20) Une nuitée à l’hôtel
Quelques années avant ma femme et moi avons fait une grande randonnée à vélo pendant deux semaines. Chaque jour nous sommes allés environ 100 kilomètres avec nos vélos électriques.
Un jour nous pédalions 130 kilomètres. C’était en été, le temps était bon, il était très chaud pendant la journée. Au soir nous arrivions dans une grande ville. Normalement nous cherchions l’office de tourisme pour demander une chambre libre à un hôtel. Malheureusement cette fois nous ne pouvions pas trouver l’office de tourisme dans cette grande ville.
Nous poussions nos vélos dans une rue secondaire dans la ville. Je voyais un poteau indicateur vers un hôtel. Quelques minutes plus tard j’entrais dans l’hôtel. Je rencontrais une jeune femme très gentille à la réception. « Non! Hélas toutes les chambres de cet hôtel sont occupées! » a répondu la jeune dame. Mais elle me recommandait de continuer dans la rue. Environ 600 mètres plus loin il y avait un autre hôtel. Il pourrait possible de trouver encore une chambre libre dans cet hôtel.
Un peu plus tard nous arrivions devant cet hôtel. Le grand bâtiment était très moderne: Toutes les façades construit en béton, beaucoup de grandes fenêtres, aucun ornement sur les murs, aucune fleur devant les fenêtres. Nous déposions nos vélos devant le bâtiment à côté de l’entrée. J’entrais dans la réception. Un jeune homme qui avait l’air de nous refuser, nous accueillait à la réception. Je demandais s’il avait encore une chambre libre pour nous. « Oui! » disait-il, "nous avons des chambres à trois catégories différentes: Une chambre « standard » coûte 145 euros, une chambre « business » coûte 165 euros, une chambre « de luxe » coûte 185 euros pour une nuit. Jusqu’à présent nous avions passé les nuits dans autres hôtels où nous avions payé environ 100 euros par nuit. Les prix pour les chambres de cet hôtel étaient très chers. Mais je pensais que nous étions arrivés dans une grande ville où les chambres toujours sont plus chers. J’étais d’accord de prendre une chambre « standard » pour cette nuit et payais le prix tout de suite.
Puis je demandais à l’homme où nous pourrions garer nos vélos pendant la nuit. Il me répondait que nous pourrions garer nos vélos devant l’hôtel où nous les avions garé actuellement. Je n’étais absolument pas d’accord. Premièrement ça n’avait pas fait une belle impression pour autres hôtes, s’ils avaient vu nos vélos sales à côté de l’entrée de cet hôtel. Deuxièmement il était possible que quelqu’un voudrait voler nos vélos pendant la nuit. L’homme réfléchissait un peu, puis il nous montrait un débarras dans une annexe où nous pouvions garer nos vélos dans un lieu fermé.
Puis nous cherchions la chambre que nous avions loué. Personne nous n’a accompagné. L’homme à la réception m’avait donné quelques brochures avec une information de la ville. De plus un papier avec la clé, une carte magnétique pour ouvrir la porte de la chambre. J’essayais quelques fois d’ouvrir la porte, finalement la petite lampe changeait en verte, j’ai pu ouvrir la porte. Nous entrions dans la chambre. À droite une grande armoire, les murs en béton sans décoration. La mur en face était une très grande fenêtre de sol à plafond, avec deux bandes étroites de rideaux à gauche et à droite. À gauche de la chambre un grand lit pour deux personnes avec des petites tables de nuit. À gauche à côté de la porte la cabine sanitaire, complètement construit en verre. Derrière de la cabine sanitaire une porte battante - comme dans les saloons dans les films de western. Derrière cette porte les toilettes. En face des toilettes un grand miroir; si on était assis aux toilettes, on s’est vu seul.
Après avoir pris cette chambre je voulais connecter nos chargeurs pour charger nos batteries vides de vélo. Mais il n’y avait pas d’électricité. Quoi faire? Ma femme découvrait qu’il était nécessaire de pousser la carte magnétique dans un interrupteur spécial à la porte pour recevoir l’électricité. C’était couronné de succès. Puis nous voulions allumer les lampes dans la chambre. Sur les tables de nuit il y avaient des interrupteurs complexes avec beaucoup de boutons. Mais quel bouton presser? Il n’y avait pas une information comment on pourrait utiliser ces interrupteurs. Nous essayions plusieurs fois; tout à coup les lampes ont allumé, mais simultanément les chargeurs ont perdu l’électricité. Après plusieurs tentatives nous avions succès: les lampes ont allumé, au même temps les chargeurs ont reçu l’électricité.
Plus tard ma femme prenait une douche. Moi, je recevais « l’occasion » de regarder cet événement, car les murs de la cabine sanitaire étaient fait de verre, il manquait un rideau. Plus tard le contraire: Ma femme regardait moi sous la douche. Nous voulions nous coucher et dormir. Mais beaucoup d’illumination de la rue tombait par la fenêtre. Les rideaux étaient trop mince pour fermer la grande fenêtre. Peu à peu nous endormions néanmoins.
Le lendemain nous nous levions. Je disais à ma femme: « Le prix pour cette chambre est très cher. C’est pourquoi j’attends que nous recevrons un très bon petit-déjeuner aujourd’hui! » Nous descendions dans la salle à manger. Beaucoup d’hôtes étaient assises et mangeaient leur petit-déjeuner. C’était vrai: L’offre pour le petit-déjeuner était formidable et très bon. - Quand nous mangions, nous entendions une conversation de deux hommes à une table voisine: L’homme racontait qu’il avait fermé le store électrique dans sa chambre pour dormir bien. Mais tout à coup au milieu de la nuit le store électrique s’est ouvert seul. L’homme avait pressé plusieurs boutons de son interrupteur, mais il n’avait pas réussi de refermer le store. C’est-à-dire: Non seulement nous, mais aussi autres hôtes de l’hôtel ont eu des problèmes avec les interrupteurs dans leur chambre.
Après le petit-déjeuner nous retournions dans notre chambre. Maintenant j’essayais encore une fois de changer quelque chose par ces interrupteurs. Vraiment: Tout à coup le store électrique de la fenêtre se fermait - nous n’avions pas connu ce store dans notre chambre. J’essayais l’interrupteur dans la cabine sanitaire: Un store électrique se fermait pour cacher la vue dans la douche. Nous n’avions pas connu ce fait.
Puis nous préparions notre bagage et quittions la chambre. À la réception assoyait une femme d’âge moyen. Je la donnait les clés de notre chambre et demandais si elle pourrait nous ouvrir le débarras où nous avions garé nos vélos. « Avez-vous mangé un bon petit-déjeuner? » elle demandait. Oui! « Et le petit-déjeuner était bon? » elle demandait. Oui, très bon! « Puis vous payez encore 30 euros pour le petit-déjeuner! » disait la femme. « Comment? Que voulez-vous dire? Nous avons déjà payé 145 euros hier! » - « C’est vrai! » répondait la femme. « Mais c’était seulement le prix pour votre chambre, mais pas pour le petit-déjeuner! » - « C’est vraiment impertinent! » je répondais. Mais je devais payer cela. Puis la femme nous donnait les clés pour le débarras pour emporter nos vélos.
Plus tard, retourné à la maison, j’ai écrit une lettre à la direction de l’hôtel et me plaint. Mais je n’ai jamais reçu une réponse.
Grand-Père