Le mot « saloperie » est très fort , comme l’a dit Sonka.
Par contre , en parlant du SIDA ’ en allemand ;AIDS , on peut parler (au sens figuré , de « saloperie ».)
"Il s’ est chopé une saloperie (irgendeine heimtückische Krankheit ) "
Deux garçons, Frederic et Pierre, sont assis sur la table en attendant l’examen pour une vaccination. Tout à coup, on écoute un petit bruit. La mère regarde les fils avec une mine sévère. « Na, na, na! » dit-elle.
Frederic, le garçon le plus âgé sourit:
« À la maison, tu pètes aussi de temps en temps, n’est-ce pas, Maman? »
Moritz, un garçon de 7 ans, a joué football.
Tout à coup, il a tombé.
Malheureusement, il a tombé avec son genou dans un morceau de verre.
Il a reçu une entaille dans son genou.
Sa mère l’a amené chez le chirurgien qui a recousu l’entaille.
Entretemps, l’entaille a bien guéri.
Il faut enlever les fils.
La mère connaît très bien un vétérinaire qui habite dans son voisinage.
Elle croît qu’il pourrait enlever les fils,
car il peut aussi opérer les chats et les chiens dans son cabinet,
et après quelques jours, il peut enlever les fils chez les animaux.
Elle croît qu’il serait plus confortable de le demander,
car il est plus qu’un kilomètre entre son appartement et mon cabinet.
Mais, Moritz n’a absolumment pas été d’accord.
« Non! » a-t-il dit.« Ma peau n’est pas le pelage d’un chat!
C’est une grande différence!
Moi, je vais seulement chez mon pédiatre pour laisser enlever les fils!
Il a beaucoup d’expérience avec la peau d’un garçon.
Je désire qu’il enlève les fils de mon entaille! »
Il n’a pas été un problème d’enlever les fils.
Moritz et sa mère ont sorti mon cabinet et sont été très contents!
Mon ordination est finie. Je sors de mon cabinet et vais à la maison.
En route, je m’approche un passage clouté.
Il n’y a pas de circulation dans cette rue.
Je remarque un garçon de 6 ans en attendant sur le trottoir au passage clouté.
Je le connais bien: Il est Manuel, un patient dans mon cabinet.
Quand je suis presque arrivé au passage clouté, le garçon tend son bras au dehors
pour me montrer qu’il veut traverser la rue.
J’arrête tout de suite. Manuel traverse la rue sur le passage clouté.
« Eh! Manuel! » dis-je. « Il n’y a pas du tout de circulation, ici! Pourquoi, tu n’as pas traversé la rue, auparavant? »
« Bien! » répond Manuel. « Dans l’école, nous avons appris qu’il nous faut tendre au dehors le bras, si nous voulons traverser!
Mais, aucune voiture est roulée, ici! J’ai déjà attendu pour 10 minutes - et vous avez été le seul qui j’ai pouvais arrêter! »
Bonjour Grand Père ,
content de te retrouver .
Petite correction ; qu’entends - tu par « ordination » ?
Ordination , pour nous , Français , c’est "Priesterweihe ".
Tu veux sans doute dire : "ordonnance = Rezept "
Moi aussi, GrandPère je suis vraiment très heureuse de te retrouver sur notre forum. D’autant plus que je viens de passer quelques jours à Tübingen où j’ai aussi des amis et à Stuttgart où j’ai trouvé un excellent livre audio sur les contes d’Andersen pour une bouchée de pain. Et j’avoue, j’avais un petit pincement au coeur
Une mère me présente son nouveau-né dans mon cabinet.
Le frère de 5 ans les accompagne.
J’entre dans la salle de traitement.
Tout de suite, le garçon demande: « Docteur! Je veux un chewing-gum! »
« Je n’ai aucun! » réponds-je.
J’examine le petit bébé.
Pendant l’examen, le garçon répète: « Docteur! Je veux un chewing-gum! »
Encore une fois, je dis: « Désolé! Je n’ai aucun! »
Après l’examen, je consulte la mère.
La troisième fois, le garçon m’interrompe: « Docteur! Je veux un chewing-gum! »
Je réponds une troisième fois: « Je t’ai déjà dit: Je n’ai aucun chewing-gum! »
« Ah! » dit le garçon. « Maintenant, j’ai compris: Tu as mangés tous les chewing-gums tu-seul! »
Mon employée veut faire un examen avec un turc garçon de 4 ans.
Pour commencer la conversation, elle demande:
« Quel est ton nom, s’il te plaît »
Tout de suite, le garçon répond:
Je m’appelle « Mohammed Ali Fauler Hund » - « Mohammed Ali Chien Paresseux ».
La mère qui l’accompage, est éffarée.
« Mais, est-il vraiment ton nom? » demande mon employée.
« Oui! » dit le gamin, il s’adresse à sa mère:
« Souvent, tu m’appelles Mohammed Ali Chien Paresseux, n’est-ce pas? »
La mère rougit et secoue sa tête.
un garçon turc (postposé)
effarée (du fait des deux ff, pas besoin d’accent, le e se prononce automatiquement « éf ».
« Mais c’est vraiment ton nom ? »
Je la connaissais aussi avec le nom de famille « Lassdas » (laisse ça !).
Une mère me présente son nouveau-né dans mon cabinet.
La mère est médecin elle-même.
Après l’examen, je la donne quelques conseils.
« Confrère, pouvez-vous noter vos conseils pour moi? » elle me demande.
Je suis un peu étonné: « Mais, vous êtes docteur vous-même! Vous deviez déjà savoir le tout! »
« Vous avez raison! » répond la mère.
« Mais, je suis une jeune mère avec beaucoup de lait dans mon sein - et beaucoup de purée dans mon cerveau!
C’est normal après la naissance d’un petit bébé! Ce sont les hormones! »
Accroche toi Grand Père car cette fois, c’est la méchante Valdok qui va corriger ton message :
Après l’examen, je la donne quelques conseils.
========== Je lui donne
« Confrère, pouvez-vous noter vos conseils pour moi? »
elle me demande.
=========== me demande-telle
Je suis un peu étonné: « Mais, vous êtes docteur vous-même! Vous deviez déjà savoir le tout! »
================= vous devriez donc déjà tout savoir. « vous deviez déjà tout savoir », c’était déjà bien et « le tout » c’est aussi tout à fait acceptable.
Mais bon, je suis la méchante Valdok Allgood.
Bravo M’sieur, rien à rajouter …
Ah si, si tu publies un bouquin en français de toutes anecdotes, tiens nous au courant
Un petit truc que j’ai souvent noté. Les rôles dans la société sont inconsciemment interchangeables . Bien qu’ayant été une prof rigoureuse, je me suis souvent conduite en une étudiante étourdie bien que très désireuse de bien faire (comme cette jeune femme avec son bébé), lorsque j’ai repris mes études.
Alors, l’inquiétude de toute jeune maman de cette jeune femme, je peux la comprendre facilement.
D’ailleurs: Je ne comprends toi comme méchante!
Mais, je suis très reconnaissant pour tous les corretions de mes textes, car je n’ai pas un professeur qui me corrige!
Quant à la publication de mes anecdotes: je n’ai pas prévu de publier les anecdotes, particulièrement pas en français.
J’ai seulement donné quelques textes en allemand à autres confrères.
Ce que j’aime très bien dans la dernière anecdote:
« Beaucoup de lait dans ma sein - et beaucoup de purée dans mon cerveau! »
====Tu dis aussi que tu ne comprends pas en quoi je serais méchante envers toi.
C’est vrai méchante, avec une personne comme toi, c’est franchement impossible. Juste une plaisanterie… que j’aurais fait à un francophone de langue maternelle, respectueux de sa propre langue. Je voulais te la faire car tu es vraiment proche de ce niveau.
===Purée dans le cerveau et lait dans le sein, je trouve aussi l’image succulente. Quelle est ton inspiration ???
Aurais-je laissé passer cette petite faute Mon sein et non « ma sein ».
Aussi curieux que cela puisse paraître, en français les parties du corps typiquement féminines sont du genre masculin.
C’est pas vraiment orthodoxe mais c’est le seul moyen mnémotechnique que j’ai trouvé pour que tu t’en souviennes (Oh là là)
==== Dommage que tu n’aies prévu aucune publication. Cela aurait fait un livre bilingue croustillant à lire pour tous les amoureux de l’allemand et du français… Alors ?
« Me demande-t-elle », Valdok, pas « telle », qui n’aurait aucun sens.
@ Grand-Père: le « t » ajouté dans le cas de l’inversion du pronom personnel n’a aucune signification en soi, il est juste là pour faciliter la prononciation, en faisant une liaison pour éviter le heurt de deux voyelles.
« Dit-il, dit-elle », « me demande-t-il, me demande-t-elle ».