pourquoi sans le « meinen » ??
Parce que les vacances appartiennent à tout le monde, et pas seulement à toi. En français, tu dis aussi « J’ai besoin de vacances » (Ich bin urlaubsreif), et non pas « J’ai besoin de mes vacances ». Par contre, tu pourras employer le possessif « meinen » si tu dis à ton employeur que tu voudrais prendre le reste de tes congés : Ich möchte meinen Resturlaub nehmen. Ces jours de congés, ils n’appartiennent qu’à toi.
d’accord, merci à tous pour les explications !
encore moi …
j’ai besoin d’expliquer quelque chose à mon amie allemande, mais je voudrai d’abord savoir si c’est parlant
pour les allemands…
Je veux lui parler d’un enfant handicapé à 70 %…
En France, ce genre de phrase parle à tout le monde…
mais si je dis à mon amie « X est handicapé à 70 % », est-ce que cela parle à un allemand ??
ou bien ont-ils une autre échelle de valeur d’un handicap, qu’un pourcentage ??
dans ce cas, quelle échelle de valeur emploient-ils ?
Merci !
Bien sûr, tu peux dire que quelqu’un est 70 % körperbehindert (handicapé à 70 %.)
En lien , l’exemple d’une femme handicapée physique à 80 % qu’ un proprio veut virer de son appartement parce qu’elle possède un chien !
et ici, « Grad der Behinderung = degré de handicap. »
http://vdk.de/cgi-bin/cms.cgi?ID=de9216
Danke !
dans le fil blague, Kesseke a laissé celle-ci
je l’ai traduire pour être sûre de l’avoir comprise, et Michelmau confirme ma traduction…
MAIS…;
pourquoi la construction Kommt von hinten ein Igel HERAN…
pourquoi Heran ?
et dans la dernière phrase, je comprends le « sagt der der… » mais je ne me l’explique pas
le premier der correspond sans doute au hérisson mais le deuxième « der » correspond à quoi ?
Merci pour les explications ! et bon dimanche !
C’est une tournure fréquente dans les histoires drôles ; je dirais que ça correpond, en gros, à notre :"c’est un gars…(qui rentre dans un bistrot…) , c’est une blonde…(qui rencontre une copine…)
Heran indique l’idée de se rapprocher.
Le premier der a une valeur de démonstratif ; celui, et le second est un pronom relatif qui reprend de premier ; qui.
der, der : celui qui.
d’accord… er kommt heran… il arrive, il se rapproche (voilà pourquoi au début je pensais qu’il arrivait
d’en face, je ne connaissais pas la traduction d’heran et le sens à lui donner ! )
pour le der der… je me doutais bien qu’il devait y avoir une notion de démonstratif… mais ça dépasse
mon petit niveau !!
en tout cas la blague de Kesseke aura eu l’avantage de me faire cogiter un peu !
merci pour les explications Michelmau !
C’est juste le verbe von hinten herankommen, rien de particulier. Le sens premier, c’est « s’approcher », mais c’est vrai qu’on dirait plutôt « arriver » ou « entre dans le bar » en français. Par contre, il y a un der de trop, ce n’est pas une construction dans le sens « derjenige, der » puisqu’il n’y a pas de verbe pour faire un relative. Faute de frappe.
La construction particulière à la blague/anecdote, c’est le verbe en première position dans une simple phrase déclarative.
Le « der der » etait une faute (Tippfehler), un « der » est correct. Excusez-moi.
Je n’avais pas lu la phrase jusqu’au bout ! Mea culpa.
grrr… fichue particule séparable…;
j’ai un doute ce soir…
dans une phrase comme
jusqu’à ce que je commence à dormir…
j’aurai mis : bis ich schlafen anfängt
mais j’ai un doute, pas sur la phrase, je m’en moque mais sur la particule séparable de anfange,
bis ich schlafen fängt an ??
ou bien bis ich schlafen anfängt ?
j’aurai tendance à choisir la première phrase, mais j’ai un curieux doute…
merci de me remettre les neurones à niveau !
Bonne soirée !
la particule se met bien là où tu l’as mise, c’est à dire collée au verbe, car c’est une proposition relative. Dans une principale, il aurait fallu séparer les deux.
Bis ich zu schlafen anfange. mais ich fange an, zu schlafen.
Bis ich anfange zu schlafen
oder
Bis ich zu schlafen anfange
(ou simplement Bis ich einschlafe , mais bon, ce n’était pas la question…)
euh… miriam t’es sûre de toi ?? parce que Mislep donne l’inverse de ta première phrase…
(et j’aurai tendance à croire Mislep, juste parce que je le connais plus que toi… )
mais merci à vous deux pour la réponse !
+1 avec Miriam, les deux sont possibles.
Oui oui, Kissou, les deux sont possibles. Dans les deux cas « an » et « fange » ne sont pas séparés, c’est tout ce qui compte.
mais si la proposition de Miriam est bonne
Bis ich anfange zu schlafen
je n’en comprends pas la construction… POurquoi dans ce cas anfange n’est pas à la dernière place ?
ce n’est pas obligatoire avec « bis » de mettre le verbe à la dernière place ?
Il y a le choix, Kissou.
Soit faire compliqué en mettant anfange à la fin de la phrase, en imbriquant une ou plusieurs propositions infinitives, et si l’on veut mettre l’accent sur le commencement.
Ou bien considérer non pas la phrase, mais deux propositions, dont une infinitive. Dans ce cas, anfange est à la fin de la première proposition circonstancielle, et l’accent est mis sur zu schlafen.