Pour quelles raisons êtes vous fans de l'Allemagne ?

Bon alors une seule année d’étude d’allemand au lycée, en première parce qu’il me fallait une troisième langue et que russe, bof bof ça m’enchantait pas. J’ai adoré cette année là, avec Frau Heller qui était une passionnée de la langue et a su transmettre son amour. Par contre deuxième année, une cata. Prof vraiment pas dynamique, ton monocorde et aucune envie de se prendre le chou à nous expliquer pourquoi on utilise ci ou ça. Bref ce que je sais encore, c’est de Frau Heller que je me le rappelle.

Beaucoup d’années plus tard, coup du sort, pur hasard ou destinée comme me le serine mon amour germanique, j’ai fait une boulette en m’inscrivant sur un nouveau jeu en ligne et j’ai atterri sur un serveur allemand. Bon quand j’ai percuté que vraiment y’avait beaucoup de germanophones, il était trop tard j’étais à un trop haut niveau pour recommencer de zéro. J’ai vite rencontré des anglophones, ça aide, mais bien sûr 90% du serveur parle allemand 100%. Et puis je rencontre Daniel, on joue très vite tout le temps ensemble, exclusivement, en anglais même si ça lui demande un effort terrible (merci teamspeak xD). Et bien sûr un jour on se rend compte très vite qu’on y passe nos nuits entières, à parler, que j’adore l’écouter parler en allemand avec les autres et que je me prends à vouloir comprendre. Et surtout, qu’on veut en savoir plus sur l’autre. Alors on décide de prendre le risque et de se rencontrer, dans la vraie vie. Et ça fait des étincelles. Coup de foudre. C’est ballot, ça parait bête, mais ça arrive. Très vite ça devient très sérieux, on cherche des façons de se rapprocher, parce que c’est trop dur de vivre si loin l’un de l’autre. ça passe par le fait pour l’un de nous de quitter son pays. ça sera moi. Parce qu’il aime définitivement trop l’Allemagne et pas du tout la France. (Mauvaises expériences). Et parce que j’avoue, moi aussi j’aime l’Allemagne. J’ai envie de voir ce que ça donne pour moi là bas. J’y ai déjà des amis, les siens bien sûr, mais certaines des copines de ses potes sont devenues les miennes. Et puis je me connais assez pour savoir que je retomberai toujours sur mes pattes niveau job. Et puis voilà. Rien de très original, ni de très transcendant. Juste que oui, ich habe lust ein Berliner auch zu bekommen, und mit ihn wohnen, veil er mein Schatz ist.

Alors je croise les doigts pour que tout se passe au mieux lors de mon prochain séjour en avril à Berlin et que je puisse emménager avec mon zhom comme je l’espère cet été sans aucun souci. Et vivre donc très prochainement sur un « Deutsche mode ».

Comment répondre clairement à cette question, sans en écrire des couches :smiley: ?
Alors moi, à la base, je n’étais pas du tout fan de l’Allemagne, des Allemands, etc. bien au contraire. Il faut dire, comme beaucoup de français, ma famille a souffert de la 2nde Guerre Mondiale, et la façon dont certain prof d’histoire relate cet évènement ainsi que la 1ere Guerre Mondiale n’est vraiment pas en la faveur de nos amis Outre Rhin. Difficile de se faire son propre avis quand on est petit et entouré d’adultes bourrés de préjugés.
J’ai fini par grandir et m’intéresser au sport (surtout le cyclisme :heart: ) et donc « connaître » des allemands. Je ne vous apprendrai rien en vous disant que je les ai découvert comme nous et non comme des « bêtes sauvages » si bien décrit par nos chers professeurs (certains :wink:). Puis, au passage, en plus d’être humain, ils étaient sacrément mignons ces Allemands :laughing: !
Donc j’ai commencé à m’intéresser au pays et j’ai du être sacrément patiente pour enfin commencer l’allemand (« parlé qu’en Allemagne, ça ne sert à rien etc. »). Après ça m’est apparu comme une évidence de partir vivre là depuis le temps que je souhaitais y aller!

Depuis presque 2 ans maintenant je rencontre beaucoup d’Allemands qui étudient en France pour une année et je suis partie un moi comme fille au-pair en Allemagne. En Septembre, j’y repars pour longtemps (définitivement peut être, difficile de dire où je serai dans 20 ans) et surtout, avec un copain allemand, difficile de ne pas aimer le pays et la langue :smiley: !

C’est toujours dur d’expliquer une passion…c’est à la fois irraisonné, mais pourtant construit sur de vrais bases, de vrais raisons,sinon cela ne durerait pas. C’est ,pour moi, cette proximité , la passion et de la raison qui s’entrèmelent, qui peut parfois être déstabilisante !! Pour ma part, il n’y a pas une raison mais plutôt une succession d’évenements.
Pour faire court, il y a 3 ans disons que j’était "total verliebt"du premier regard, d’un prof d’allemand, qui m’avait proposé une initiation à l’allemand. J’étais venu sans trop de préjugés, et quand j’ai entendu l’allemand dans sa bouche, c’est simple, j’ai fondu^^ ! Il y avait une sonorité, une délicatesse, une poésie, que je n’avais jamais entendu auparavant. J’avais fait une vraie « fixette » sur lui, et je venais de commencer à écouter du Rammstein, ce qui a je pense contribué à dévelloper un parallèle entre lui/rammstein, un imaginaire « germanique », une fascination (je l’imaginais très bien chanter Seeman ^^). Voila, c’était vraiment quelqu’un d’original, mais qui en fait correspond à un gros cliché : Birkenstock+chaussettes, manteaux cache-poussière, venait en vélo, jouait du hautbois, etc…Les cours d’initiation se sont arrétés, mais je continuait à penser à lui et à le croiser dans les couloirs. Un ami a continué à m’apprendre quelque mots d’allemands, moi qui ne savait absolument rien.Quand ce prof est parti à cause d’une mutation, je ne m’y attendais pas. L’allemand a pourtant continuer a me fasciner, même dans la bouche d’autres gens. Il y a, un coté « cérébral », rien qu’en écoutant , qui incite à réfléchir , pas comme l’espagnol qui glisse tout seul. Oui, une langue « cérébrale », c’est vraiment l’effet que çela me faisait. J’ai pourtant mis l’allemand et l’allemagne de coté quelque temps, même si le sujet et la langue m’intéressait toujours, j’avais à l’époque d’autre chemins à explorer. Et puis, sans trop que je sache pourquoi, quand je me suis retrouvé célibataire, ce qui n’était pas arrivé depuis longtemps, j’avais enfin du temps pour moi, et j’ai repris tout l’Allemand en pleine face :laughing: c’était à la fin de l’été dernier, depuis je prend des cours d’allemand au Goethe institut, j’ai fait un voyage à Berlin, et je postule pour un SVE là-bas. Je regarde la ZDF, des films allemands, et ne m’achete que des livres allemands.

Parce que, en plus de la mélodiosité ( :question: ca doit pas se dire comme ça, passons… ) de la langue, qui était déja suffisante pour que je sois passionnée par l’allemand, j’ai été fasciné par la culture allemande , par les gens là-bas, par leur mentalité,pleine de contradictions, un mélange de respect, de liberté, de simplicité, de franchise, d’un lien avec la nature plus fort que chez nous (sans tomber dans les clichés), globalement d’un quotidien beaucoup moins superficiel que chez nous (encore une fois sans tomber dans les clichés), d’une histoire si passionnante,tumultueuse, d’ un mode de vie qui me correspond tellement qu’il n’a pas fallu longtemps pour que je tombe amoureuse de l’Allemagne entière :smiley:

BONNE LECTURE DE PAVE, viel spaß XD

Moi, j’adore le Umlaut. Le reste, bof.

c’est un peu différent que le débat sur la « germanophilie », c’est le fait déclancheur de l’intérêt.

je parle surtout pour ceux qui n’ont pas un parent allemand, qui ne vivent pas près d’une frontière ou autres faits qui font que l’on a une curiosité naturelle pour « l’autre côté » (encore que ce ne soit pas obligé d’avoir cette curiosité).

c’est venu par une rencontre, par la musique, le cinéma, par le foot, la passion des montagnes, l’histoire, un voyage professionnel, un jumelage ?

je connais des alsaciens óu des lorrains qui n´ont jamais été en allemagne. si tu regarde dans le forum cette question est déja aborder.

jean luc :wink:

OK, mais cela ne répond pas à la question. :wink:

Pour ma part, curieusement, je n’ai jamais été, en mes jeunes années, attiré par l’Allemagne. La Suisse, à deux pas, suffisait amplement à mon bonheur de randonneur et de vacancier (et en plus, en ces temps-là, la vie était moins chère en Suisse qu’en France. Eh oui! :mrgreen: ).Ce n’est que relativement tard que la gare badoise de Bâle a eu l’honneur de mon passage pour découvrir enfin la Forêt-Noire. Je ressentais le Rhin vraiment comme une frontière autant matérielle que mentale. Ce qui rejoint d’ailleurs la problématique du tracé des frontières tant au nord qu’au sud de l’Alsace. Pourquoi tel village est aujourd’hui français, pourquoi tel village est en Suisse, alors qu’on parle la même langue et que les rivières se moquent de la politique*…
*J’entends nebenstelle m’objecter que la Lucelle est bien une frontière naturelle! :mrgreen:

@LALILOU, je me suis permis de fusionner ton message avec le sujet déjà existant, où tu trouveras de nombreuses réponses :wink:

en fait je suis toujours plus attirée par les pays où l’on parle l’allemand que par l’Allemagne elle-même :mrgreen:, mon intérêt pour l’Allemagne est venu par ricochet. Mais je ne connais pas des villes comme Berlin, Munich, Brême ou Hambourg.

Ma mère est allemande, alors forcément, et je suis moi même née en Allemagne; mais je suis arrivée très tôt en France, ma culture de base est donc française.
Et puis pas facile en 1970 d’arriver en France…On était les seuls petits étrangers de l’école; les préjugés sur les allemands étaient durs; on arrivait dans un pays encore arriéré, où non, les femmes n’allaient pas toutes seules au café boire un café (une bière, n’en parlons même pas); et les supermarchés étaient sous-équipés en matière d’équipement de la maison (alors qu’en Allemagne, le soin pris pour faire de son intérieur un lieu « gemütlich »)…Et les produits pour Noël introuvables alors en France…Je me souviens qu’on allait en Allemagne 2 ou 3 fois par an, et on revenait la voiture surchargée de tout le possible et l’inimaginable. En plus, je passais les vacances d’été chez mes grands-parents; ou ils venaient chez nous (mon grand-père adorait la France; et moi, j’adorais mon « opileinchen »).
Chaque année début décembre on recevait de mes grands-parents 2 énormes colis (à l’époque la poste n’avait pas révisé ses tarifs, devenus bien plus chers) avec ces fameux produits de Noël: Stollen, Lebkuchen etc…C’tait la fête!
Quand j’arrivais en allemagne, mon grand-père avait toujours acheté pour moi une bouteille de bière pour enfant (Malzbier) et une boîte de Schokoküsse, von Dickmann (les meilleurs, encore aujourd’hui…Ah, nostalgie quand tu nous tiens…Bon, je suis beaucoup moins portée sur le sucre, j’ai abandonné la Malzbier mais la boîte de Dickmann, elle, reste incontournable).
Ca a été dur pour ma mère d’arriver en France, elle qui en plus parlait très mal le français.

J’ai pris allemand première langue au collège; normal, et puis aussi la possibilité d’être en 6ème A (la classe d’excellence).
Après la mort de mon grand-père, l’Allemagne a perdu de son attrait pour moi, et je n’ai ai plus remis les pieds pendant 15 ans.
Et je suis retournée sur les lieux de mon enfance il y a 3 ans; l’Allemagne a repris mon coeur…Et dorénavant, j’ai BESOIN d’y aller une fois par an, besoin de parler allemand, d’aller bummeln dans les kaufhäusern, etc. J’adore les centre-villes en Allemagne, ils sont souvent très beaux, propres, animés (à comparer à nos habitudes d’achat: tout est relégué en périphérie, dans des zones commerciales plus moches les unes que les autres; ajoutons-y la nouvelle plaie que sont les lotissements qui grignotent l’espace rural entre deux villes et on en arrive à la conclusion que la France devient un pays MOCHE).
Je sillonne l’Allemagne, et j’y visite les « mythes » allemands…Neuschwanstein l’an dernier, cette année la Lorelei et le deutsches Eck, et à chaque fois je suis bouleversée.
Bon, on n’y mange pas bien, franchement…Ca me fait rire, ça!
C’est un pays magnifique: paysages, nature, culture…
Je regarde souvent arte, et je me régale; j’ai appris plein de choses sur la culture allemande que je ne connaissais pas, grâce à karambolage.
Dans ma famille, j’ai 2 frères, je suis la seule à être aussi attachée à mes racines allemandes. A tel point que j’aimerais désormais aller travailler un ou deux ans en Allemagne.
Heureusement que je vis en France dans une région qui me convient, et dans laquelle je me sens bien: l’Aveyron. Je m’y sens un peu à l’abri du tumulte. Parce qu’en plus je trouve qu’il y a une telle morosité en ce moment en France…Je n’arrive plus aimer mon pays, j’ai honte du gouvernement qui est à sa tête…

La France n’est pas un pays moche, seulement quand tu y vis tu y vois le quotidien, les choses que les touristes ne regardent même pas, parceque souvent elles ne savent même pas qu’elles existent alors que lorsque tu visites en touriste tu te concentres sur ce que la région a de mieux.
tu trouves franchement les lotissements allemands ou en suisse beaucoup mieux qu’en France ? il y a des trucs à pleurer.

Par contre c’est intéressant ce que tu dis sur la place de la culture d’un des 2 parents dans une fratrie. Ils ne sont pas toujours intéressés de la même manière par l’« autre pays », l’« autre culture ». C’est tellement une démarche personnelle. Je me demande si c’est freudien, d’ailleurs !! :stuck_out_tongue:

Pour les lotissement, je dit oui , c´est mieux , mais beaucoup mieux en Allemagne quand France , d´une manière général, pour le reste Mirobolande idéalise le pays , et ça c´est pas bon ,après on risque être déçu

jean luc :wink:

Ah j’ai bien conscience que tout n’est pas parfait en Allemagne, et que d’y aller pendant les vacances forcément ça change la donne. Je n’en vois que les bons côtés.
En plus j’ai la chance d’habiter une magnifique région en France, et question climat je suis très gâtée…Je me dis que si j’allais vivre en Allemagne quelque temps, le soleil, la chaleur, me manqueraient bien vite.Et pas que ça, d’ailleurs!

Je trouve que oui, les logements sont plus sympas en Allemagne. Bon, je n’ai pas de chiffres sur la question, mais:

  1. si j’ai été étonnée des grands ensembles à Dresde, bah comme me le disaient les habitants, on y trouve de tout, même des médecins, alors qu’en France vivre dans un grand ensemble, c’est un cauchemar.
    Il y a dans ces logements des tours pour faire le ménage des parties communes (ça porte un nom, j’ai oublié; une feuille est affichée dans les parties communes avec le nom des habitants et la date où ils devront les nettoyer): et ça marche! Ca c’est la grande différence entre la France et l’Allemagne, je crois.
  2. Il existe aussi ailleurs des grands immeubles, mais la taille des logements, y compris des logements sociaux, fait quand même rêver un français. Une vraie cuisine, une vraie salle de bains, une entrée, du parquet, des chambres qui font 20 m carré :astonished:
    Un garage à vélos…
    Nous les logements sociaux c’est souvent étriqué, du lino, une cuisine qui fait 8 m carré, des chambres à 10 m carré…
  3. En France chaque municipalité lance des lotissements: et le « rêve français » c’est d’avoir sa maison individuelle; je compare souvent ces maisons à des boîtes à camembert moches (quelle qualité de construction…) posées sur le sol, parfois à 5 m de la maison du voisin. Et on vend ça comme un rêve alors que ça oblige les gens à avoir 2 voitures, et à faire des km pour aller travailler en ville…
    Je pense sans pouvoir le vérifier qu’il y a plus de logements collectifs en Allemagne. Mais pas seulement des immeubles, plus aussi de maisons qui abritent plusieurs familles. En France, c’est immeuble ou maison = une famille.
    Si quelqu’un peut me confirmer ce qui ne reste qu’une impression pour le moment.

J’ai été très sensible au récit de mirobolande et à son rapport à ses grands parents allemands et je ne trouve pas du tout qu’elle idéalise.
Bien que n’ayant pas de parents allds, j’ai le même rapport de tendresse envers l’Allemagne.( L’intitulé du fil m’agace; je n’ai jamais été fan :open_mouth: de qui que ce soit ou de quoi que ce soit.)
Les parents de mon corres étaient devenus pour ainsi dire mes deuxièmes parents et je leur rendais visite tous les ans dans le Palatinat. J’ai appris d’eux énormémént de choses et ils sont en grande partie la raison de ma présence sur ce forum; une façon de leur rendre ce que je leur dois. J’ai correspondu avec eux jusqu’à leur mort qui m’a beaucoup peinée.
J’aime bien aller en Allemagne, pas pour y faire des courses, mais pour y rencontrer d’autres gens et voir d’autres choses. Je dois dire que j’ai toujours eu à faire à des gens sympas et serviables, très rarement à des cons…j’ai peut-être eu de la chance. Je suis de plus en plus persuadé qu’il y a une façon d’aborder les gens et que, comme l’aimant attire le fer, les cons s’ attirent .mutuellement.
Je dois préciser que mon épouse qui n’était pas prédestinée à aimer l’Allemagne (elle a enseigné l’anglais et a vécu un an en Angleterre comme assistante de français dans un collège) aime aussi beaucoup l’Allemagne.
Je suis tout à fait d’accord avec mirobolande en ce qui concerne sa dernère affirmation:

Mais bon, patience, la vie nous réserve parfois de bonnes surprises.
:smiley:

On a toujours tendance à voir l’herbe plus verte ailleurs, à idéaliser les autres pays. C’est ce que je fais presqu’à chaque fois que je visite un nouveau pays. C’est vrai que la maison occupe une place très importance chez les Allemands qui, comme les Francais, sont très individualistes. Le rêve ici, c’est d’être propriétaires d’une très grande maison, d’une très grande voiture et, pour les plus riches, d’un bateau. Le respect pour la propriété pousse les gens à faire attention à certaines choses qui passent au-dessus de la tête des Francais: propreté des terrains, soin apporté à la voiture, recyclage et diminution des déchets (le volume des déchets est payant ici)… Beaucoup de traditions, liées notamment à la religion, perdurent ici, comme celles liées à Noël et aux mariages.

c’'est vrai que vu le nombre de côtes maritimes, la possession d’un bateau me semble indispensable en Allemagne. sauf si c’est un bateau pour aller à la pêche en rivière ou sur un lac. :question: :mrgreen:

par contre il y a un ou deux trucs qui me paraissent être typiques de l’Allemagne (cela fait partie du folklore du néo-parent)
et

J’habite à Berlin, il y a des lacs partout et surtout le Wannsee, ainsi que la Spree. La mer Baltique est également proche. Chez les gens aisés, le permis bateau est un must! Je me contente de faire de l’aviron, et c’est super agréable en été.
Pour le folklore néo-parent, c’est vrai que les gens qui ont des enfants sont super équipés, mais beaucoup de couples ne deviennent jamais parents en Allemagne…

je ne comprends pas le sens de ta phrase ??, en France aussi il y a des couples sans enfant… par choix ou par obligation… je ne vois donc pas où tu veux en venir…

Je crois qu’Albertine voulait dire qu’en Allemagne il y a plus de couple sans enfant qu’en France où il y a une politique nataliste.