Julian vient dans mon cabinet, accompagné par sa mère. Il a 8 ans, et il a pris froid: Il tousse et éternue pendant toute la journée. Pendant l’examen, j’aperçois que sa fermeture à glissière de son pantalon est ouverte. Je fais remarquer cela à Julian. Le garçon a honte de cela, et il ferme vite la fermeture à glissière.
Sa mère sourit et le commente: « Oui, docteur! Nous le connaissons déjà: Cela est très en vogue, maintenant! Mon fils a toujours besoin de cela pour la ventilation de son pantalon! »
Giovanni, un garçon italien de 4 ans, vient dans mon cabinet, accompagné par son père. Il a attrapé froid: il souffre de la toux, du rhume et de la fièvre. Le père ne parle pas très bien allemand.
Après l’examen, je veux prescrire des médicaments pour Giovanni. Je demande le père s’ils ont encore quelque chose contre la fièvre à la maison. Mais le père ne me comprend pas. « Qu’est-ce que tu dire, dottore? » me demande-t-il. Je répète ma question lentement. Maintenant, le père me comprend: « Eh bien, dottore! Schnäppchen! (c’est-à-dire: une offre spéciale, en particulier très bon marché!) Schnäppchen! Non, dottore, nous n’avoir rien à la maison. Tu devoir les prescrire! »
(Effectivement, il a voulu me dire « Zäpfchen », c’est-à-dire: des suppositoires contre la fièvre. Je sais que la grammaire est fausse. Mais le père a parlé comme ça: « Was du sagen, dottore? » - « Ah, dottore, Schnäppchen! Schnäppchen! Nein, dottore, wir nix haben zu Hause. Du müssen das aufschreiben! »
Robin, un garçon de 9 ans, et sa mère viennent dans mon cabinet. Il me faut donner une vaccination à Robin. Mais le garçon a très grande peur: Il crie à haute voix, il ne veut pas laisser s’examiner et il ne veut jamais recevoir une piqûre. Il porte un coup à sa mère, plus tard aussi à moi et se défend de toutes ses forces. Quand même, enfin il reçoit sa vaccination.
Après cet aventure, je quitte la salle pour examiner un autre malade. Dans l’autre salle, je rencontre une mère qui me présente son fils Michael. Il a 5 ans et souffre de la fièvre. Bien que les portes dans les salles fussent fermés, ils ont quand même écouté le bruit dans la salle voisine. La mère me demande, qu’est-ce que j’ai fait avec le gamin dans la salle voisine. « Nous nous sentions comme dans la charcuterie! » me dit-elle.
« Oui! » dit Michael. « Le dernier samedi, on a tué un porc dans notre voisinage. Pendant cette procédure, le porc a crié de même à haute voix comme ce garçon dans votre salle à côté! »
Mais, dit-on vraiment « puqûre »?
Lorsque j’ai écrit le texte, je n’ai pas été sûr qu’on écrit « cet aventure » ou « cette aventure ». Malheureusement, j’ai choisi la fausse.
J’ai toujours le problème de comprendre, quand on dit « le dernier samedi » et quand on dit « le samedi dernier ». Quelle est la différence?
Je ne suis pas sure mais je pense que « le dernier samedi » n’est pas utilisable s’il n’est pas suivi de quelque chose: exemple: le dernier samedi du mois de mai.
Pour samedi dernier, on ne doit rien mettre derrière.
Après c’est juste mon avis, je peux tout à fait me tromper
(après tout, c’est les vacances ! )
P.S: tu as raison grand-père, j’ai oublié de te corriger « puqûre » on dit 'piqure"
Mme Schmidt me présente son fils Felix dans mon cabinet. Il souffre du mal au ventre, de la nausée et de la diarrhée. Pendant la nuit dernière, il a vomi sept fois. Maintenant, il ne se sent pas très bien.
J’examine le garçon et lui prescris des médicaments. De plus, je donne quelques conseils à la mère pour le régime alimentaire pendant cette maladie.
Puis, la mère me raconte qu’elle aussi souffre du mal au ventre et de la nausée. Malheureusement, elle ne peut pas vomir. Peut-être, elle irait mieux, si elle pourrait vomir. Elle dit: « Je crois, je dois aller une fois dans le restaurant McDonalds et y prendre mon repas. Après avoir mangé dans ce restaurant, je pourrais peut-être vomir enfin et je serais bien! »
le samedi dernier ist der letzte, den es gab, also jetzt der 18.7.
le dernier samedi ist der letzte in einer Reihe, also wie im Beispiel von elo: der letzte Samstag im Mai.
Une mère me présente son fils de 5 ans, parce qu’il a pris froid. J’ai examiné le garçon et prescrit des médiacaments. Enfin, je donne deux petits oursons gélifiés (Gummibärchen) au garçon qu’il les mange tout de suite.
Maintenant, la mère se plaint d’un manque de l’appétit de son fils. Mais, je ne peux pas m’imaginer que le garçon souffre toujours de faim: Il a un coloris rosé, une figure robuste et un regard éveillé. J’exprime mon doute à la mère. Mais, elle insiste: « Non, docteur! Il ne mange vraiment rien: aucun des fruits, aucun des légumes, aucune de viande, et ne pas encore de sucrerie! »
Mais son fils condredit sa mère: « Mais non, Maman! J’ai bien tout à l’heure mangé les deux petits oursons gélifiés que le docteur m’a donnés! »
Une jeune mère me présente son fils pour un examen préventif. Le nouveau-né a seulement 3 jours. Je trouve que le petit garçon est en très bonne santé. Mais, il a une peau sèche et desquamée. Les superfaces de ses mains et de ses plantes du pied ont des sillons profonds. Les médecins en Allemagne parlent de « mains de la laveuse ». C’est un signe typique pour une grossesse de la trop longue durée.
Je demande à la mère si leur grossesse a duré trop longuement. La mère dit non: le bébé a été né exactement un jour avant la date que le gynécologue avait calculé.
Mais en regardant le nouveau-né, je crois quand même que la grossesse a duré trop longuement. Maintenant, la femme sourit: « Alors, après mon sentiment, j’ai attendu la naissance déjà deux semaines auparavant. Mais mon gynécologue a insisté que la date correcte de la naissance était deux semaines plus tard. Et moi, je n’en ai pas pensé moins et l’ai fait rester dans sa créance! Mais vous avez droit: La grossesse a vraiment duré trop longuement! »