peut-être Sonka… tu ne le dis pas dans ta région ??? ou bien est-ce que les Lyonnais font moins la faute que les bordelais ??? (chose possible après tout… la disparité du niveau de français en France est bien connue ! )
Non, je pense qu’il y a autant de fautes chez nous, mais si on reprend, on dit juste « on va chez le docteur et pas au docteur ».
Mais je voulais juste dire que d’une manière générale, le parler du Sud-Ouest est plus imagé et intègre plus volontiers des mots considérés comme grossiers ailleurs (et moins grossiers dans le SO) : taing, con, couillon, etc.
oui c’est vrai que certains mots comme « couillon » n’ont aucun caractère vulgaire dans le sud-Ouest… un couillon c’est un imbécile qui fait exprès de faire l’imbécile.
et si on le « verbalise »… dans le genre « je me suis fait couillonner »… ça veut dire que je me suis fait bêtement avoir…
Pour ma part, le mot « con » est vraiment une grossièreté… Si je dis de quelqu’un qu’il est con, c’est que c’est une personne que je ne peux vraiment pas me voir, même en peinture…
Par contre, à Toulouse, le mot « con » finit généralement toutes les phrases, du genre « tu vas bien con , » « il fait beau con »…
et il est vrai que chaque région a ce genre de petit mot typique… MOn « couillon » à moi, c’est le « boubourse » des Ch’ti
Pauvre Grand-Père… il va apprendre les mots familiers, avant les bons mots de la langue française
Francfort: Deux garçons de Francfort sont arrachés de l’école maternelle et se sont mis en route vers Majorque. Le voyage des petits bonhommes d’un âge de 5 et 6 ans finissait à la gare centrale de Francfort. La préfecture de police informait le mardi que la police à Francfort trouvait l’argumentation des deux garçons tout plausible: Le sable à la plage de Majorque était plus beau que le sable dans l’école maternelle à Sossenheim (une banlieue de la ville Francfort). Lundi l’après-midi, ils ont grimpé sur la clôture de l’école maternelle, au début, ils ont pris le bus et ensuite le train de banlieue. Leur destination était l’aéroport de Francfort. Le « manque de fiabilité » du train a dérangé les plans du voyage - les deux garçons s’échouaient à la gare centrale où ils attiraient l’attention du service de sécurité.
Beaucoup de mes petits patients sont turcs. Beaucoup de mes patients turcs m’appellent « dede », et aussi quelques mères turques utilisent ce mot. Le mot turc « dede », c’est « grand-père » en français! Si tus regardes le photo dans mon posting de 10 juillet, tu comprends qu’ils ont peut-être raison!
Une mère libanaise et sa fille de 5 ans viennent dans mon cabinet, car la fille a pris froid. La famille habite en Allemagne déjà depuis longtemps, la fille va à l’école maternelle et connaît nos coutumes et nos habitudes. Elle parle allemand couramment.
J’examine la fille. Après l’examen, je parle avec la mère de la maladie de sa fille.
Mon employée qui écrit le résultat de mon examen dans l’ordinateur, elle est assise au bureau et attend mes ordres. Elle a joint ses mains. La fille le voit et sourit: « Pourquoi as-tu joint tes mains? » demande-t-elle à mon employée. « Nous sommes ici dans un cabinet médical, maintenant, mais pas dans l’église! Veux-tu vraiment prier Dieu ici? »
Une mère et sa fille de 6 ans viennent dans mon cabinet. Après l’examen, j’écris un transfert à l’hôpital et prie la mère d’aller avec sa fille chez un médecin spécialiste. La fille prend le formulaire et le regarde. « Qu’est-ce que c’est? » demande-t-elle à moi et montre sur le coin du transfert à droite en bas. « C’est mon tampon de médecin et ma signature! » réponds-je.
« Comment? » dit la fille, « tu écris tellement grave? Moi, j’ai une plus belle écriture! »
Tu as raison, Kissou!
La fille n’a pas pu lire ma signature, bien qu’elle n’était vraiment pas illisible. Mais une fille de 6 ans va à la première classe dans l’école et n’a pas assez d’exercice de lire l’écriture des adultes.
J’ai examiné une fille de 5 ans dans mon cabinet. Elle est très dynamique et rit beaucoup. Après l’examen, sa mère l’aide de s’habiller. Son pullover est assez étroit, il est difficile de tirer le pullover sur sa tête. Après avoir s’habillé, les cheveux de la fille sont complètement ébouriffés. La fille saute du divan et veut partir.
Je donne ma main à la mère et dis « Au revoir! » Je veux aussi donner ma main à la fille, mais elle veut seulement partir et va à la porte. Je caresse sa tête un peu et dis « Au revoir, Simone! » Mais elle est en colère: « Eih! » dit-elle, « tu détruis ma coiffure! »