Vocabulaire suisse pour Schokolena

Mir händ e intensivs Jahr hinder und au eis vor eus :arrow_right: Wir haben ein intensives Jahr hinter uns und auch eins vor uns :confused:
Si une bonne âme helvétique voulait bien me tirer de l’ornière, ce serait très gentil. Merci. :respect:

Euuuh, je suis pas réveillée ou tu as déjà déchiffré ?

PS : hier j’ai eu des sueurs froides quand j’ai vu dans le ppt que je traduisais en deuxième phrase : « est-ce que tout le monde parle le dialecte ? » Euuuuh, tout le monde sauf le traducteur… Heureusement c’était quand même en Hochdeutsch, il devait se réserver le tütsch en fonction des réponses… :laughing:

C’est une tentative de déchiffrage, j’aimerais confirmation.

Heureusement que c’était de la traduction et pas de l’interprétation… :mrgreen:

Tu as parfaitement saisi, SchokoLena.

Avis aux Helvètes : si je vous dis Motzki, ça vous fait penser à quoi ? C’est le nom d’un personnage pas très sympathique et je voudrais savoir si son nom est déjà révélateur en soi.

Danke schön!

Pour moi, la première chose qui me vient à l’esprit, c’est ça : de.wikipedia.org/wiki/Motzki
Toute une époque !
Je ne pense pas que ce soit spécialement helvétique. :wink:

J’avais vu, mais je pense qu’il n’y a pas de lien. Je me demande si ce n’est pas simplement une déformation de Motzen, tout simplement.

Même les romands en parlant français ont des petits travers qui vont au delà du nonante et du septante.
Parler d’une tirette au lieu d’une fermeture-éclair ou d’un foehn à la place d’un sèche-cheveux ou d’autres micro petits trucs…

Je connais pas le Motzki allemand. Mais Motzki me fait effectivement et immédiatement penser à « motzen » (râler). J’en ferais un « Motzer » ou « Motzi », « Motzki » plutôt de connotation « slave ». Mais pourquoi pas.

Merci d’être passé nebenstelle. :respect: Ça confirme mon hypothèse.

Oskour :crazy:

Je ne trouve pas d’explication pour le mot « Schnuuf » > der richtige Schnuuf zum Überleben

« la bonne attitude » :question:

Si quelqu’un sait, ce serait trop de la bombe. :respect:

Ufschnuufe : souffler ! (de soulagement)
Vient de schnaufen, haleter.
der Schnuuf, c’est pratiquement l’envie de faire quelque chose, en ayant les moyens pour le faire, par extension la frite, la pêche (le souffle, quoi).

Andergassen, toujours à la rescousse. Merci mille fois !

Et rebelote ! Cette fois, c’est une référence culturelle. L’Altes Tramdepot de Berne est-il une adresse hyperconnue de Suisse alémanique ? Est-ce que vous verriez un équivalent évident pour la Suisse romande ? C’est pour les buveurs de bière.

altestramdepot.ch/htm/geschichte.htm

Un équivalent pour la Suisse romande ? Hmmmm… En ce qui concerne un dépôt de tramways désaffecté, c’est à Fribourg qu’il faut chercher :
tourismesuisse.com/plateau/a … halle.html
Mais ce n’est pas une adresse cerveso-gastronomique comme à Berne ! :wink:

Merci Andergassen, mais je cherche justement une adresse cerveso-gastronomique… :smiley:

Il n’y a pas beaucoup de villes en Suisse romande qui avaient un réseau de tramways avec un dépôt correspondant : Genève, Neuchâtel, Fribourg…
Sinon, en Suisse alémanique, il y a aussi l’ancien dépôt de locomotives à St-Gall (animations culturelles et restauration), mais ce n’est pas une institution comme à Berne. :wink:

Qui saurait me dire ce qu’est un Phrasen-Kässeli ? Kässeli, c’est une tirelire d’après Google Image. Alors quoi, le tiroir des formules toutes faites ?

En général, Phrasen est précédé dans ce contexte d’un adjectif comme « billig » ou « abgedroschen ».
C’est le principe de la « tirelire aux gros mots ». Quand on dit un gros mot, on met 10 centimes dans la tirelire.
Le « Phrasen-Kässeli » est employé surtout par les journalistes (sportifs notamment), qui mettent 20 centimes ou voire 5 Fr. quand ils ressassent des lieux communs.

Super ! Merci pour l’explication.