Elle et lui :
Eine Frau brät in der Küche ein Spiegelei, als der Mann nach Hause kommt. Da stürmt er in die Küche und brüllt: „ACHTUNG! MEHR ÖL, WIR BRAUCHEN MEHR ÖL! Es wird anbrennen… VORSICHT! Umdrehen! Umdrehen! LOS! ACHTUNG! Bist du verrückt? Das Öl wird auslaufen! OH MEIN GOTT! Das Salz, vergiss nicht das Salz!!!“ Die Frau, schon völlig genervt, fragt: „Warum schreist du denn so?!? Meinst du, ich kann kein Spiegelei braten oder was?!?“ Darauf er: „Nur damit du mal weißt, wie es mir beim Autofahren geht, wenn du neben mir sitzt…“
Une femme est en train de faire un oeuf sur le plat dans la cuisine lorsque son mari arrive. Il se précipite dans la cuisine et se met à hurler : « OH LA LA ! PLUS D’HUILE, IL FAUT METTRE PLUS D’HUILE ! Ca va attacher… ATTENTION ! Tourne ! Mais tourne ! ALLEZ ! ATTENTION ! Mais tu es folle ? L’huile va déborder ! OH MON DIEU ! Le sel, n’oublie pas le sel !!! » La femme, exaspérée, demande à son mari : "Mais qu’est-ce que tu as à crier comme ça ?!? Tu crois que je ne suis pas capable de faire un oeuf sur le plat ou quoi ?!? Il répond : « C’était juste pour te montrer comment c’est quand je conduis et que tu es assise à côté de moi… »
lesurnom du Pape étant Ratzi
certain l’appelle en Allemagne : Papa-Ratzi
Pas vraiment une blague, mais une histoire authentique.
Jacques Offenbach, musicien allemand né à Cologne et ayant passé une bonne partie de sa vie en France, avait également voyagé aux Etats Unis.Il a raconté ses souvenirs de voyage dans un livre intitulé :« Notes d’un musicien en voyage. » (1877.)
Du chapitre intitulé :« Les restaurants-trois types de garçons », j’extrais l’anecdote suivante, que je trouve très savoureuse:
C’est Offenbach qui parle:
C’est à Philadelphie que j’eus le plaisir de faire la connaissance de cet original. J’étais arrivé dans cette ville à neuf heures et demie du soir ; mes amis et moi, nous mourions littéralement de faim. A peine débarqués, nous nous précipitons sur un indigène :
— Un bon restaurant, s’il vous plaît ?
— Pétry.
— Allons chez Pétry.
Aussitôt dit, aussitôt fait, et nous voilà attablés. Sans perdre un instant nous faisons notre menu.
— Garçon ?
— Messieurs.
— Donnez-nous d’abord une bonne julienne. Le garçon fait la grimace.
— Oh ! je ne vous conseille pas d’en prendre ; les légumes sont bien durs ici.
— Bien… nous nous passerons de potage. Vous avez du saumon ?
— Oh ! le saumon ! certainement nous en avons ; nous l’avons même depuis longtemps. Il n’est peut-être pas de la première, ni de la dernière fraîcheur.
— Alors un chateaubriand bien saignant.
— Le cuisinier les fait très-mal.
— Des fraises.
— Elles sont gâtées.
— Du fromage.
— Je vais le prier de monter. Je le connais. Il viendra tout seul.
— Dites donc, garçon, vous ne devez pas rapporter grand’chose à votre patron ?
— Je tiens surtout à ne pas mécontenter mes clients.
— Si j’étais M. Pétry, je vous flanquerais à la porte.
— M. Pétry n’a pas attendu vos conseils. Je sers ce soir pour la dernière fois.
Sur ces mots, il nous salua très-profondément et… nous soupâmes admirablement.
ok
allez une petite en attendant le Père Noël :
savez pourquoi le nains de décoration sur les bûches de Noël ont toujours le sourire
parcequ’ils savent que immanquablement à chaque fin de repas : ils vont se faire sucer
Petite fable du bénévole****
Un jour, un fleuriste se rendit chez le coiffeur pour se faire couper
les cheveux. Après sa coupe, il demanda combien il devait.
Le coiffeur répondit :
- C’est gratuit, je fais du bénévolat cette semaine.
Le fleuriste s’en alla tout content.
Le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur trouva à sa porte une
carte de remerciements et une douzaine de roses.
Plus tard, c’est le boulanger qui se présenta pour se faire couper les
cheveux. Quand il demanda pour payer, le coiffeur lui dit :- Je ne peux accepter d’argent : cette semaine, je fais du bénévolat.
Heureux, le boulanger s’en alla tout content, et le lendemain, déposa à
la porte du coiffeur une douzaine de beignets, avec un mot de remerciements.
Puis, ce fut le député du département qui se présenta et lorsqu’il
voulut payer, le coiffeur lui répondit :
- Mais non, cette semaine c’est gratuit : je fais mon bénévolat !
Très heureux de cette aubaine, le député quitta la boutique.
Le lendemain, quand le coiffeur arriva pour ouvrir, une douzaine de
membres du parlement attendaient en ligne pour se faire couper les
cheveux gratuitement…
Voila mes amis, la différence fondamentale entre les citoyens de ce pays
et les politiciens qui nous gouvernent.
Mais puisque le slogan préféré des candidats est « Demain on rase gratis » ! Que demande le peuple ?
On ne peut quand même pas reprocher aux élus, qui sont somme toute les représentants du peuple, de tenir leurs promesses en les mettant en pratique !
Les « nègres » dans la littérature, c’est fini.
Pour ne pas se faire aligner par le MRAP et consorts, on dira dorénavant « assistant d’écriture issu des diversités ».
Je ne sais trop où mettre ça, ça n’est pas vraiment sérieux, pas vraiment consacré à l’Allemagne, mais comme ça m’a fait rire, ce sera ici :
allemagnehorslesmurs.blogs.rfi.f … -sans-vous
30 secondes de rire au bureau…
Merci Sonka !!!
Une chorale répète pour la messe de minuit du 24 décembre. Le curé décèle quelque chose d’anormal.
Pour en avoir le coeur net, il demande à chacun des membres de chanter seul. Vient le tour de Patrick. Celui-ci y entonne bruyamment :
- Léon ! Léon !
- Patrick ! Arrête ! fait le prêtre. Tu tiens ton livre de chant à l’envers. Les paroles c’est «noel, noel»
ça se voit que tu as été enfant de choeur, Michel
Lettre au Père Noël…
Cher Papa Noël…
cette année comme cadeau… j’aimerai juste un petit frère…
rien d’autre…
Merci Père Noël…
Sébastien…
Réponse du Père Noël :
ENVOIE MOI TA MERE !!!
Les nyctamères ont encore frappé !
Cher papa Noël,
Je voudrais un VTT, une Playstation, un train électrique, un Vaisseau spatial, un cheval, un chat, une chaîne hi fi, et des Playmobil.
Je t’aime et je t’embrasse !
Petit Gilbert
Cher petit Gilbert,
Tu ne veux pas aussi un chèque petit con ?
En plus pour t’avoir filé un prénom aussi nul, à mon avis ton papa et ta maman ne t’aiment pas. Rassure toi, moi non plus !
Père Noël
(Quoique : je ne trouve pas que Gilbert soit tellement nul, mais nous sommes un peu vieux jeu, non ? )
Der Gabentisch ist öd und leer,
die Kinder gucken blöd umher.
Da läßt der Vater einen krachen,
die Kinder fangen an zu lachen.
So kann man auch mit kleinen Dingen
den Kindern Weihnachtsfreude bringen.
La table est désespéremment vide de cadeaux,
les enfants regardent bêtement autour d’eux
quand tout à coup le père lache un pet
et les enfants se mettent à rire.
Comme quoi il suffit parfois de petites choses,
pour apporter aux enfants la joie de Noël.
Vive la poësie !
Les choses simples de l’existence, il n’y a que ça de vrai !
Je ne vois pas pourquoi on se casse la nénette pour chercher des cadeaux sophistiqués, quand un simple pet déchaîne l’enthousiasme ! Les enfants, au fond, ne sont pas exigeants et s’amusent d’un rien, alors qu’un jouet électronique dernier cri, ils vont jouer cinq minutes avec, et puis ils l’oublieront.
Eine alte Dame sitzt mit einem Neonazi zusammen im Wartezimmer. Lange mustert sie ihn von oben bis unten, schaut immer wieder auf die Glatze und anschließend auf die Springerstiefel.
Nach einer Weile spricht sie ihn an: « Ach Sie Armer! Erst die Chemo und jetzt auch noch orthopädische Schuhe! »
Une vieille dame est assise à côté d’un néo-nazi dans la salle d’attente du médecin. Elle l’examine curieusement de haut en bas, et ne cesse de regarder son crâne rasé puis ses rangers.
Après un long moment, elle lui dit : « Mon pauvre garçon ! D’abord la chimio, et puis maintenant les chaussures orthopédiques ! »
Bien vu !
elle a oublié la médecine chinoise, pour les percing