J’entre dans une salle dans mon cabinet. Presque, j’ai manqué de tomber sur un panier qui la mère a déposé au milieu de la salle. Dans le panier, on regarde un porte-monnaie, un trousseau de clés, un paquet entamé de Marlboro, un téléphone mobile et un parapluie refermé.
Marie, une fille de 6 ans, souffre de polypes dans son nez. La mère avait présenté Marie chez l’oto-rhino-laryngologiste. Il avait examiné Marie et puis proposé une opération. C’est pourquoi, la mère et Marie sont venues dans mon cabinet pour un examen préventif. J’examine la fille, je prends une analyse de sang et une analyse d’urine. Mon employée a fait un électrocardiogramme chez Marie. Demain, après avoir reçu tous les résultats du laboratoire, nous écrirons un rapport pour l’oto-rhino-laryngologiste.
Maintenant, je pose quelques questions à la mère qui sont importantes pour l’opérateur: « Quels sont les symptômes qui vous avez vu chez Marie? » - « A-t-elle souffert d’une infection pendant les jours derniers? » - « A-t-elle eu contact avec autres enfants pendant les jours derniers, qui peuvent être contaminé d’une maladie infectieuse? » - « Est-ce que Marie reçoit très facilement une hémorragie? » - « A-t-elle souffert d’une allergie pendant les mois derniers? »
Tous les questions la mère répond que non. Aussi sur la dernière question elle répond: « Non! Marie ne souffre pas d’une allergie! »
Mais, Marie n’est pas d’accord. Elle contredit vite: « Mais oui, Maman! J’ai bien une grande allergie contre les cigarettes qui tu fumes toujours à la maison! »
J’avait participé à un séminaire sur les examens préventifs. Le maître de conférences avait expliqué que nous - les pédiatres - devons poser des questions à la mère qui donnent un aspect positif sur le développement de l’enfant. Si on, par exemple, seulement demande, si la mère est contente du développement de son enfant, la mère énuméra tous les fautes qui elle a vu pendant les mois derniers. Alors, nous devons demander: « Quelles sont les forces de votre enfant? » - « Qu’est-ce que votre enfant fait très bien? » - « Êtes-vous fière que votre enfant peut déjà faire cela? » Je trouve que telles questions vont de soi! Mais, après participé à ce séminaire, je prévois de faire attention particulièrement sur cet aspect.
Mme Schiller me présente 3 enfants dans mon cabinet. La fille le plus âgée a 15 ans et souffre d’une amygdalite. L’autre fille a 8 ans et vient pour une vaccination. Le fils a 5 ans et vient pour un examen préventif. Après l’examen, je pose des questions à la mère. « Qu’est-ce que votre fils peut faire particulièrement bien? » Mais, la mère n’a pas l’occasion de répondre. « Il aime particulièrement bien d’énerver ses soeurs plus âgées! » répondent les filles simultanément.
Merci beaucoup, Kissou, pour la grande correction! Je l’ai reçu deux fois: ici, sur AOX, et de plus sur BF!
Malheureusement, il y a beaucoup de « rouge » dans mon texte!
D’ailleurs, il n’est pas le chirurgien qui fait l’opération, mais il est l’ORL.
J’espère que je peux améliorer mon français à l’avenir!
En Allemagne, nous avons un système où le spécialiste (p.e. l’ORL, l’urologue ou l’oculiste) travaille dans son cabinet - il fait le diagnostic et trouve l’indication pour une opération - et il fait l’opération dans son cabinet ou à l’hôpital. Mais l’examen préventif qui constate la faculté pour l’opération prévue, c’est la tâche du pédiatre ou du médecin général. Le spécialiste peut seulement décider dans la région où il veut opérer le client, c’est-à-dire: l’ORL comprend toutes les maladies dans le nez, les oreilles, mais rien sur un bronchite.
Donc c’est bien un chirurgien ! dans ton cas, c’est un chirurgien ORL… c’est à dire qu’il fait des consultations à son cabinet, et aussi des interventions chirurgicales (donc des opérations) à l’hôpital ou au cabinet…
Marco, un garçon de 9 ans, et son grand-père entrent dans mon cabinet. À la maison, Marco s’est défoulé. À cette occasion, il a cogné sa tête contre le boîtier électrique. Maintenant, il se plaint sur le mal de tête.
J’examine le garçon. Il a une grande bosse au front, mais à part ça, tout va bien. Il ne souffre pas d’une blessure ouverte.
Le grand-père est un peu malentendant. C’est pourquoi, il parle toujours à haute voix. Il me dit: « Docteur! Vous comprenez: Mon petit-fils a voulu l’essayer, si son ampoule éclairerait meilleur après la collision avec le boîtier électrique. Mais, vous voyez qu’il a échoué! »
Merci, Victoria! Tu as raison, je n’ai pas fait attention!
Peut-être, il est nécessaire d’expliquer quelque chose en rapport de cette blague précédente: En Allemagne, on utilise des termes différents pour la tête dans la langue populaire, p.e. « Birne » = poire, « Rübe » = betterave, et autres.
Une ampoule qui donne la lumière électrique, est une « Glühbirne » en Allemagne, c’est-à-dire, une « poire » qui éclaire.
Un homme intelligent qui parle intellectuellement, qui a une grande connaissance, on regarde comme une lumière.
Ces jeux de mots se cachent après la blague précédente.
J’ai déjà écrit que nous avons différents animaux en peluche dans les salles de traitement dans mon cabinet.
Un jour, une mère me présente son fils de 3 ans dans la salle numéro 1, où se trouve le singe sur le divan. Après l’examen, la femme et moi parlons de différents sujets, et nous ne faisons pas attention que l’enfant fait entre temps.
Le garçon s’assied sur le divan, il bavarde toujours avec lui-même et batte véhément le singe sur le divan. « Qu’est-ce que tu fais là? » lui demande la mère. « Il est très bête! » dit-il et montre vers le singe. « Je l’ai demandé comment il s’appelle, où il habite et quel âge il a maintenant. Mais, il ne sais rien du tout! C’est pourquoi, je lui batte dans le ventre! »
Mme Schneider me présente son fils David pour une vaccination. Je contrôle le carnet de vaccination et trouve qu’il manque aussi une autre vaccination qui la mère n’a pas désiré. Je parle d’autre vaccination, et la mère est d’accord: Je peux donner 2 vaccinations à David.
« Docteur, vous pouvez faire tous les vaccinations qui vous avez dans votre réfrigérateur! » dit-elle. Mais, je ne suis pas d’accord: « Non, Mme Schneider, je ne suis vraiment pas d’accord! Nous vivons dans le 21ere siècle, mais pas dans le premiere siècle! Et votre fils n’est pas le Saint Sébastien! »
que la mère n’a pas… Subjekt ist la mère, also kann nicht noch ein Subjekt im Satz sein, also muss es que heißen. (Gleiches Problem wie « que tu fumes » neulich!)
le 21ième siècle, le premier siècle - männliche Ordnungszahlen!
trouve qu’il manque aussi une autre vaccination qui la mère n’a pas désiré. => …que la mère n’a pas désirée. Ou bien … que la mère n’a pas désiré faire faire. (Les règles d’accord du participe passé sont assez délirantes…)
Je parle d’autre vaccination, et la mère est d’accord: Je peux donner 2 vaccinations à David. => de l’autre vaccination.
=> Je peux la lui faire.
« Docteur, vous pouvez faire tous les vaccinations qui vous avez dans votre réfrigérateur! » => toutes les vaccinations
dit-elle. Mais, je ne suis pas d’accord: "Non, Mme Schneider, je ne suis vraiment pas d’accord! Nous vivons dans le 21ere siècle, => au XXIe siècle
mais pas dans le premiere siècle! Et votre fils n’est pas le Saint Sébastien!" => pas au premier siècle. Et votre fils n’est pas Saint Sébastien (non plus)
La mère le comprend et rit. => La mère comprend et rit.
Une mère me présente sa fille de 14 ans dans mon cabinet parce qu’elle a pris froid. Après l’examen, la mère se plaint: Auparavant, elle m’a présenté sa fille pour la vaccination contre l’infection avec HPV (papilloma virus humain) que peut déclencher une tumeur cancéreuse au coi de l’utérus. La fille a reçu trois piqûres et les a supporté sans problème.
Mais entre temps, la mère a regardé la télévision. Un jour, elle a regardé une émission qui s’est occupé de cette vaccination contre HPV. L’auteur a dit que les clients ne doivent pas obtenir cette vaccination. La mère n’a pas compris toute son argumentation. Mais, elle me demande qu’elle peut faire maintenant.
J’explique à la mère qu’elle ne peut rien faire. La vaccination est déjà complètement fait. On ne peut pas l’enlever. De plus, la commission de vaccination allemande recommande encore la vaccination pour toutes les jeunes filles, car on est convaincu de son avantage. Mais, dans une émission télévisée, beaucoup de gens parlent de beaucoup de sujets, mais ils n’ont pas toujour la connaissance nécessaire, alors ils parlent subjectivement et idéologiquement. La mère ne doit pas croîre tout qu’on peut regarder à la télévision.
Maintenant, la fille dit à la mère: « Maman! Il est très important que mon docteur m’a donné cette vaccination! À la télévision, beaucoup de gens parlent beaucoup toute la journée! Il faut que nous faisons confiance au docteur, n’est-ce pas? »
77 La différence entre « à cracher » et « à vomir »:
Julia, une fille de 5 ans, vient dans mon cabinet, accompagnée par sa mère parce qu’elle a pris froid. Elle tousse véhément.
« La dernière nuit, je n’ai pas dormi! » dit-elle. « J’ai beaucoup toussé. Plusieurs fois, j’ai toussé tellement fort que j’ai du cracher, et plusieurs fois, j’ai toussé tellement fort que j’ai du vomir! » explique-t-elle à moi.
« Mais, quelle est la différence entre « à cracher » et « à vomir »? Y-a-t-il généralement une différence? » lui demandé-je.
« Mais, oui! » répond Julia, « « à cracher », c’est quelque chose comme « te-te-te », mais « à vomir », c’est tout à fait autre chose! »
Mme Jäger me présente sa fille Valentina qui a 3 ans, dans mon cabinet. La fille doit aller à l’école maternelle, et c’est pourquoi, elle a le devoir d’un examen préventif.
Je prends mon stéthoscope et veux ausculter la fille. Mais auparavant, Valentina me raconte: « Docteur, moi, j’ai aussi quelque chose comme tu à la maison! Il se trouve dans ma valise médicale! Avec cela, je peux toujours « opérer » ma mère! »
Valentina s’adresse vers sa mère. Elle donne prudemment une tape affectueuse au grand ventre de la mère. « Docteur, regarde: Ma mère a un petit bébé dans son ventre! Oui! Et c’était moi qui l’a fait opérer dans son ventre! »