’amour tellement intensément qu’elle a hurlé pendant cinq minutes! »

Le Français qui entend ça, répond :
« Oui, pas mal ! Hier soir moi aussi, j’ai massé ma femme avec du beurre aromatique. Après, on a fait l’amour tellement fort qu’elle a hurlé pendant 15 minutes! »

Le belge intervient à son tour:
« Moi, je l’ai massé avec du chocolat. Ensuite on a fait l’amour et elle a hurlé pendant 3 heures! »

Les deux autres, curieux et stupéfaits:
« Comment as-tu fait pour qu’elle hurle pendant trois heures? »

« J’ai essuyé mes mains sur les rideaux! »

:laughing:

Histoire rhénane :
Ein Gladbacher steht vor Gericht,weil er 2 Kölner überfahren hat…
Richter: Angeklagter, sagen Sie die Wahrheit!
Gladbacher: Die Strasse war vereist, mein Wagen ist ins Schleudern gekommen…
Richter: Es ist August! Sie sollen die Wahrheit sagen.
Gladbacher: Es hat geregnet und Laub war auf der Strasse …
Richter: Seit Tagen scheint die Sonne.Zum letzten Mal, Die Wahrheit!
Gladbacher: Also gut! Die Sonne schien und schon von weitem habe ich das Kölnpack gesehen.
Hasserfüllt habe ich draufgehalten…
Der eine Kölner ist durch die Frontscheibe, der andere Kölner ist in einen Hauseingang geflogen!
Ich bereue absolut nichts!
Richter: Na, warum denn nicht gleich so?
Den einen Kölner verklagen wir wegen Sachbeschädigung, den anderen Kölner wegen Hausfriedensbruch!!!

Un habitant de Gladbach passe au tribunal pour avoir écrasé 2 Colonais…
Juge : Accusé, dites la vérité !
Accusé : Il y avait du verglas, ma voiture a dérapé…
J : Nous sommes en août ! Vous devez dire la vérité.
A : Il avait plu et il y avait des feuilles mortes sur la chaussée…
J : Il a toujours fait beau ces jours-ci. Pour la dernière fois, dites-nous la vérité !
A : Bon, d’accord ! Il faisait soleil et de loin, j’ai vu ces deux connards de Cologne.
J’avais la haine et je leur ai foncé dedans…
L’un est passé à travers le pare-brise, l’autre a fait un vol plané dans une entrée de maison !
Je n’ai vraiment aucun regret !
J : Eh bien voilà, pourquoi ne pas le dire tout de suite ?
L’un des Colonais, nous allons le poursuivre pour dégradation de véhicule, et l’autre pour violation de domicile !!

(on peut remplacer Gladbach et Cologne par Offenbach et Francfort, par exemple, qui s’aiment bien aussi ! :mrgreen: )

Excellent ! :laughing:

Essayez donc de traduire cette vanne de Groucho Marx en allemand :„Time flies like an arrow, fruit flies like a banana“. :mrgreen:

Il est évident que si je traduis mot à mot en allemand, ça ne donnera aucun sens pour la deuxième partie, comme en français d’ailleurs :
« Die Zeit fliegt wie ein Pfeil, das Obst fliegt wie eine Banane », ça ne veut absolument rien dire ! (Le temps vole comme une flèche, un fruit vole comme une banane) :open_mouth: A moins que ce ne soit une expression employée par les instructeurs de pilotage : « Tu voles comme une banane ». :mrgreen:
Mais étant un partisan zélé du marxisme nuance Groucho (lequel avait un esprit aussi tordu que le mien :laughing: ), je rattache les bons wagons, remplace un verbe par un substantif, et tout devient clair comme du poussier, car si la deuxième partie retrouve un sens, l’ensemble devient totalement aberrant : « Die Zeit fliegt wie ein Pfeil, Obstfliegen (fruit flies) mögen Bananen » (Le temps vole comme une flèche, les mouches à fruit aiment les bananes). :stuck_out_tongue:
La flèche du temps a fait en fin de compte deux victimes : le verbe « to fly » d’une part, abattu en plein vol dans la deuxième partie ; et le traducteur d’autre part, bien em…iellé (mais non, ce n’est pas une mouche à miel, c’est une mouche à fruit !). :bad:

:top:

Mais je m’aperçois qu’en fin de compte que si un verbe reste sur le carreau, j’en récupère un autre : to like ! Comme disait Lavoisier : rien ne se perd, rien ne se crée : tout se transforme. Finalement, les langues, c’est comme la chimie : à manier avec précaution, mais à bonne dose, ça fait des étincelles! :mrgreen: