Voilà, désolée, je me contente de corriger, si tu veux des explications sur certains points, il faudra demander aux autres… Moi j’ai du mal avec ça… C’est pour ça que je n’ai jamais voulu faire prof ! 
Merci beaucoup, Victoria!
Je suis très content avec ta correction.
Grand-Père
22 La louve de Rome:
Connaissez-vous la louve de Rome qui a allaité Remus et Romulus, les fondeurs de la ville Rome?
La histoire suivante s’était passé dans les années 80. À cette temps, j’avait travaillé dans l’hôpital comme pédiatre:
Un soir, une famille turque est arrivée dans l’hôpital. Mustafa, un garçon de 3 ans, avait tombé l’escalier à la maison. Au début, on avait examiné le fils aux urgences. On avait diagnostiqué une fracture du crâne et une commotion cérébrale. Le garçon a été hospitalisé. Ce soir, il a été ma tâche d’accueillir l’enfant dans le service pédriatric. Il me fallait placer une perfusion chez le petit. La chambre a été sombre pendant la nuit. Un phare a seulement éclairé le lit avec le garçon. Au côté droite, j’ai installé la perfusion, une infirmière m’a assisté. Au côté gauche, la mère turque s’est inclinée pour observer mon travail. Elle m’a demandé si elle pourrait rester à l’hôpital chez son fils, mais, malheureusement, le service a été complet.
Le père turc a resté dans l’ombre pendant mon travail. Il a eu une mauvaise mine. Sa peau a été très pâle. Tout à coup, il a tombé. Un infirmier est venu et l’a accompagné aux urgences. La mère est bondi: « Où est mon mari? » a-t-elle crié et elle a poursuivi l’infirmier et son mari.
L’enfant a reçu sa perfusion. Plus tard, les infirmières ont apporté un autre lit et poussé le fils dans une autre chambre. Là, deux autres enfants ont déjà dormi. Mustafa s’est couché sur le dos dans le lit et il n’a pas eu le droit de redresser à cause de la fracture de crâne. Pour empecher une chute du lit, les infirmières ont fixé des treillages sur tous le deux côtés de son lit.
Le lendemain, je suis revenu dans le service pédiatric. L’infirmière de garde m’a raconté que la mère turque avait été hospitalisée comme accompagnée pour son fils. J’ai été étonné: « Ce n’est pas possible! » ai-je dit. « Nous sommes complets et n’ont pas de place assez! » « Mais oui! » l’infirmière m’a répondu, « nous avons placé un quatrième lit dans la chambre. Maintenant, là, il n’est plus possible de bouger! » « Mais pourquoi la mère a insisté d’accompagner son fils? » ai-je demandé l’infirmière. « Elle allaite son fils encore! » a-t-elle répondu. « Son fils de 3 ans? C’est étrange! Mais comment peut-elle allaiter son fils qui doit se coucher sur le dos et ne doit pas s’élever? » ai-je demandé l’infirmière. « Suivrez-moi! » a-t-elle dit. Nous sommes entrés dans la chambre. Maintenant, j’ai vu « la louve de Rome »: Mustafa s’est couché sur le dos dans son lit. La mère a penché sur le treillage avec ses grands seins nus et allaité le garçon.
Grand-Père
Wow, jolie histoire ! 
Tu trouves ca joli? Moi, je trouve ca répugnant. Ce n’est ni bon pour la santé ni bon pour le développement de l’enfant. mais il y a des mères qui ne reculent de rien pour s’attacher leurs enfants. Beurk!
Heeeeeee moi aussi je trouve ça gore !
Ca me fait penser à un épisode de Desperate Housewives, où une collègue de Lynette allaitait encore son gamin car comme ça elle n’avait pas besoin de faire de régime, l’allaitement lui faisait garder son poids optimal…
Ce n’est que ton opinion, cri-zi, et il y a plein de gens qui pensent le contraire… Et qui le prouvent 
bien que n’étant pas une adepte de l’allaitement, et bien que ce ne soit pas le sujet de ce topic, je rejoins l’avis de Sonka, l’histoire est belle !!! c’est simplement l’histoire d’une maman qui … ne renonce pas à donner de la nourriture à son enfant, sous prétexte qu’il est à l’hôpital et qu’il ne peut pas têter correctement !
c’est une mère dans toute sa splendeur !!
En plus… il faut relativiser, Grand-père nous parle des années 80 dans un hôpital et d’une famille Turque… il ne faudrait pas oublier les grands principes que nous avions dans ses années là… et encore plus… vraisemblablement en Turquie !!! Cette famille Turque immigrée en Allemagne, avait sans doute gardé certains principes… et c’est pour cette raison que la maman allaitait encore son enfant…
quant à savoir s’il faut allaiter ou pas un enfant, et s’il faut le faire pendant 3 mois, 6 mois, 1 an… je pense que ce n’est qu’une décision qui revient aux parents… et pas… aux… étrangers à la famille .)
NB pour Cri-zi : le bénéfice de l’allaitement maternel a été démontré maintes et maintes fois, et le fait qu’un enfant de 3 ans tête encore sa mère, est très fréquent dans les pays Africains par exemple !
C’est très intéressant quelle discussion on a commencé après ma histoire dernière! Comme pédiatre, je recommande aux mères d’allaiter leur bébé si longtemps comme possible. Si possible, les mères doivent allaiter exclusivement pour 6 mois. Ensuite, ils peuvent continuer d’allaiter, mais doivent établir autres alimentaires comme des légumes, des fruits, une purée. À cette façon, la plupart d’enfants reçoit le lait maternelle pendant la première année de vie. Quelques mères ont beaucoup de lait maternelle et peuvent continuer d’allaiter son bébé. Pour moi, il est étrange, si une mère allaite encore son enfant de 3 ans, mais je ne peux pas dire que cela soit repugnant! Cela montre une relation spéciale entre la mère et son enfant. On peut l’observer comme bien ou mal.
Grand-Père
23 La candidature:
J’ai deux employées qui travaillent dans mon cabinet. En outre, une élève reçoit sa formation chez moi. En automne, beaucoup d’élèves qui vont aux collèges dans notre ville, m’envoient leur candidature pour une formation chez moi. Ils veulent commencer la formation l’année prochaine.
Un jour, j’ai reçu une lettre d’une jeune femme qui a voulu passer sa formation dans mon cabinet. Elle m’a écrit qu’il a été leur plus grande désir déjà depuis longtemps de faire sa formation chez un vétérinaire. Elle aime bien les animaux. Et c’est pourquoi, elle m’a envoyé sa candidature.
Évidemment, c’était une grande erreur! J’ai écrit la réponse suivante à lui: « Quelquefois, une mouche bleue s’égare dans mon cabinet. Je la deteste et prends le tue-mouches et l’assomme tout de suite. Quelquefois, une petite araignée court sur le mur dans mon cabinet. Je l’attrape avec un verre et l’apporte au dehors. Quelquefois, je trouve des poux dans les cheveux de mes malades. Je prescris un poison qui tue les poux tout de suite! - Voulez-vous vraiment commencer de travailler chez un homme si cruel envers les animaux? »
J’ai envoyé la lettre à la fille. Jamais, je n’ai reçu quelque réponce.
Grand-Père
24 Le coussin spécial:
Colin, un gamin de 6 ans, vient avec sa mère dans mon cabinet, parce qu’il souffre d’une grippe: Il tousse violemment, il a du rhume et de la grande fièvre. J’examine le garçon qui se couche apathiquement sur le divan. Après l’examen, il se redresse et s’accroche très fatiguément au bras de sa mère.
La mère me raconte que Colin était déjà malade depuis 3 jours. Hier, elle a emmené Colin chez le docteur scolaire pour un examen de la scolarisaton. La mère avait téléphoné l’administration scolaire et prié de recevoir un autre rendez-vous pour cet examen, car Colin avait déjà souffert de la grande fièvre. Mais, on la n’a pas donné son accord. Pendant l’examen scolaire, il a été très difficile pour Colin de concentrer sur les tâches qu’il a reçu. À la fin, le docteur n’était pas content avec Colin, et il a critiqué le manque de la concentration.
Pendant la plainte de la mère, Colin s’accroche très fatiguément au bras de la mère. On a l’impression, qu’il s’est endormi. Mais tout à coup, il se redresse et est très éveillé: Il-même veut raconter quelque chose. Mais la mère parle toujours. Il interrompe la conversation entre sa mère et moi et me dit: « Docteur! Quand nous sommes fini ici, ma mère et moi, nous irons dans une magasin pour la bimbeloterie. Là, nous achèterons un coussin spécial: un coussin de pet! À la maison, on souffle un peu d’air dans le coussin et le met sur une chaise. Si quelqu’un s’assied sur le coussin, il fait quelque chose comme …! » Et Colin fait un bruit indécent avec ses lèvres et rit effrontément. « Et si tu veux volontiers t’assieds sur ce coussin, voilà, je l’amènerai pour toi la prochaine fois! »
Grand-Père
25 Le shampooing contre les pous:
J’ai examiné Marie, une fille de 5 ans. J’ai prescrit quelques médicaments pour lui, et maintenant, je veux dire « Au revoir » à la fille et sa mère. Mais la mère me raconte vite:
Quelques semaines plus tôt, on a trouvé des pous dans les cheveux chez quelques enfants dans l’école maternelle. L’éducatrice a donné l’information aux parents. Elle a demandé que tous les parents examinent les cheveux de leur enfants. Et si l’examen était positif, les parents doivent présenter leur enfant chez le médecin.
La mère a examiné les cheveux de Marie, mais elle n’a rien trouvé. Mais pour être totalement sûr, elle est allée à la pharmacie et a acheté un shampooing contre les pous. Elle a utilisé cela deux fois chez sa fille pour mortifier quelques pous qui elle éventuellement n’a pas vu.
Quelques jours plus tard, la famille est allée dans la piscine couverte. Là, ils ont rencontré une autre famille dont ils sont lié d’amitié. Après le séjour dans la piscine, la mère a envoyé Marie dans une cabine de douche. Tout le monde a séjourné dans la salle de douches. Tout à coup, on a écouté la voix de Marie: « Maman! Maman! Mais où est mon shampooing contre les pous? »
Grand-Père
scapa via de la douche 
26 Le Petit Chaperon rouge:
Madame Huber me présente sa fille Lara qui a 2 ans, parce qu’elle a pris froid. La fille est très anxieuse pendant l’examen et crie sans interruption. La mère veut volontiers distraire la fille. Ainsi, elle dit à sa fille:
« Vois! Le docteur a des grandes oreilles! » La fille voit vers mon oreille à droite, mais elle crie toujours. La mère dit: « Vois aussi l’autre oreille du docteur! Il a des grandes oreilles! » Lara continue de crier.
La mère dit: « Vois! Le docteur a aussi des grands yeux! » Lara regarde mes yeux et crie toujours.
La mère dit: « Lara, vois! Le docteur a un grand nez! »
Maintenant, je crois, il est le temps pour interrompre cette énumération! Je m’adresse vers la mère et lui dis: "Madame Huber! Voulez-vous arrêter cette énumération, s’il vous plaît? Moi, je ne suis pas le loup du conte « Le Petit Chaperon rouge! Si vous continuez, votre fille craindra que je veux la manger! »
La mère taît tout de suite. Maintenant, elle ne retrouve rien!
Grand-Père
crie sans interruption.
=> elle crie ou elle pleure ?
La mère veut volontiers distraire la fille.
=> möchte gern: voudrait bien, essaie de
"Vois!
=> regarde!
Le docteur a des grandes oreilles!"
=> de grandes oreilles (des verliert meistens sein -s vor Adjektiv)
La fille voit vers mon oreille à droite,
=> regarde en direction de, tourne son regard vers
Maintenant, je crois, il est le temps pour interrompre
=> le temps est venu d’interrompre, il est temps d’interrompre
Je m’adresse vers la mère
=> m’adresse à la mère
votre fille craindra que je veux la manger!"
=> craindra que je veuille la manger, finira par avoir peur que je la mange
La mère taît tout de suite.
=> se tait (il faudrait en fait un passé simple, se tut, mais c’est littéraire)
Maintenant, elle ne retrouve rien!
=> elle ne trouve plus rien (à dire)
=> les poux
Grand-Père, il y a en français 7 mots en -ou qui font leur pluriel en -oux :
pou
hibou
chou
genou
bijou
caillou
joujou
(même nous les Français sommes obligés d’apprendre par cœur la liste à l’école ! )
Merveilleuse liste! On pourrait en faire une belle histoire pour enfants!
Robert Desnos en a fait un poème :
Ce sont les mères des hiboux
Qui désiraient chercher les poux
De leurs enfants, leurs petits choux,
En les tenant sur les genoux.
Leurs yeux d’or valent des bijoux
Leur bec est dur comme cailloux,
Ils sont doux comme des joujoux,
Mais aux hiboux point de genoux !
Votre histoire se passait où ?
Chez les Zoulous ? Les Andalous ?
Ou dans la cabane bambou ?
A Moscou ? Ou à Tombouctou ?
En Anjou ou dans le Poitou ?
Au Pérou ou chez les Mandchous ?
Hou ! Hou !
Pas du tout, c’était chez les fous.
Merci beaucoup, Elie et Sonka, pour la correction!
C’est très gentil de vous!
Grand-Père
27 La verrue:
Isabelle, une fille de 8 ans, vient dans mon cabinet, parce qu’elle souffre d’une grande verrue à la plante du pied. Je commence de soigner la verrue avec une teinture.
Pendant cette procédure la mère me raconte: "Au printemps, Isabelle a souffert de treize verrues à cette plante du pied. Elle a eu de grandes douleurs et n’a plus pu marcher. En été, ma famille a passé les vacances chez les parents au Portugal. Ma belle-mère m’a proposé de participer à un pèlerinage sur une chapelle, où on a pu adorer la Sainte-Fatima. Sur le chemin en direction de la chapelle, on a eu l’occasion d’acheter quelque chose, qu’on a pu donner à la Sainte-Fatima. Nous avons décidé d’acheter un bouquet de douze roses. Dans la chapelle nous avons donné le bouquet à la Sainte-Fatima et avons prié qu’elle doive guérir les verrues d’Isabelle.
À la fin des vacances, tout à coup douze verrues sont disparus!" « Ah! » je l’ai répondu, « je crois que vous auriez acheté un bouquet de treize roses! Ainsi, tous les verrues auraient disparu pendant vos vacances, Madame! »
Grand-Père