L'amitié franco-allemande, quelle réalité ?

Derrière le discours de l’amitié franco-allemande, quelle réalité?

(Auteur : Claire Demesmay, Visions franco-allemandes, n°1, octobre 2004 ; Cerfa)

60 ans après le débarquement, Allemands et Français s’apprécient : dans les deux pays, la vision de l’autre est fortement positive ; les contacts bilatéraux sont nombreux.

Cependant, se connaissent-ils réellement ? Sont-ils vraiment à même de mener un dialogue qui ne soit pas seulement une suite de malentendus ? Voilà qui est moins sûr. L’image qu’ils ont les uns des autres, est par certains égards stéréotypée et reflète une profonde méconnaissance.

L’image de la France en Allemagne ressemble plutôt à une carte postale touristique. Celle de l’Allemagne en France est terne et floue, marquée par un certain désintérêt. Cette méconnaissance est source de malentendus plus ou moins profonds, plus ou moins dommageables. Le dialogue est donc parfois difficile. Cela ne veut pas dire qu’il n’a pas lieu d’être, bien au contraire.

Les « Visions franco-allemandes » dont voici la première publication se proposent d’éclairer les débats politiques dans les deux pays en vue précisément de contribuer à une meilleure connaissance mutuelle, et ainsi à la poursuite du rapprochement entre les deux peuples.

Texte intégral en ligne (pdf-316k) : ifri.org/files/Cerfa/visionsfa.pdf

Source :
www.ifri.org

en lisant Stéréotypée… j’ai pensé à une image que les allemands ont souvent de nous, car elle est encore très présente dans les livres d’apprentissage du Français…

C’est le Français typique pour eux… celui qui se balade dans les rues, avec sa baguette sous le bras, et son béret sur la tête !!!

les français ont quand même un peu changé depuis… :laughing: :laughing:

PS : je ne suis pas allée voir le lien pour l’instant… je suis au bureau actuellement :wink: :wink:

Merci Brett pour cette fabuleuse découverte :top:. Cet article est EX-CEL-LENT :clap: ! Et je pèse mes mots :smiley: !

Par son analyse, l’auteur explique vraiment bien la nature de notre relation et de la vision qu’on Français et Allemands l’un de l’autre.
En ce qui concerne la vision française de l’Allemagne, on se rend compte qu’il y a une méconnaissance profonde de la culture de notre voisin. Et pourtant, quand on y a vécu, on se rend compte qu’il y a de quoi « vibrer », visiter, s’amuser, s’instruire, déguster… et j’en passe !!

Comme quoi on a du boulot sur la planche pour faire découvrir les côtés sympas de l’Allemagne ^^ !

Il y a une question a laquelle personne ne m’a jamais repondu.

Pourquoi quand je dis : il faut que j’y aille j’ai un cours d’allemand à 18h30 la plupart font la grimace?

Je leurs ai posé la question si ils en avaient deja fait et 9/10 ils me repondent « non mais … non ca va. » en froncant les sourcils et la bouche.

C’est un comportement communs a la Fac ou je suis et je ne le comprends pas .
La seule fille qui a bien voulu me repondre sans detour a été : Tu sais moi l’Allemagne je me suis arreté avec mon livre d’histoire en 1945."

Je suis assez surpris de leurs réactions , quelles sont les votres ?

Avez vous deja eu ce genre de comportement ? :cry:

faudra t’y faire luluboss !!! :wink: :wink:

Ici dans le bordelais… j’y ai droit aussi… j’ai plus de cours depuis longtemps (quoi que… ça ne me ferait pas de mal !!! :stuck_out_tongue: ) mais quand je dis au détour d’une conversation :

« mais oui, je parle allemand »

J’ai droit à des visages qui ressemblent à ça :astonished: :astonished: ou ça… :open_mouth: ou ça :crazy: :wouaw: au choix… et après vient la question cruciale « Mais t’es folle !!! C’est vachement dur l’allemand » !!!

il y a longtemps que j’ai laissé tomber… :unamused:

Je suis content de voir que cette « trouvaille » vous plait ! :smiley: Voici une autre « trouvaille » assez intéressante (vous m’en direz des nouvelles :wink:) :

« Français-Allemands, un ménage sans curiosité, c’est ennuyeux »

(Auteur : Jutta Limbach, Le Monde, 22 janvier 2004)

Pour la présidente du Goethe Institut, organisme chargé de diffuser la langue allemande, « il nous faut concevoir un voisinage de la culture et de l’esprit ».

Berlin de notre correspondant

Professeur de droit, ex-ministre de la justice du Land de Berlin, ancienne présidente du tribunal fédéral constitutionnel, Jutta Limbach préside le conseil d’administration du Goethe Institut, organisme parapublic pour la diffusion de la culture et de la langue allemandes.

Les relations d’Etat à Etat entre la France et l’Allemagne étant excellentes, pourquoi les sociétés s’ignorent-elles ?

Nos citoyens voyagent dans chacun des deux pays, mais les relations entre nos deux peuples laissent encore à désirer. Beaucoup d’Allemands vont en France, s’installent à la plage, vont au restaurant, mais ils ont peu de contacts avec la population.

Les Français sont-ils inaccessibles ou les Allemands timides ?

Ce manque d’intérêt réciproque provient peut-être d’un trop bon voisinage. On vit bien, les uns à côté des autres, sans se poser de questions. On ne cherche plus à savoir ce qui nous différencie, ce qui est chez l’autre original et différent.

Les Français ne sont-ils pas intéressés par l’Allemagne ?

Vous nous trouvez ennuyeux. Peut-être ne savons-nous pas nous faire apprécier. Au sommet, il y a des contacts, mais à la base…

D’où l’importance de l’enseignement de la langue…

Dans tous les établissements scolaires allemands, la place du français a reculé. Et c’est vrai de la place de l’allemand en France. Notre objectif en France est de développer l’apprentissage de l’allemand, non pas comme première langue étrangère, ce qui est quasi irréalisable compte tenu de la place acquise par l’anglais, mais comme deuxième langue. Nous voulons que les Français abandonnent leur prévention à l’égard d’une langue qu’ils perçoivent comme difficile.

Par l’entremise des Instituts Goethe, nous enseignons l’allemand dans le monde entier, mais c’est avec notre voisin français que notre intérêt est le plus grand. La paix du monde et l’intérêt de l’Europe sont fondés sur ce socle d’un voisinage étroit avec la France. Surtout aujourd’hui, à la veille de l’élargissement.

Comment s’expliquer le désintérêt pour la langue de l’autre ?

Cela tient à l’essor de l’anglais. Dans les sciences, on ne communique plus qu’en anglais, dans une langue purement utilitaire. C’est d’ailleurs l’un de ses avantages : pas particulièrement esthétique, l’anglais paraît plus facile. Il faut être pragmatique. La généralisation de l’anglais est inévitable. Inutile de mener des combats d’arrière-garde pour faire revenir l’allemand ou le français à la première place. Il faut plutôt lutter pour le plurilinguisme, faire en sorte que nos langues soient bien placées en tant que deuxième langue étrangère.

Comment a évolué la « part de marché » de l’allemand ?

C’est variable selon les pays. En France, la part a baissé, comme elle a baissé en Grande-Bretagne. Mais nous augmentons en Chine, en Amérique du Sud, en Grèce. Et puis, ça marche encore bien en Europe centrale et en Europe de l’Est. Avant la chute du Mur, on y parlait allemand autant, sinon plus, qu’anglais. L’allemand a reculé quand tous ces pays ont compris que l’anglais était désormais la lingua franca. Mais ça regrimpe, notamment en Russie.

Les Français tiennent à la francophonie. L’Allemagne n’a pas ce désir de répandre sa langue.

Je pense que nous avons trop négligé ce problème, vraisemblablement parce que nous ne sommes pas assez conscients de notre propre valeur. Dans les conférences internationales, où il y a pourtant des interprètes, mes compatriotes interviennent en anglais au lieu d’utiliser leur langue maternelle. Je pense que cette discrétion renvoie à notre passé. Après 1945, évidemment, il fallait faire profil bas. Mais les temps ont changé et les Allemands doivent comprendre que l’allemand est la langue maternelle la plus parlée d’Europe : 100 millions de personnes l’utilisent. J’ai bon espoir que ce complexe sera dépassé. Cela n’a rien à voir avec le nationalisme ou la germanité.

Vous avez prévu des actions spécifiques en France.

Nous lançons une campagne en direction des écoles françaises pour montrer que les Allemands ne sont pas aussi ennuyeux qu’on le dit, que leur langue est adaptée aux sujets qui traitent du beau, du plaisir, qu’on peut avec elle développer des liens d’amitié ou d’amour.

Un ménage sans curiosité réciproque, c’est ennuyeux. Je pense qu’il nous faut concevoir un voisinage de la culture et de l’esprit, et pas seulement un voisinage de la politique et de l’économie.

Propos recueillis par Georges Marion

Source :
www.fplusd.de

C’est à ce detail là que l’Allemagne et la France ne s’entendront peu être jamais :cry:

Et c’est sur ce detail ou je regrette d’avoir fait mes etudes primaire et secondaires dans la langue de Molière.

Oui, ce sont des réactions très courantes, et j’imagine que c’est encore plus décuplé dans vos régions où l’allemand est plutôt minoritaire…
Mais moi je n’ai pas « laissé tomber ». Enfin, ça dépend avec qui, y’a des gens pour qui c’est sans espoir. Mais dans l’ensemble, je trouve que ça vaut le coup.

Déjà, j’ai fait changer mon mari d’avis (parce que quand je l’ai connu, c’était Allemands = fascistes). Mais avec le temps, pleins de copains allemands et un voyage là-bas, il a complètement changé d’avis et attend impatiemment d’y retourner (comme quoi, c’est bien une question d’ignorance !)
Ensuite, sur un forum sur les langues, donc très ouvert sur le monde, donc que je pensais être un public ouvert et sans préjugés, je me suis heurtée à des préjugés et j’ai défendu l’Allemagne et les Allemands bec et ongles ! J’ai eu droit à tout ce qu’on entend de coutume (mais que je ne pensais pas voir chez des jeunes ouverts d’esprit) : « l’allemand, c’est dur », « l’allemand ça sert à rien » :laughing: , « l’allemand, c’est moche » « d’ailleurs, la preuve : y’a pas de musique en allemand » :astonished: (c’est bien connu : si je ne connais pas, donc, ça n’existe pas !)

ETC !

Tout de suite, j’étais très dépitée parce que j’avais l’intention que tout ce que je pouvais dire ne faisait rien avancer, j’apportais des preuves concrètes (genre A+B), et on me répondait genre « non, je suis persuadé du contraire, parce que je le sais et c’est tout » :frowning:

Mais bon, maintenant, j’ai su qu’avec le temps, certaines personnes avaient changé au moins partiellement d’avis, donc je me dis que ça vaut toujours le coup de défendre ce qui doit être défendu !
Bien sûr, ça ne fait pas changer l’opinion publique en général, mais c’est déjà mieux que rien !

Sonka… Je suis d’accord avec toi, mais pour ma part… je me bats déjà assez contre mon frangin qui appelle les allemands « Des b…ches »… donc… je garde mes forces contre ce genre de vocabulaire… au détriment des personnes… que je pourrai faire changer d’avis…

Ah oui… au passage… mon frangin a fait 4 ans d’allemand quand même… mais ça n’a rien changé… :wink:

C’est rigolo car en vous lisant je me suis souvenu que lorsque la mère de mon épouse (sa mère est française) racontait à ses amis/amies que sa fille vit à l’étranger elle avait souvent droit à des regards qui en disent long… Exemple : Quand nous avons vécu en Amérique du nord (States et Canada), c’était soit une forme d’admiration (« sont sympa les québécois »), soit tout de suite du cynisme (« comment peut-on vivre chez les ricains »). Quand nous étions en Asie, c’était plutôt une forme d’incompréhension (« ça doit être dur d’abandonner le luxe et le confort de vie de l’Europe »)… :laughing: Et quand nous vivions en Allemagne, quasiment aucune personne ne demandait à en savoir/apprendre plus (« ah bon ? en Allemagne ? »… plus un mot dans la salle… silence général…). :laughing:

Je crois que ce genre d’anecdotes en disent très long sur le sujet ! :laughing:

ça me fait penser, brett… Quand on me demande « Ou vas-tu en vacances cette année »… et que je réponds « En allemagne, chez mes amis »… la réponse est toujours : "Mais tu vas te geler là-bas !!! " :laughing: :laughing:

bizarrement… je n’y vais pas pour le soleil… surtout en allemagne du Nord… mais ç’est la remarque que je me prends à chaque fois !! Et vu que je pars toujours en Août… je réponds donc « Mais non t’inquiètes, j’ai pris mes après-skis, mon duffle coat, et mon passe-montagne »… :wink: :wink:

c’est vraiment typiquement français… ce que l’on ne connait pas… est FORCEMENT nul !!!

ceci dit… il y a effectivement des années, en août, où je me suis gelée en allemagne… mais faut pas le dire (ici sur bordeaux y’a un micro-climat… :laughing: :laughing: )

ha c’est vrai que moi qui est fait mon armee à cazaux la teste (si je l’ecris bien) c’est pas pareil !!! :smiley:

Et de toute façon, les vacances, c’est FORCEMENT pour partir au soleil, n’est-ce pas ? (quel intérêt sinon d’avoir des vacances ?) :laughing:

Nous avons une amie qui habite maintenant dans le sud de la France, pas loin de Toulouse, et qui est venu passé quelques semaines à la maison il y a 2 ans, et aussi invraisemblable que cela puisse paraitre, mais elle a pris des coups de soleil chez nous. :laughing: Et pourtant, elle a l’habitude de bronzer ! Elle a une peau matte en plus. Et nous on était MDR quand on l’a vu rentré avec un bon coup de soleil. :laughing: Faut dire que dans certaines régions du sud de l’Allemagne, notamment les régions viticoles, le soleil peut taper fort en été. Et quand on ne connait pas, on a tendance à ne pas faire attention, à ne pas s’y attendre… Elle en tout cas se souviendra de son coup de soleil durant son séjour chez nous à la maison !!! :laughing: :laughing: Comme quoi : Allemagne = climat froid, ça n’est pas si vrai que ça… :wink:

Ben moi ça ne m’étonne pas car j’ai eu le même genre de comportement quand j’étais ado :blush: : en cours d’allemand on apprenait que des règles grammaticales et des mots de vocabulaires les uns à la suite des autres, et ce qu’on voyait du pays, ce n’étaient que les problèmes sociaux liès à la séparation Est-Ouest (eh ouais, c’était avant la réunification, ça nous rajeunit pas tout ça ^^!).

Du coup, l’allemand ne m’interessait pas du tout et j’ai même arrêté la langue en Terminale faute de bons résultats (la honte :blush:!).

Pourtant j’aimais bien les langues, en particulier l’anglais :smiley:! Faut dire que mes chanteurs préférés étaient anglais ou américains et j’étais impatient de comprendre ce qu’ils disaient dans leurs chansons, de pouvoir traduire les textes des Beatles, des Pink Floyd et compagnie :music:. L’apprentissage de la langue en cours était dès lors beaucoup plus motivant.

Lorsque je suis parti en Allemagne, j’ai fait le pari de découvrir une nouvelle culture et je n’ai pas été déçu ! Mais ce n’est qu’une fois arrivé là-bas que j’ai découvert tous les aspects de l’Allemagne qui m’ont motivé à mieux maitriser la langue.

Malheureusement pour nous autres Français, il est beaucoup plus facile d’avoir accès à la culture anglo-saxonne dans notre pays, en particulier par le biais de la musique et du cinéma, qu’à la culture allemande :frowning:.

Grâce à Arte :top: cette tendance s’inverse peu à peu mais y’a encore du boulot avant que nous connaissions aussi bien l’Allemagne et les Allemands que les US et les américains :confused:!

dans mon cas, la 2ème fois où je suis allée en allemagne, je ne savais toujours pas dire « Un couteau, une fourchette, une assiette »… mais je savais dire « Kriegdientsverweigerer » (Objecteur de conscience"…
D’accord… pour le placer dans une phrase c’est pas évident !! j’en conviens ! :laughing:

L’année où j’ai fais le plus de progrès, ce fut pour le mariage de mon amie. En effet, elle ne pouvait pas de servir constamment de traductrice, puisqu’elle était la Mariée… donc… je me suis débrouillée toute seule comme une grande… et c’est là que j’ai vraiment découvert la langue allemande ! :wink:

C’est très courant chez les gens qui n’y connaissent justement rien à l’histoire.
Quand des Danois me disent ça, je leur fait un petit cours sur le gouvernement danois de l’époque qui offrit les listes de communistes fichés sur un plateau d’argent à la gestapo. Direction les camps.

Quand des Néerlandais me disent ça, je leur rappelle (souvent, je le leur apprends…) que Anne Frank a été recherchée et arrêtée par leurs compatriotes, mise en camp de transfert au Pays-bas par leurs compatriotes, avant d’être mise dans un convoi pour l’Allemagne payé par leur Pays - alors que les Allemands ignoraient tout d’elle depuis sa fuite d’Allemagne.

Ça ne change rien à la réalité histoirique de l’Allemagne de l’époque, mais cela change beaucoup de choses sur la mémoire historique des autres pays. L’histoire, ça n’est utile que quand on la connait.

Les germanophobes sont souvent des gens qui ont fait le choix d’une vision du monde très atlantiste, ce sont souvent des défenseurs du tout-anglais (en tout cas en Scandinavie et aux Pays-Bas). Ils dénigrent les autres, Allemands et Français dans le même sac, pour donner de l’importance à leur choix personnel.

Le pied, c’est quand j’arrive à leur corriger leur anglais… ça, ça les vexe vraiment. :smiling_imp:

Je trouve ce qui différencie les FR des Allemands est uniquement la mentalité… Celle-ci crée un barrage inévitable même si il y a un apprentissage linguistique… Les FR sont latins dans l’âme et parfois l’all aura du mal à comprendre certains agissements et bien sûr vise et versa. En apprenant l’allemand, on fait un pas vers eux, mais on ne saura pas le comprendre sauf si il y a immersion dans le pays il me semble…

Compréhension du ADAC pour un francais, compréhension de repas de fêtes FR s’étalant sur 3-4 heures, pourquoi une pause de midi de 2 heures pour le FR, compréhension du FR à se ballader avec du Bargeld et non pas des chèques… etc.

ça c’est vrai !! Pourquoi se balader avec seulement du Bargeld (espèce !) c’est un truc qui me frappe encore !

Pour les repas de fête en Fr… s’étalant sur 3 ou 4 heures… le mariage que j’ai fait en allemagne… nous avons mangé à 19 h 00… pour redîner à une heure du mat… c’est pas mieux !! :laughing: :laughing:

dans le même style il y a :
Pourquoi les français ont école toute la journée ?? pourquoi les allemands n’ont école que le matin ?? C’est quoi une cantine !! (??? )

et il y en a plein d’autre comme ça… qui ne me viennent pas à l’idée en ce moment ! Le plus c’est quand il y a vraiment une incompréhension totale… parce que l’on fait vite d’un cas une généralité !

Je te rassure Kissou, il y a maintenant plus ce qu’on appelle les EC Karte pour payer : débité immédiatement de ton compte courant. Mais encore pour certains paiement, le Bargeld prime !