142 L’abus d’une drogue:
Cette histoire suivante n’est pas marrante! Il est possible qu’on voit quelque chose comme cela chaque jour dans un cabinet:
Alexander, un jeune homme de 16 ans, vient dans mon cabinet, parce qu’il souffre d’une bronchite. Il a de la fièvre, il tousse permanentement, la toux est douloureuse, et il souffre d’une expectoration jaune qu’a un goût amer. J’examine le malade et prescris des médicaments pour lui. Et je lui prie de revenir dans mon cabinet une semaine plus tard pour un contrôle.
Pendant l’examen, je remarque que le jeune homme a changé son caractère: Je connais l’homme comme très gentil, tranquille et réfléchi. Aujourd’hui, il se tient bizarre: il est très agité, toujours en mouvement, il évite pendant la conversation de me regarder. Sur la table, il se trouve un tetrapack du thé. Après l’examen,il prend ce tetrapack et boit ce thé très vite. À côté du lavabo, il se trouve 4 autres tetrapacks qu’il a déjà bu. Après avoir bu le cinquième tetrapack, il me demande quelque chose à boire. La situation est très bizarre. « As-tu peut-être pris des drogues? » demandé-je le garçon, « tu es complètement modifié, aujourd’hui! » Une question niaise! « Non! » répond le garçon, « je ne prend jamais des drogues! »
Moi, je suis convaincu qu’il a pris des drogues. Mais comment peux-je prouver ce fait? Maintenant, j’arnaque le garçon! Je dis à lui: « Si tu as une telle grande soif, il te faut pisser beaucoup, n’est-ce pas? » - « Oui! » dit-il, « je dois aller aux toilettes souvent! » - « Mais, si la situation est comme ça, il est possible que tu souffres d’une nouvelle manifestation d’un diabète. Je connais plusieurs jeunes qui souffrent d’un diabète, et ils commençaient avec grande soif et une grande quantité d’urine. Il est très nécessaire que je contrôle ton urine pour reconnaître ce fait en temps! Peux-tu me donner un peu d’urine? » Il est d’accord. Quelques minutes plus tard, il donne un petit récipient avec urine à mon employée. Je contrôle l’urine: Pas de sucre, pas d’acétone, ce sont les signes d’un diabète. Le jeune homme sort et rentre à la maison. Mais j’envoye son urine au laboratoire et demande un screening contre les drogues. Deux jours plus tard, je reçois le résultat: plusieurs drogues étaient trouvé dans l’urine.
Alexander revient dans mon cabinet une semaine plus tard. Il est guéri de sa bronchite et il se sent bien. Après l’examen, je lui demande: « Alexander, quand tu est venu chez moi la dernière fois, je remarquais que tu étais un peu bizarre! As-tu pris des drogues à l’époque? » - « Non! » répond-il, « non, je ne prends jamais des drogues! » - « Mais, c’est un peu bizarre! » dis-je, « tu m’as donné un peu d’urine pour exclure un diabète. Cette urine j’ai envoyé au laboratoire, et là, on a trouvé ce résultat: » Et je le montre l’analyse de son urine. Maintenant, Alexander est très effrayé, il reçois très grands yeux. « Oui! » il avoue, « j’ai rencontré quelques amis un soir, et nous avons essayé plusieurs drogues pour connaître l’effet! » - « Cela est très dangereux, et de plus interdit! » réponds-je. "300 mètres d’ici, il y a une association d’aide pour les drogués. Tu iras là-bas et cherches contact avec les gens qui tu rencontreras. Aujourd’hui, nous sommes le lundi. Le vendredi, je téléphonerai à cette association et demanderai, si tu es venu. S’ils diront oui, tout est bien. S’ils diront non, j’informerai tes parents.
Le vendredi, je téléphone à l’association. Les gens là ne veulent rien dire, ils se référent à son secret professionnel. « Je le connais! » dis-je, « mais je veux seulement savoir si Alexander est venu ou non! » - « Oui! » dit la femme, « il est venu, et ils ont parlé beaucoup avec lui. »
Alexander n’a pas perdu ma confiance. Il venait plusieurs fois dans mon cabinet plus tard. Un jour, j’ai dû dire à lui, qu’il doit sortir de mon cabinet et trouver un autre médecin pour lui, parce qu’il était déjà 19 ans, et moi comme pédiatre n’a plus la licence de lui traiter.
Grand-Père