Mais pourquoi c’est quand je ne suis pas là, que tout le monde vient papoter !!!
personne ne bosse en Europe, à part les instits, ou quoi ?
éh éh…
GA-RY-GA-RY !
Mais pourquoi c’est quand je ne suis pas là, que tout le monde vient papoter !!!
personne ne bosse en Europe, à part les instits, ou quoi ?
éh éh…
GA-RY-GA-RY !
De toute façon, quand on commence à s’embarquer dans ces histoires, on ne sait jamais COMMENT et surtout OU ça va finir… Et il y a parfois des détours inattendus, des scènes d’équilibre sur la crête étroite entre deux vallées ou voire sur le « rideau de fer » (O Gorizia tu sei maledetta…), où le moindre souffle peut vous faire basculer d’un côté ou de l’autre en décidant de votre destin, surtout quand on a 20 ans et qu’on néglige de se munir d’un paratonnerre de qualité… (Dolorosa ci fu la partenza, e il ritorno per molti non fu… ) En fait, j’ai eu de la chance, en fin de compte…
Drum auf und stoßt die Gläser an,
Es gilt der Heimat mein:
Die Berge hoch, das grüne Tal,
Mein Mädel und der Wein!
Chère Lynette, c’est justement parce que tu n’es pas là que nous avons la chance d’en placer une! Tu sais bien: quand le chat n’est pas là…
Ochspele…
bruta bestia !
Pfui !
O. je ne te parle plus mais quand même, dis-moi quelque chose…
quel est ce village à couper le souffle ?
j’ai dû rater une ligne… mais pourquoi cette photo ?
c’est là où il y a 120 lustres tu as fait l’équilibriste ? pour une Autrichienne sans paratonnerre
Pourquoi ce village et cette photo? Parce que j’y habite, et que c’était pour illustrer mes propos et justifier la citation de notre hymne « national ». Don Quichotte, qui ne pensait qu’à conquérir les plaines pannoniques et monter à l’assaut des Carpates, avait fini par se rendre à la raison de Sancho Pança dans un éternel pays de Cocagne… Mais il redevient Don Quichotte le temps de ses vacances…
Dans le donjon, le chateau ou le chalet à mi-chemin entre les deux?
Le château en haut est un monastère millénaire perché sur un piton rocheux, qui aurait très bien convenu pour y tourner Le nom de la rose.. Non, j’habite un quartier de constructions nouvelles. C’est très joli, cet ensemble Renaissance dans la vieille ville, mais pour l’entretien et la restauration…
en tout cas c’est très joli!!!
Mais j’ai toujours pas compris le lien avec la question de base de ce sujet!!!Si on pouvait m’expliquer…
C’est vrai, recentrons, recentrons!
En fait, mon idée au départ était de m’inscrire en faux contre cette idée préconçue de vouloir séduire par des moyens plus ou moins éprouvés un citoyen lambda d’un pays donné, quels que soient son origine, son aspect et sa culture. Je voulais montrer que finalement, nous ne sommes que le jouet des circonstances. Une hésitation d’un centième de seconde peut être fatale pour la suite des événements, avec éternels regrets pour « celles qu’on n’a pas eues »…
Pardon, sheshou, si j’ai dévoyé ton sujet…
Hòlala!!Je ne t’en veux pas du tout!!
Mais je ne suis pas sûre de ce que tu dis!!En effet,selon les cultures,il y a des choses qui peuvent différer,comme les canons de beauté!!
Puis j’ai vu sur le blog d’une personne vivant au Japon que ça les excitaient de voir des femmes se mettre des trucs dans le nez!!
Très drôle Michelmau
Heureusement,les femmes expriment leur solidarité autrement!!!
Ah oui? Eh bien, si on va par là, les trucs dans le nez ou ailleurs, ça me fait le même effet que l’alcool ou le café: la femme n’a plus rien à redouter de moi! Mais qu’est ce pousse les femmes à vouloir se transformer en bovins? Il ne manquerait plus que le licou! Le fin du fin étant naturellement le perçage de la langue… Alors là, c’est carrément Stalingrad dans la culotte! (et je ne parle pas des tatouages, c’est kif-kif…) Finalement, peu de femmes pourraient trouver grâce aujourd’hui à mes yeux… Mais peut-être que je ne suis qu’un vieux ronchon…
Je suis littéralement pliée en deux!!!Elle est trop drôle cette expression,ça veut dire quoi?
En fait, ce n’est pas drôle du tout, surtout si l’on pense aux PCDF qui subissaient les rigueurs de l’hiver aux bords de la Volga…
Je me suis trouvé dans une situation analogue pendant une randonnée d"hiver: 0°, la pluie, un vent glacial de face qui transforme la pluie en neige, et rien pour s’abriter. Et une belle envie de pisser! Les doigts gourds qui peinent à trouver l’ouverture sous la capotte raidie de neige mouillée, et un petit vermicelle qui joue les pucelles effarouchées comme un escargot dont on pince les cornes et qui se recroqueville dans sa coquille… A tel point que je me suis demandé s’il ne s’était pas perdu en route… Ca, c’est des souvenirs!
Il y a aussi cette méthode pour séduire les beaux garçons:
[i]Ich ging grad im Park spazieren, als ich ein dünnes piepsiges Stimmchen vernahm: « He du, nimm mich mit! » - Erst nach einigem Suchen endeckte ich den Sprecher: Ein kleiner, grüner Frosch war es, der da zu mir aufblickte. Und wieder sagte er: « Nimm mich mit, ich bin eine verwunschene Prinzessin! »
Nun will ich zugeben, dass ich aus dem Märchenalter längst rausgewachsen bin und nicht die geringste Veranlassund sehe, einen solchen Humbug zu glauben - aber ein sprechender Frosch, das ist schon was.
Das riecht nach Geld. Varieté und so, denke ich, und im Interesse meiner zukünftigen Karriere « Oschpele und der sprechende Frosch » überwinde ich meinen Ekel und hebe das glitschige Tierchen behutsam auf.
Daheim war auch schnell ein geeignetes Terrarium für meinen neuen Partner gefunden. Als ich den Frosch jedoch da einziehen lassen wollte, protestierte er: « Ich will in deinem Bettchen schlafen! »
Nun bin ich als gutmütig bekannt, und tolerant bin ich ebenfalls - aber das geht doch wohl zu weit. « Ich bin eine verwunschene Prinzessin, und ich will in deinem Bettchen schlafen! », quengelte der Querulant jedoch in einer Tour, so dass ich schließlich nachgebe.
Man muss eine Basis für eine harmonische Zusammenarbeit finden, denke ich, sonst wird aus unserer Verietékarriere nämlich nichts: « Also gut, du bekommst ein Kissen. Auf dem kannst du neben mir im Bett schlafen. »
Doch der Frosch quengelte weiter und war erst zufrieden, als ich mich ebenfalls neben ihm ins Bett legte. Und schon steigerte sich das Tier: « Jetzt musst du mir einen Kuss geben, dann bin ich erlöst! »
Ich suchte dem kleinen grünen Monster meine Grundsätze von Hygiene und Ästhetik klarzumachen - doch nach einer Stunde heftigen Diskutierens war mir meinerseits klar: das Biest wird keine Ruhe geben! Ich hatte nicht übel Lust, auf die ganzen Chancen als Besitzer eines sprechenden Frosches zu verzichten und die widerliche Kreatur das Klo hinunterzuspülen.
Wie das Schlitzohr es dann dennoch geschafft hat, daß ich ihm einen ganz kleinen Kuss auf die eklig geschürzten Froschlippen gab - aber es tat einen Blitz, Schwefeldünste lagen über dem Bett und in demselben - in meinen Armen - das hübscheste Mädel, mit den hübschesten Augen und den hübschesten langen, schwarzen Haaren, das ich je gesehen hatte!
Und ein kleines, funkelndes Krönchen in ihrem blauschwarzen Haar war das einzige Zeichen, dass es sich wohl tatsächlich um eine Prinzessin handelte - denn sonst hatte sie weiter nichts am Leib!
Es ist nur schade, dass meine Frau mir die Geschichte nicht geglaubt hat.[/i]
Tu as l’art de rendre les choses les plus annodines en histoires passionantes et pleines d’humour!!(je comprends lynette)
T’as jamais pensé à écrire des livres?
Une petite traduction?
C’est ça! Ecrire des livres? Pour que je les lise ensuite?!